Le Basket : NBA, Pro A, Equipes nationales

Discussion dans 'Les sports collectifs' démarrée par Rastachoik, 2 Mars 2007.

  1. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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  2. Lyjo

    Lyjo Well-Known Member

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    Toi aussi ?
     
  3. Mac'sous

    Mac'sous Mafia normande

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    Victoire, encore, des Knicks hier contre les Spurs!

    Et Lebron James a fait un match costaud pour gagner contre les Nuggets.
     
  4. Rastachoik

    Rastachoik Guest

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    Ah non...direct à la source! NBA.com

    Qu'est ce qu'ils bombardent à l'extérieur! :shock:

    Les Knicks vont ils nous refaire une saison façon Sprewell-Houston?
    Et dire que Stoudmire est pas encore là.
     
  5. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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    pas sur que ce sera aussi bien avec Stat en plus,
     
  6. Art Vandelay

    Art Vandelay Well-Known Member

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    Plus qu'un match, un début de saison costaud !


    Ses moyennes statistiques sont justes énormes en ce début de saison. 24.8 PPG, 6.8 APG, 9.2 RPG, 54% à 2pts, 45% à 3pts, ... le tout avec un nombre de balles perdues et de minutes jouées par match les plus bas de sa carrière.
     
  7. arabem

    arabem Well-Known Member

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    Salut


    Voici les matches de NBA sur BEIN SPORT pour le compte du mois de Decembre. Il s'agit des 6 matches en direct au minimum par semaine, il se peut que d'autres matches s'y ajoute... Vu que bein sport peut rajouter jusqu'à 6 matches supplémentaires par semaine.


    Samedi 01 decembre à 04h30 : LAKERS/DENVER


    Dimanche 2 decembre à 01h30 : MIAMI/BROOKLYN


    Dimanche 2 decembre à 18h00: NEW YORK/PHOENIX


    Mercredi 5 decembre à 01h30: BROOKLYN/OKC


    Jeudi 6 decembre à 02h00: HORNETS/LAKERS


    Vendredi 7 decembre à 02h00: MIAMI/NEW YORK


    samedi 8 decembre à 03h30: OKC/LAKERS


    dimanche 9 decembre à 02h00: CHICAGO/NEW YORK


    lundi 10 decembre à 01h00: OKC/INDIANA


    mercredi 12 decembre à 01h00: BROOKLYN/NEW YORK


    jeudi 13 decembre à 02h00: BOSTON/DALLAS


    vendredi 14 decembre à 02h00: NEW YORK/LAKERS


    samedi 15 decembre à 01h00: INDIANA/SIXERS


    dimanche 16 decembre à 02h30: SAN ANTONI/BOSTON


    lundi 17 decembre à 00h00: SIXERS/LAKERS


    mercredi 19 decembre à 01h30: MIAMI/MINNESOTA


    jeudi 20 decembre à 01h00: NEW YORK/ BROOKLYN


    vendredi 21 decembre à 01h00: MINNESOTA/OKC


    samedi 22 decembre à 01h30: NEW YORK/CHICAGO


    dimanche 23 decembre à 01h30: MIAMI/UTAH


    dimanche 23 decembre à 21h00: BROOKLYN/SIXERS


    mardi 25 decembre à 23h30: MIAMI/OKC


    jeudi 27 decembre à 03h00: DENVER/LAKERS


    vendredi 28 decembre à 04h30: CLIPPERS/CHICAGO


    samedi 29 decembre à 02h30: DALLAS/DENVER


    dimanche 30 decembre à 02h00: MEMPHIS/DENVER


    lundi 31 decembre à 01h30: DALLAS/SAN ANTONIO
     
  8. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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  9. BaSiLe_BoLi_

    BaSiLe_BoLi_ L'OM c'est nous

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    Après une dizaine de matchs, Kobe Bryant (34 ans) est le meilleur marqueur de la NBA (26.9 pts/match à 53% aux tirs et 41% à trois pts).

    Le jour ou il met fin a sa carrière on pleure .
     
  10. kornOm

    kornOm Anti virus anigo et SL

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    a oui ca c'est clair !

    bon maintenant il parle d'arreter a 40 ans ! lol
     
  11. kev_972

    kev_972 Well-Known Member

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    Les deux contre de Batum en fin de match et pendant la prolongation, sont juste énorme.
     
  12. Gattuso13

    Gattuso13 Long membre

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    Programme de la semaine BEin sport

    Mardi 20 novembre à 04h30 : LA Lakers – Brooklyn (BeIN Sport 1)
    Mercredi 21 novembre à 01h30 : Boston – San Antonio (BeIN Sport 1)
    Vendredi 23 novembre à 01h30 : Philadelphie – Brooklyn (BeIN Sport 1)
    Samedi 24 novembre à 1h00 : Philadelphie OKC (BeIN Sport 1)
     
  13. Suix

    Suix Guest

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    Juste pour info, je poste tous les jours le programme "spécial Sort US" dans le topic des programmes TV. Si certains veulent l'utiliser ...
     
