1. Ce site utilise des "témoins de connexion" (cookies) conformes aux textes de l'Union Européenne. Continuer à naviguer sur nos pages vaut acceptation de notre règlement en la matière. En savoir plus.

Ils ont marqué l'histoire du sport.

Discussion dans 'L'histoire du sport' démarrée par Arturo Bandini, 16 Septembre 2011.

  1. Rastachoik

    Rastachoik Guest

    Commentaires de blog:
    0
    Ben dis donc j'avais jamais entendu parler de ce topic!

    Allez tiens, parce que c'est le premier à l'avoir fait:
    [video=youtube;6QGNj7nqEFU]http://www.youtube.com/watch?v=6QGNj7nqEFU[/video]

    Et les premiers à l'avoir "doublement" fait:
    [video=youtube;YwQ8D26HzPM]http://www.youtube.com/watch?v=YwQ8D26HzPM[/video]
     
  2. pepere07

    pepere07 Guest

    Commentaires de blog:
    0
    Le légendaire trotteur Ourasi, quadruple vainqueur du Prix d’Amérique, est mort samedi à près de 33 ans au haras de Gruchy, en Normandie (nord-ouest de la France) où il coulait une retraite paisible .
    Après une petite alerte il y a un an, l’état du santé du crack avait commencé à fortement se dégrader il y a trois semaines. Ourasi aurait fêté son 33e anniversaire le 7 avril, un âge plus que centenaire pour un équidé.
     
  3. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    [video=youtube;Fb5KpkSajpw]http://www.youtube.com/watch?v=Fb5KpkSajpw[/video]

    y a pas hors jeu là ? :mrgreen:

    ps : boycott de l'urss après le coup d'état de pinochet, la fifa reporte le match malgré tout, le chili se qualifie grace à ce très court match (le plus court de l'histoire je pense)
     
  4. mourinho1

    mourinho1 Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    [video=youtube;XMrPjl-927Q]http://www.youtube.com/watch?v=XMrPjl-927Q[/video]


    fred weiss s' en est jamais remis
     
  5. mourinho1

    mourinho1 Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    [video=youtube;VSXLS5sRCFM]http://www.youtube.com/watch?v=VSXLS5sRCFM[/video]

    lui est un vrai revolutionnaire de son sport
     
  6. Wilmar

    Wilmar Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    Première équipe africaine à remporter un tournoi international:

    [video=youtube;U6JN1AvxcSE]http://www.youtube.com/watch?v=U6JN1AvxcSE&playnext=1&list=PL8DF7D83200C2 1D94&feature=results_video[/video]


    Putain je savais pas Rashidi Yekini est mort! Putain je suis dég'!
     
  7. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    [h=1]Il y a 30 ans mourait Garrincha[/h]

    Le 20 janvier 1983, mourait le grand attaquant brésilien Garrincha, à l’âge de 49 ans. Je ne reviendrai pas sur la carrière de l’époustouflant ailier de Botafogo, champion du monde 1958 et 1962. Ni sur les manifestations d’hommage qui eurent lieu à sa mort, son corps étant exposé au stade Maracana. Tout cela se retrouve aisément sur Internet.
    Je me contenterai de citer le témoignage d’Albert Batteux, dans L’Equipe du 21 janvier 1983, qui rappelait en quelques lignes le joueur extraordinaire et atypique qu’il fut:
    « C’était un joueur exceptionnel, car il n’avait qu’une feinte, mais personne ne parvenait à s’y opposer. Il faisait mine, balle au pied, de revenir vers le centre et démarrait sèchement sur l’aile. Un démarrage foudroyant. Tout le monde le savait, mais il réussissait toujours. Un seul homme a su le prendre mieux que les autres, c’est André Lerond [en demi-finales de la Coupe du monde 1958].Il n’a pas réussi, certes, à l’annihiler, mais c’est lui qui s’est le mieux opposé à Garrincha.
    Il ne fallait surtout pas attaquer Garrincha de front, mais le laisser venir et essayer de contrer son démarrage. »

    • Il dribblait même les chaises
    Je citerai également deux anecdotes qui décrivent son jeu de manière pittoresque. Garrincha était un dribbleur forcené. Son camarade Nilton Santos, exaspéré, lui lançait quelquefois, en plein match: « Arrête d’inventer de nouveaux dribbles. » Un entraîneur eut une idée pour l’obliger à faire des passes. Il posa une chaise au milieu du terrain et dit à l’ailier de Botafogo: « Voilà ce que tu vas faire. Quand tu auras dribblé ton défenseur sur l’aile, je te demande de faire une passe en direction de la chaise. » Et Garrincha s’exécuta. Il dribbla le défenseur mais, en sortie de dribble, au lieu de faire une passe en direction de la chaise, il courut vers elle et… il la dribbla !

