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La légende phocéenne (de 1899 à aujourd'hui)

Discussion dans 'L'OM Attitude' démarrée par Sangoku1377, 14 Septembre 2007.

  1. migier

    migier Guest

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    MEMOIRES D'UN OHEMIEN - Par migier

    Mémoires d'un Ohémien - par migier

    Episode VII

    J’ai dit que cette saison fut pour moi la plus belle. Je la place à égalité avec 88/89, elle aussi remplie de moments intenses et ponctuée par un second doublé coupe - championnat, avec un Papin irrésistible. Et puis tout en haut, bien sûr, il y a 92/93… l’année du firmament et de la « Grandes Oreilles ». Mais c’est une autre histoire…
    Pour finir avec 70/71, je me souviens encore de ce match contre Saint-Etienne, au Vélodrome dans un froid sibérien, où les champions en titre nous avaient copieusement donné la leçon, le score nul 2 – 2 étant flatteur pour nous et quasi miraculeux. A ce moment nous n’en menions pas large. Pour tout dire on n’y croyait plus. Puis le vent tourna… Les Verts se sabordèrent avec l’affaire Carnus-Bosquier, et enfin ce fut l’apothéose de l’ultime journée. Pas de calcul à faire : la victoire signifiait le titre. Mais il existait un double enjeu avec le classement des buteurs. Les pauvres Strasbourgeois furent laminés 6 - 3 ! Skoblar réalisa un triplé et termina en tête des buteurs (français et européens) avec 44 buts devant Keita 42 « seulement ». Et surtout l’OM était champion de France ! La nuit qui suivit fut une nuit de folie. Marseille était en fête. Après avoir enfin quitté le stade, nous nous rendîmes au siège du club, place Félix Barret, où les joueurs finirent par apparaître sur le balcon, pour recevoir l’ovation qu’ils méritaient. Le surlendemain nous eûmes droit à un nouveau défilé, mais cette fois les joueurs s’étaient juchés sur un camion, comme sur un immense char antique, qui roula au pas pendant des heures, accompagné par un peuple en délire. Dans la rue Saint-Ferréol, des nuées de papiers furent jetées par les fenêtres. La ville était en feu pour fêter ses héros, ses dieux du stade, devenus des Marseillais pour l’éternité…

    Par la suite il y eu d’autres victoires magnifiques… et des défaites amères. En 71/72, nous conservâmes notre couronne, avec en plus un premier doublé à la clef ! J’étais au Parc des Princes pour la victoire contre Bastia : buts de Couécou et Skoblar avec en prime un récital de Magnusson. Hélas, comme plus tard en 93, après la gloire vint l’abîme… Mais contrairement à l’entreprise de destruction qui suivit le sacre de Munich, froidement et méthodiquement orchestrée par l’ensemble du football français sous la conduite du venimeux Le Graët, c’est du sein même du club, cette fois, que vint le coup mortel asséné par un groupe de dirigeants minables qui visaient le pouvoir et débarquèrent honteusement Marcel Leclerc. Ce fut le début de la pente…Il y eut quand même une neuvième coupe de France remportée aux dépens de Lyon, en 76 (J’étais encore au Parc). Mais c’était le chant du cygne. Derrière cela, nous attendait la chute en D2 (1979), avec pour seul souvenir agréable, l’épisode rafraîchissant des Minots. Et la remontée en 1985.