  14. Suix

    Suix Guest

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    Plus de 30 ans que le CSP me fait connaître des émotions exceptionnelles. Énorme ! Et Beaublanc, cathédrale éternelle ...
     
  15. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Car ceci est une révolution…[/h]

    La réorganisation du calendrier international par la FIBA a transi la fédération européenne, qui voit s’étioler l’influence de son Euro-Basket. Marché de dupes au profit de la NBA ou vraie vision de développement? Cela se discute…
    [​IMG]David Stern (à droite) et la FIBA ont trouvé un terrain d’entente pour faire évoluer le calendrier international. Son successeur, Adam Silver (à gauche), préservera-t-il la même ligne auprès des franchises NBA?




    Comme aurait dit Steve Jobs : « ceci est une révolution ». Vraiment, sans rire. On ne s’en rend pas compte mais c’est bien une révolution. On parle de la décision de refonte du calendrier international prise par la FIBA et devant laquelle ont été placées les zones continentales comme devant un fait accompli. Que cela se soit produit sous la présidence d’Yvan Mainini, l’ancien boss de la fédération française, ne doit rien au hasard. Il en rêvait et avec l’aide, très intéressée n’en doutez pas, de David Stern, il l’a fait. La suppression d’un Euro-Basket sur deux à partir de 2017 est dure à avaler pour une zone européenne aujourd’hui désorganisée, incapable de répondre à cette amputation de sa compétition phare. Il faut mesurer qu’historiquement, quasiment jusqu’au clash de la « privatisation » de l’Euro-ligue au tournant des années 2000, la fédération du Vieux Continent avait largement dicté sa loi à la discipline. Ce que voulait l’Europe, le monde s’y pliait. Enfin, jusqu’à la porte d’entrée des franchises NBA…
    Il donc assez plaisant de relever que c’est celui qui offrait symboliquement, à Paris-Bercy, un laissez-passer à David Stern pour l’organisation d’évènements labellisés NBA en Europe, qui a accompagné ce changement radical, tout entier dévolu à un championnat du monde rebaptisé Coupe du monde des nations, dont les éliminatoires par groupes et matches aller-retour seront censées renforcer la visibilité des équipes nationales dans leur propre pays. A l’époque, Yvan Mainini feignait d’organiser un futur qui le dépassait. Aujourd’hui, il aide Patrick Baumann, le secrétaire général de la FIBA, à créer des conditions de mises à disposition des joueurs pour les sélections acceptables par les patrons des franchises américaines. L’idée est de les rendre davantage partenaires d’un Mondial qui n’a jamais valu à leurs yeux le quart de leur premier dollar. Franchement, il y a là du pragmatisme et de la vision… à condition que tout le monde joue vraiment le jeu.


    Et que Parker soit un Messi…


    Or, c’est encore et toujours la NBA qui a les meilleurs atouts dans sa manche et il conviendrait pour être rassuré de connaître deux choses : un, jusqu’où s’exercera la volonté américaine de réserver la sélection des joueurs US aux moins de 23 ans : écran de fumée brandi par Stern ou politique avérée ? Deux : la mise à disposition des joueurs NBA s’effectuera-t-elle vraiment avec l’automaticité d’usage en football (et encore, on voit qu’en foot cela ne va pas toujours de soi…) ? Si c’est le cas, alors on rejoindra l’enthousiasme de ce confrère argentin qui rêve sur le blog de la FIBA de voir les NBAers de son pays jouer des matches officiels à domicile comme le fait Leo Messi, que Scola ou Ginobili, à leur tour, soient des Messie, comme Parker ou Séraphin seront les nôtres.
    Il vaut mieux, en paraphant un accord, avoir confiance en son partenaire. La FIBA a donné des gages à la NBA mais n’a à ce jour rien gagné de concret en retour. La vision de développement international de David Stern, exprimée dès 1987 avec la création de l’Open McDonalds, l’a installé comme un partenaire sans doute un peu trop puissant, mais plutôt loyal, de la Fédération internationale. Même si, pour lui, les JO étaient et demeurent, la vraie vitrine. Mais la valorisation du championnat du monde en année impaire ne l’a pas laissé indifférent. L’ennui, c’est qu’au 1er février 2014, David Stern aura quitté ses fonctions. Adam Silver, son successeur désigné, tiendra-t-il le même cap, résistera-t-il aux appétits, réticences, voire nombrilisme des propriétaires des franchises ? Il n’y a pas de révolution sans risque. Et ceci est une révolution.