    • Les Soviétiques croyaient avoir trouvé la parade
    L’autre histoire me fut racontée par l’ancien entraîneur – et formidable conteur – Joseph Mercier. Il avait assisté, en Suède, au match Brésil-URSS de Coupe du monde 1958 au cours duquel Garrincha fit son apparition à l’aile droite (il n’avait pas été sélectionné pour les deux premiers matches). Les entraîneurs soviétiques connaissaient les caractéristiques du dribble de Garrincha. Ils savaient qu’il avançait à petits pas avant de faire son crochet extérieur. Aussi eurent-ils l’idée de placer systématiquement un joueur en couverture de l’arrière gauche. Donc, voici Garrincha qui, comme prévu, avance à petits pas. L’arrière gauche Kouznetsov, refusant de se livrer, recule lui aussi et son « libero » également. Si bien que, lorsque Garrincha dribble l’arrière, le couvreur se retrouve en dehors du terrain, au milieu des photographes.
    De cette première apparition de Garrincha en Coupe du monde, Gabriel Hanot écrit ceci dans L’Equipe: « Garrincha, à l’aile droite, plongea la foule dans l’extase par ses feintes, ses contre-pieds et sa puissance d’attraction sur les adversaires qui, parfois, se groupèrent à cinq pour tenter vainement de lui barrer la route. »
    A NOTER
    [​IMG]Garrincha, au Parc des Princes, contre Anderlecht (Plaskie) en 1963

    La première fois que le public français vit à l’oeuvre Garrincha , c’était le 30 mai 1956, lors d’un match R.C.Paris-Botafogo (0-3, buts d’Alarcon, Joao et Wilson), au Parc des Princes, à l’occasion du jubilé de l’attaquant parisien Roger Gabet. L’équipe brésilienne (qui comprenait aussi Nilton Santos, Didi et Orlando) terminait une tournée européenne au cours de laquelle elle avait disputait 14 matches !
    On revit Garrincha à Paris, à l’occasion du tournoi de Paris en juin 1963, que Botafogo remporta en battant Anderlecht (1-0) et le Racing (3-2). Pour mémoire, la composition de Botafogo en finale: Manga – Paulista, Ze Maria, Nilton Santos, Rildo – Airton, Zagallo – Garrincha, Jair, Amarildo, Quarantinha. Mais cette fois-là, il déçut beaucoup le public parisien si bien que, dans L’Equipe, on lit que c’était le jour pour jouer au… « Garrincha et à la souris. »

    Didier Braun
     
  8. river junior

    river junior Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    Légendaire ... la coupe du monde 62, on peut l'enlever au palmarès de Pelé : c'est Garrincha et Vava qui l'ont gagné
     
  9. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    [h=1]Souvenons-nous de Claude Papi[/h]

    Il y a 30 ans, le 28 janvier 1983, mourait le joueur international de football Claude Papi, au cours d’une partie de tennis. Les documents sont nombreux à son sujet. J’ai voulu ici retrouver les premières fois où il est question de lui dans L’Equipe et dans France-Football. C’étaient les débuts d’une belle carrière.
    Il est vraisemblable que la première fois que son nom apparaît, c’est dans le France-Football du 8 mars 1966, dans un compte rendu du match de Coupe nationale des cadets entre le Nord-Est et la Corse (1-1). Il occupe le poste d’inter gauche.
    Près d’un an plus tard, en date du 7 février 1967, dans la rubrique du football corse de France-Football, on lit cet écho: « Claude Papi, opérant à Porto-Vecchio, vient d’être appelé à suivre le stage de préparation de l’équipe de France juniors à l’I.N.S., du 14 au 16 février ».
    Il est ensuite pré-sélectionné pour le France-Suisse juniors du 22 mars suivant au Parc des Princes, mais n’entre pas en jeu. La photo de Papi (ci-dessous) paraît pour la première fois dans France-Football, le 28 février 1967, dans une présentation des 22 meilleurs juniors de la promotion 1967. Il y côtoye, parmi d’autres, d’autres futurs internationaux: Dario Grava, Roger Jouve, Marc Molitor, Yves Triantafilos. Mais il ne sera pas retenu pour le tournoi européen, en Turquie, où les Français, surnommés les « Lions d’Istanbul », remporteront la 3e place.
    [​IMG]
    Dans son numéro du 13 juin 1967, France-Football annonce que « le junior Claude Papi de Porto-Vecchio (DH), a été contacté par le S.E.C.Bastiais et a opéré dans la ligne d’attaque de Bastia, au cours d’un match amical devant Nice. »