    Puis ce fut l’expérience (nouvelle pour moi et ô combien douloureuse…) des finales perdues. Deux d’affilée contre Bordeaux, en 86 et 87. Et depuis ça continue, malheureusement… En vingt ans le ratio est devenu largement déficitaire. A ce propos et pour répondre à des questions qui me furent posées en d’autres endroits, au sujet de l’amour exclusif que je revendique pour l’OM et à l’indifférence que m’inspire l’équipe de France, je voudrais préciser que c’est dans la défaite, finalement, que l’on ressent vraiment ce qui est important pour soi, et de quoi est réellement fait notre sang. La victoire de Munich n’a bien sûr, dans mon cœur et dans la manière dont je l’ai vécue en temps réel, aucune comparaison avec celle des « Bleus » en 98. L'une m’a transporté dans les étoiles, l’autre m’a fait à peine sourire. Mais ce qui est plus significatif encore, c’est la souffrance que j’ai ressentie au fond de mes entrailles après Bari, comme après les finales gâchées de ces dernières années. Cela ne peut même pas être mesuré, en terme de désespoir et de tourment irrationnels, avec ce qui me laissa complètement de marbre et sans doute un peu ironique, après la finale du mondial 2006 et la sortie pathétique de notre pauvre « Zizou national ».

    Voilà, c’était mon témoignage d’ « Ohémien », espèce qui me paraît parfois en danger de disparition, tant le football en général et l’OM en particulier, me semblent être devenus les pires objets de consommation… Mais basta, à chaque époque ses vices et ses vertus… Je souhaite de tout cœur aux jeunes supporters de la région et à ceux d’ailleurs, même si j’ai pu fustiger ces derniers parfois (qu’ils me pardonnent…) car l’OM, pour moi, grand chauvin devant l’éternel, ne saurait être autre chose qu’une affaire de Provençaux… Je souhaite donc à tous ceux qui n’ont pas encore eu la chance de connaître la joie que procure un OM vainqueur, de vivre sous peu ces moments intenses de liesse et de communion.

    Ecrit en septembre 2009.

    Epilogue :

    Je remercie Didier Deschamps et la Divine Providence de nous avoir offert ce beau doublé Championnat - Coupe de la Ligue en mai 2010, réalisant ainsi mon souhait de partager avec tous cet immense bonheur.
     
    Dernière édition par un modérateur: 3 Juillet 2010
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  2. Absalon

    Absalon Grain de sable

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    Un grand merci pour ce récit plein d'émotions ;)

    C'est justement ce genre de choses qui fait vivre l'OM dans le coeur des plus jeunes, on voyage et on vit les bouts de matchs en lisant .En espérant pouvoir en faire de même dans quelques années avec d'autres épopées glorieuses ... ;)
     
  3. migier

    migier Guest

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    Petite précision : En 1969 Artelesa ne jouait plus à l'OM !
     
  4. dooggy13

    dooggy13 Well-Known Member

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    la poste s'emmêle les pinceaux :

    [​IMG]
     
  5. BaSiLe_BoLi_

    BaSiLe_BoLi_ L'OM c'est nous

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  6. Absalon

    Absalon Grain de sable

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  7. ilhies62

    ilhies62 Well-Known Member

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    [ame=http://www.youtube.com/watch?v=BVgIWBIEdaM]YouTube - OM les plus beaux Moments[/ame]

    une petite vidéo que j'ai fait sur les plus belles joies lors des grands de l'histoire de l'olympique de Marseille et qui je l'éspère vous plaira.
     
  8. degun

    degun Member

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    Beau travail.

    Merci ilhies62
     
  9. julio

    julio Member

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    waddle et boli avec leur fameuse chanson
     
  10. 4everze1st

    4everze1st Well-Known Member

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  11. nino del barrio

    nino del barrio Guest

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    le crachat du crapaud n'atteint pas la blanche colombe comme on dit.
     
  12. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Un gros blagueur en plus ce Hateley: "un ami d'un ami..."


    Et encore bravo à L'Equipe pour son article d'hier,pour avoir dit qu'à l'époque ils avaient trouvé ça trop sévère comme exclusion (contre Bruges,rencontre qui précédait notre confrontation contre les GR),pour une simple poussette (je cite).....


    Magneto Serge! http://www.youtube.com/watch?v=SzfniIEZsTo....

    Il ferait ça maintenant il prendrait 6 matches le type:lol:
     
  13. yazid21

    yazid21 Well-Known Member

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    il met venu les frissons,tres belle video,mozer en premier plan,goethals en fond et la musique va tres bien avec le tout.bravo et continu
     
  14. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Le football, c’était mieux avant ?