    JEAN-LUC THOMAS
     
  16. Rastachoik

    Rastachoik Guest

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    Sacrément chounard aussi sur ce coup là :lol:

    Mais c'est ça le basket!

    Ah ça oui si ça se fait vraiment, c'ets une révolution!
    Donner beaucoup plus d'importance dans les équipes nationales, supprimer une compétation pour avoir un peu plus de recul. Si certains sports spouvaient aussi suivre cet exemple.


    Et sinon y a pas un p'tit passage en force sur TP sur la dernière action?
     
  17. Suix

    Suix Guest

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    :wink::lol:

    [h=1]Le hold-up de Limoges[/h] Limoges a vaincu le signe indien et a remporté sa première victoire de la saison à Beaublanc en battant (67-66) Poitiers grâce à un tir à trois points de Kyle McAlarney à deux secondes de la fin.



    Panagiotis Giannakis et Nobel Boungou Colo enfin vainqueurs à domicile. (L'Equipe)

    [​IMG]



    « On l'a vu perdu vingt-cinq fois ce match », souffle Frédéric Forte au micro de Sport +. Après la victoire (67-66) de son équipe contre Poitiers, le président de Limoges a perdu sa voix mais a ramené un premier succès à Beaublanc cette saison grâce à un tir à trois points de Kyle McAlarney à deux secondes de la fin. Et ce dernier shoot fait oublier aux 5000 supporters le festival de ballons perdus (44 au total). Comme l'ancien meneur, les inconditionnels mettent de côté le niveau de jeu pour garder l'émotion de cette remontée de sept points (59-66) à trente secondes de la fin.

    Pierre-Yves Guillard n'en revient toujours pas : « Je n'ai de mots. On avait le match en main et ils reviennent.» Les deux lancers francs ratés d'Ahmad Nivins à vingt secondes du buzzer coûtent très cher. Sans compter les 24 pertes de balle et une adresse (46,84% aux tirs) en berne au fil des minutes... Ils peuvent arrêter de compter les occasions manquées, oublier les quinze points (23-38 à la 22e) et effacer la débandade limougeaude pendant les deux premiers quarts temps. Quand Justin Gray (15 points dans les dix dernières minutes) enfile les paniers à trois points dans le dernier quart temps, les Poitevins se sont vu très beaux et sont tombés de très haut. Mais le coeur a prévalu sur la manière.
    «On s'est battu jusqu'à la fin, on n'a pas lâché. C'est une victoire difficile mais belle. Pour une fois, ça tourne.» Nobel Boungou ColoTendus par cette disette à domicile et stressés par huit défaite d'affilée contre Poitiers, les joueurs de Panagiotis Giannakis ont multiplié les maladresses. Fidèles, les supporters de Beaublanc continuent à pousser et la chance finit par tourner à l'instar de Nobel Boungou Colo qui a battu son record personnel avec 21 points. « On s'est battu jusqu'à la fin, on n'a pas lâché. C'est une victoire difficile mais belle. Pour une fois, ça tourne », se réjouit l'ailier, meilleur marqueur du match, au micro de Sport +. Le cauchemar face au Mans est (un peu) effacé.
     
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    C'est clair que c'est un bel hold-up mais faut être honnête ils méritaient d'en gagner au moins un depuis le début de saison.

    En tout cas énormément d'émotions hier soir, un match type accordéon et à la fin je pensais vraiment que c'était plié définitivement mais finalement non !

    J'ai cru que Forte allait faire un malaise après le match :-x
     
  19. bordelihno

    bordelihno Well-Known Member

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    J'ai une petite pensée pour ceux qui se sont barrés avant la fin du match :frown: oh les cons!!!!

    Sinon le niveau de l'arbitrage au basket est du même niveau qu'au foot, rien de rassurrant, quand tu vois Bissang tailler la bavette tout sourire avec son pote nelhomme avant le match et lui glisser des sourires en coin pendant c'est scandaleux

    Pour le reste une grande émotion comme ca faisait longtemps
     
  20. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Jon Brockman à Limoges[/h]


    L'effectif de Limoges s'épaissit un peu plus avec la signature d'un intérieur au beau CV, l'Américain Jon Brockman (2,01 m, 25 ans). Cet ailier-fort drafté au deuxième tour en 2009, ancien joueur très coté au lycée, a essayé en vain de s'imposer en NBA ces trois dernières saisons. Il a disputé 150 matches avec les Sacramento Kings puis les Milwaukee Bucks (2,1 points, 3,1 rebonds en 10'). Il tentera de devenir ce point d'appui offensif dans la raquette qui manque au CSP, lequel a six joueurs non-JFL (étrangers) sous contrat et devra au minimum en écarter un à chaque match.
     

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