    • 27 aoput 1967, premier match pro
    Il entre pour la première fois en équipe professionnelle, lors de la 2e journée du championnat de division II, pour un match Bastia-Grenoble (2-1), le 27 août. Composition de l’équipe bastiaise: Orsatti – Viacara, Vincenti, Tosi, Gandolfi – René Ferrier, Hubert Zénier – Blezziri, Papi, Robert Blanc, Padovani puis Jean Camadini. Entraîneur: Jasseron.
    Premier commentaire dans L’Equipe, sous la signature de Toussaint Lenziani:
    « des garçons comme Viacara, Papi, Padovani, Camadini, tous joueurs du cru, peuvent envisager une titularisation quasi certaine. L’équipe bastiaise est à majorité corse, et c’est tant mieux. »
    Pour cette première saison, qui est celle de la première accession de Bastia en division I, Claude Papi dispute 23 matches de championnat et inscrit 5 buts. Il réalise une bonne première saison suivante, en division 1 (1968-69) au cours de laquelle il apparaît 20 fois (3 buts). J’ai cherché dans les archives de L’Equipe, une photo d’action de Papi, avant son accession en D1. J’ai trouvé celle-ci, prise lors d’un match au Parc des Princes, entre le Bataillon de Joinville (qui participait au championnat de D2) et Bastia (0-1), le 11 octobre 1967. Certes, l’image n’est pas d’une grande netteté. Mais il me semble que c’est lui que l’on voit au second plan. J’avoue ne pas en être sûr… De même, je n’ai pas identifié le tireur. On notera, sur cette photo, le grand panneau qui longe le terrain. Le Parc des Princes est à moitié détruit. Il ne reste alors que le virage Boulogne et la tribune officielle. Les travaux de construction du boulevard périphérique, qui passe sous le stade, ont commencé.
    [​IMG]
    La saison suivante, Claude Papi effectue son service militaire. Il ne joue qu’une fois en championnat. Dans l’équipe du Bataillon de Joinville, il participe au championnat de France amateurs (groupe Centre), sous les ordres de Lucien Troupel.
    Papi fait son retour au sein de l’équipe bastiaise en septembre 1970, lors d’un match contre Strasbourg (3-1). Dans L’Equipe du matin, son retour est salué en titre de l’article de présentation: « Papi stratège bastiais ». On lit dans ce papier: « On notera l’entrée de Papi avec le numéro 10 et le Porto-Vecchiais est à juste titre considéré comme le successeur de Mekloufi [qui avait terminé sa carrière professionnelle à Bastia, à la fin de la saison précédente]. Bonne technique et vista doivent l’imposer dans un rôle de stratège. »
    Le pronostic est juste. Dès ce premier match, il mène le jeu offensif de Bastia, dont l’attaque est composée de Marc Kanyan, Jean-Pierre Serra et Jean-Pierre Giordani.

    • 23 septembre 1970, le bourreau des Verts
    Le 23 septembre, Bastia épingle Saint-Etienne, champion de France en titre, 4-2, dans la composition d’équipe suivante: Rossat – Farina, Calmettes, Tosi puis Marinetti, Rakic – Tejedor, Franceschetti – Kanyan, Serra, Papi, Giordani. Entraîneur: Delfour.
    Papi inscrit deux buts (12e et 17e sur penalty). L’envoyé spécial de L’Equipe, Victor Sinet, le désigne comme « le grand homme de la soirée ». A la fin du compte rendu, au moment de porter un jugement sur les joueurs, Sinet écrit ceci: « on doit signaler, sur le plan individuel, le rôle exceptionnel que tint tout au long des 45 premières minutes le jeune Claude Papi (21 ans) ».
    [​IMG]Papi aux prises avec Novi en finale de Coupe de France 1972 (OM-Bastia, 2-1)