    Aucun amateur de football, quelle que soit sa date de naissance, n’échappera à la nostalgie et au constat, un jour ou l’autre, que les émotions qui avaient allumé sa passion se sont inéluctablement estompées, que cette passion s’est mâtinée de sentiments moins vifs… et qu’entre-temps, le football a changé, lui imposant d’ajuster ses goûts pour conserver l’enthousiasme ou de s’en détacher en versant dans une bouderie plus ou moins affirmée. Verser dans le “C’était mieux avant” est tentant mais de peu d’utilité. En revanche, s’interroger sur ce que l’on a aimé et que l’on pense disparu - c’est-à-dire se demander “ce qui était mieux avant” - permet au moins d’éclairer ces évolutions sans verser dans le jugement de valeur ni occulter ce qui était objectivement “moins bien avant”.

    Les artistes et les brutes

    Ainsi, les années 70 et 80 se présentent souvent comme une sorte d’âge d’or recelant une infinité de références positives: le “football total” des Néerlandais, le romantisme (mal récompensé) des Brésiliens, l’équipe de France du carré magique, le jeu à la nantaise, etc. Pourtant, c’est aussi la période où les tactiques défensives, axées sur le physique ou la malice s’imposent avec le plus d’efficacité, la période où le vice et les brutalités culminent. Les “artistes” comme Cruyff, Platini ou Maradona devaient survivre à des tacles sponsorisés par la recherche en orthopédie, et la justice sportive était souvent vaincue par la malice et les tricheries.
    Il aura fallu un Mondiale 1990 catastrophique sur le plan de l’antijeu et des violences pour enclencher un train de réformes salutaires [1]. Aujourd’hui, ces problèmes n’ont pas disparu (ils prennent également d’autres formes, parfois plus pernicieuses), mais de ce point de vue-là, la situation s’est, en comparaison, très sensiblement améliorée.
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    Changement de rythme

    Inversement, le football d’antan est dénigré sous l’angle de sa lenteur et de sa faible intensité: “Ça manque de rythme”, entend-on. En réalité, le rythme était autre: moins enlevé, certes, mais pas dépourvu de groove. La liberté de mouvement dont dispose alors le porteur du ballon est effectivement frappante: il a le temps et l’espace pour évoluer, et l’on s’étonne que les adversaires restent si passifs, au point de paraître rétrospectivement irresponsables dans leur absence de pressing et leur replacement aléatoire. Aucun entraîneur contemporain ne tolérerait un tel laxisme.
    Cette indolence apparente résultait pour une part des caractéristiques physiques des joueurs, qui ne pouvaient, alors, tenir 90 minutes en enfilant autant de kilomètres que leurs homologues actuels. Pour une autre part, ce tempo modéré constituait une convention de jeu tacite. C’est ainsi que l’on s’accordait à jouer, et un Gattuso téléporté en 1982 serait passé pour un hurluberlu, et un danger sanitaire.

    Pas de temps pour la technique

    Par contraste, c’est donc la rapidité du jeu actuel qui mérite d’être pleinement perçue. Les joueurs doivent maîtriser des passes qui auraient eu des allures de tirs il y a deux ou trois décennies. Certains observateurs estiment que le niveau technique a baissé, mais ce n’est pas certain: la technique a littéralement de moins en moins d’espace pour s’exprimer quand il importe de se replacer, de presser, et quand les gestes les plus simples (contrôler, passer) doivent être accomplis avec une promptitude affolante, sous une pression constante.
    Il n’est pas exclu que les footballeurs qui nous paraissent les plus frustes aient un bagage technique égal ou supérieur à leurs prédécesseurs, mais qu’il reste inexploité dans un contexte où les exigences d’impact dans les duels et de respect des mises en place constituent des fins en soi et contraignent à une efficacité maximale. La performance technique en 2011 - et elle n’est pas mince -, c’est déjà de ne pas perdre le ballon.

    Éloge de la lenteur

    Un style de jeu de passes a quasiment disparu: les milieux de terrain avaient jadis le loisir de lever la tête pour évaluer les différentes options, pour choisir entre différentes transmissions. Michel Platini, dont la “vision du jeu” était une évidence, incarne parfaitement cet âge du football. Au pire, il faisait la passe limpide que vous aviez vue depuis les tribunes ou votre canapé, sinon il effectuait celle que personne n’avait imaginée. Et toujours, cette passe juste favorisait le mouvement, elle disait au partenaire où il devait aller et elle lui avait déjà éliminé un ou deux adversaires, à quatre ou cinq mètres de lui mais dans sa course, dans l’intervalle. Le meneur de jeu avait un coup d’avance, et ses partenaires aussi.
    Platini a souvent lancé la boutade qu’il vaut mieux faire courir le ballon que courir soi-même, mais avec le quadrillage du terrain désormais en vigueur, les joueurs sont plus enclins à chercher des solutions immédiates ou à courir avec le ballon: dans les quelques dixièmes de seconde impartis, il est difficile de concevoir une meilleure passe que la passe la plus évidente. Et la vision du jeu se rétrécit considérablement pour le porteur du ballon.

    Prendre de vitesse

    En schématisant, aujourd’hui on joue vite, dans les pieds, en passes courtes, on cherche des appuis, des relais, un pivot pour progresser et manœuvrer le bloc d’en face, on percute plus qu’on ne dribble. Les joueurs techniques n’ont pas disparu, mais ils ont changé de profil, à l’image des stars actuelles: Messi, Cristiano Ronaldo, Rooney, Robben ou Ribéry sont des détonateurs, des solistes dotés d’un alliage désormais obligatoire d’habileté et de vitesse. Des footballeurs “spontanés” qui se distinguent notamment par une conduite de balle exceptionnelle (Jean-Patrick Sacdefiel a récemment dit tout le mal qu’il pense d’eux).
    Le prototype du joueur décisif doit être capable de franchir les rideaux de défenseurs et de déclencher des frappes soudaines. Capable de prendre de vitesse l’adversaire, de réaliser un exploit individuel plutôt que de penser une solution collective. Au sein de la sélection brésilienne, l’adoption de l’intransigeance tactique européenne et l’apparition de Ronaldo ont ainsi marqué, pour elle, la fin du football subtil mais inefficace de Socrates et Zico (lire “1986, l’assassinat du football“). Le jeu se fermant tactiquement, il faut de la célérité et un rythme élevé pour l’ouvrir (et le sauver de l’ennui?).

    L’intelligence sur le banc

    La construction des actions, l’aptitude à déséquilibrer l’équipe opposée reposait donc autrefois, pour une large part, sur la capacité d’analyse des joueurs et sur une forme de compréhension collective qui a depuis tendu à régresser, au profit d’un jeu plus instinctif qu’intuitif, plus tactique aussi. En résumant, l’intelligence de jeu s’est déplacée du terrain vers le banc: elle réside moins dans l’expression des joueurs que dans les schémas tactiques.
    Depuis une trentaine d’années, le coaching est en effet devenu de plus en plus déterminant, et une série d’évolutions parallèles a consolidé la tendance: raréfaction des numéros 10 [2], importance croissante des qualités d’endurance, préférence accordée aux profils très athlétiques, musculation intensive, recul de la construction du jeu au profit des milieux “récupérateurs” ou “relayeurs”, généralisation de la rigueur tactique, homogénéisation des styles de jeu, standardisation de la formation, durcissement des “duels”…