    Sa carrière est lancée. La voici résumée en quelques chiffres:

    • 414 matches de championnat professionnel avec Bastia: 391 en D1, 23 en D2.
    • 115 buts marqués en championnat professionnel: 110 en D1, 5 en D2.
    • Finaliste de la Coupe de France en 1972, Marseille-Bastia (2-1). Il remplace Jean-Pierre Giordini à la 77e minute.
    • Finaliste de la Coupe de l’UEFA en 1978 (Bastia-PSV Eindhoven, 0-0 et 0-3), compétition au cours de laquelle il marque 7 buts.
    • 3 sélections en équipe de France: contre le Danemark (3-0), le 21 novembre 1973 à Paris, en remplacement de Daniel Ravier; contre la Hongrie (2-0), le 26 mars 1975, en remplacement de Jean-Noël Huck; contre la Hongrie (3-1), le 10 juin 1978 à Mar del Plata (Coupe du monde). Il a donc disputé le fameux match où l’équipe de France a joué en maillot rayé vert et blanc.
    • Son dernier match, le 4 mai 1982, contre Paris SG (3-1). Blessé en première période, il cède sa place à Louardi Badjika.
    • Claude Papi était né le 16 avril 1949, à Porto-Vecchio. Il est mort à 33 ans, le 28 janvier 1983, à Bastia, pendant une partie de tennis.
    Didier Braun
     
  10. bumpa

    bumpa Le capitaine, l'aboyeur

    Commentaires de blog:
    0
    On parle d'un retour de Jordan en NBA pour ses 50 piges...
     
  11. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    Dans son club j'imagine ? Et juste pour le fun ou sur la durée ?
     
  12. bumpa

    bumpa Le capitaine, l'aboyeur

    Commentaires de blog:
    0
    Le propriétaire des Charlotte Bobcats pourrait se faire un petit cadeau pour ses 50 ans... C’est la rumeur la plus folle du moment.

    Michael Jordan, légende vivante du basket, pourrait-il rejouer en NBA? A la retraite depuis dix ans et une dernière saison avec les Wizards de Washington, «His Airness» fêtera ses 50 ans le 17 février prochain. Et comme il est actuellement propriétaire des Charlotte Bobcats, il pourrait s’offrir un bref retour sur les parquets.
    C’est en tout cas «l’info» d’Antoni Damiel, un journaliste de Canal+ Espagne. Il y a trois ans, lors de son entrée au Hall of Fame, l’ancienne star des Chicago Bulls (six titres de champion), avait déclaré qu’il se verrait bien revenir pour son demi-siècle.

    Michael Jordan aurait même renforcé sérieusement ses doses d’entraînement depuis quelques jours.
     
  13. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    Ah ok merci, donc juste un petit coming back pour se faire plaisir. Il a raison.

    Sinon, sympa le papier de Braun sur Papi. Ma jeunesse, l'épopée bastiaise ...Je me souviens quasiment de l'équipe par cœur.
     
  14. Arturo Bandini

    Arturo Bandini tlhlngan maH taHjaj

    Commentaires de blog:
    0
    Idem !

    Hiard ou Weller, Cazes, Guesdon ( ? ),Orlanducci, Marchioni, Lacuesta, Larios, Papi, Franceschetti, Krimau, Rep, De Zerbi et j'en oublie pas mal
     
  15. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    Fanfan Felix, nan ? Yves Mario ou c'était plus tard lui ?
     
  16. Arturo Bandini

    Arturo Bandini tlhlngan maH taHjaj

    Commentaires de blog:
    0
    Mariot c'était l'époque à Dragan Dzajic je crois et Felix, oui, il devait faire partie de l'équipe 78 !
     
  17. Suix

    Suix Guest

    Commentaires de blog:
    0
    J'ai vérifié Mario, c'était bien 78.
     
  18. Jessy Chase

    Jessy Chase Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    [video=youtube;jyk23zjvEug]http://www.youtube.com/watch?v=jyk23zjvEug[/video]


    [video=youtube;Cq9XcrkJ59Y]http://www.youtube.com/watch?v=Cq9XcrkJ59Y[/video]
     
  19. river junior

    river junior Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

    Commentaires de blog:
    0
    ciao mennea

    [​IMG]
     

Partager cette page