    Différences parlantes

    Avec moins d’inspiration dans un milieu de terrain sous pression constante, une forme de créativité collective a certainement décliné au profit de la stratégie et des exploits individuels (pour les équipes en mesure de recruter des joueurs hors classe). Naturellement, le football n’a pas changé du tout au tout en trente ans. Il reste des Iniesta ou des Xavi pour inventer des passes et donner de l’intelligence à leur équipe, il y a des joueurs exceptionnels, et les moments de grâce n’ont pas disparu (lire “7 secondes avec Messi”, dans Le Tigre n°5). On voit même les petits gabarits prendre un commencement de revanche sur les mastodontes.
    Les différences sont tout de même parlantes et le jeu a en partie changé de nature: il n’est certes pas moins “spectaculaire”, à en croire l’attention planétaire qu’il suscite encore, mais il est plus calculateur et moins imaginatif, plus fulgurant mais moins cérébral… Chacun estimera si cela suffit à dire que “c’était mieux avant”: ce doit être affaire de goût, sinon de génération.

    [1] Sortie des joueurs temporairement blessés, interdiction pour le gardien de prendre le ballon sur une passe du pied d’un partenaire et obligation de dégager en sept secondes, décompte plus précis du temps additionnel…
    [2] Zidane constitue un cas d’espèce, intermédiaire: joueur “lent”, sa technique exceptionnelle lui permettait s’échapper à la pression de l’adversaire et de prendre un temps d’avance. Mais sa vision du jeu comme son jeu de passe ne couvrait qu’un rayon relativement réduit en comparaison des numéros 10 des années 70 et 80.



    http://latta.blog.lemonde.fr/2011/04/28/le-football-cetait-mieux-avant/
     
  15. JuniorduQNC

    JuniorduQNC Member

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    Magnifique l'article merci Kaiser S. pour le partage
     
  16. l'eau aime

    l'eau aime Well-Known Member

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    UN CHAT NOIR -

    un but du Sud-Coréen Jung Jo-Gook a annihilé tous leurs efforts (77e). Valbuena encore : «On se procure plein d'occasions, et eux, la seule qu'ils ont, ils la mettent au fond...».

    Imbécile, idiot, incompétent, âne,TAIWO la bête de l'OM encore une fois l'image nous dis tout sur lui, derrière oui derrière l'animal arrive en retard comme d'habitude, mais que fait Mandanda en l'air????
    dégout de voir des navets se le faire glisser comme celà!
    -Je ne fais plus l'équipe pour ne pas porter la poisse
    - ne dis plus allez l'OM pour ne pas que cela se retourne contre nous
    - ne joue plus (jeu qui gagne perd!) pour ne pas avoir la schoumoune
    - pas de paris sur mon équipe pour ne pas que le contraire sorte
    - aucun commentaire sur l'adversaire sinon c'est tout l'inverse qui se produit
    - ne souhaite même pas par la pensée à la victoire de peur de me faire mettre
    - des chèvres qui broutent la pelouse voilà ce que je pense
    - un seul souhait ne plus voir le boulet[​IMG]
    - taper sur la tête de Mandanda avec des coups de pieds au cul.
    - UN SEUL QUI MERITE LE PLUS GRAND RESPECT( ne le dit pas par peur de lui porter la guigne)
    - un chat noir c'est moi!
    - ALLER,ALLER,ALLEZ-VOUS FAIRE DU BIEN??????MERDE, MERDE DE PUTAIN DE MERDE, LA HAINE.
     
  17. river junior

    river junior Well-Known Member

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    superbe article Kaiser
    Très bien renseigné et argumenté

    cliquez aussi sur le lien "1986 : l'assassinat du football" contenu dans cet article : c'est passionnant et très juste
     
    Dernière édition: 2 Mai 2011
  18. El Kamp#11

    El Kamp#11 Well-Known Member

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    Belle recherche Kaiser
     
  19. la rascasse

    la rascasse Well-Known Member

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    Super reportage qui vient se terminer sur France 3. L'histoire d'un but avec les coulisses de la victoire de 93 et les témoignages de Boli, Deschamps, Di Méco, Waddle, Papin et un fantastique TAPIE !
     
  20. Suix

    Suix Guest

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    93 avec Waddle et Papin ? C'était un film de science-fiction ?
     

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