Le Basket : NBA, Pro A, Equipes nationales

Discussion dans 'Les sports collectifs' démarrée par Rastachoik, 2 Mars 2007.

  1. Suix

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    [h=1]Les Spurs sur le fil[/h]



    Les Spurs l'ont emporté sur le fil face à Dallas (92-91) jeudi soir, en comptant notamment sur un Tim Duncan de gala (28pts, 19rbds).

    Dans l'autre match de la soirée, Portland a infligé aux Knicks leur troisième défaite consécutive (105-90). Lamarcus Aldridge (22pts, 10rbds) et Damian Lillard (26pts, 10pd) ont fait le show.
     
  2. Gattuso13

    Gattuso13 Long membre

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    Les Knicks ont perdu Melo, Stoudemire et Chandler sur blessure... Ajoute a cela un road trip a l'ouest et c'est la catastrophe. Ils ont perdu la 2ème place et la 3ème aussi s'ils continuent sur ce rythme
     
  3. Suix

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    [h=1]NCAA : La March Madness en intégralité sur ESPN America[/h]
    La Championship Week, durant laquelle se dispute l'ensemble des tournois de conférence, se termine ce week-end. À minuit (heure française) dans la nuit de dimanche à lundi, le comité de sélection déterminera alors les 68 équipes qui disputeront à partir de mercredi prochain le Tournoi NCAA, plus connu sous le nom de March Madness (la folie de mars). Le Final Four, organisé à Atlanta les samedi 6 et lundi 8 avril, couronnera le champion national 2013.
    Actuel numéro 1 du Top 25 de l'Associated Press, Gonzaga, l'ancienne fac de Ronny Turiaf, fait partie des grands favoris, au même titre que Louisville, Duke ou Indiana. La March Madness est aussi l'occasion de découvrir les stars NBA de demain comme Ben McLemore (Kansas), Marcus Smart (Oklahoma State), Otto Porter (Georgetown), Shabazz Muhammad (UCLA) ou encore Cody Zeller et Victor Oladipo (Indiana).

    Pour ne rien râter



    La chaîne ESPN America et le site ESPNPlayer.com proposent une couverture exhaustive en direct et en VO de la March Madness. Vous pouvez d'ores et déjà suivre les meilleurs matches de la Championship Week et le Selection Sunday dimanche à partir de minuit. Se joueront mercredi à partir de 23h30 (heure française) les matches qui détermineront les quatre dernières équipes qualifiées pour la March Madness dont le coup d'envoi sera donné jeudi à 17h avec plus de 12 heures d'affilée de direct pendant quatre jours consécutifs sur ESPN America. Vous pourrez aussi voir tous les matches en direct et à la demande sur ESPNPlayer.com. Le même dispositif sera reconduit ensuite lors du troisième tour (23-24 mars à partir de 17h), du Sweet 16 (28-29 mars à partir de minuit), de l'Elite Eight (30-31 mars) et enfin du Final Four (6 et 8 avril).

    Un bracket mondial



    À l'issue dimanche du Selection Sunday, vous connaîtrez les 68 équipes qui disputeront la March Madness. Vous aurez alors la possibilité de participer au Tournament Challenge Bracket d'ESPN. Chaque année, des millions de fans, dont Barack Obama, le président des Etats-Unis, y participent. Le but est de prédire le résultat de chaque match et donc au final le champion. Un exercice difficile voire même impossible puisque personne n'y est encore parvenu. Le Tournament Challenge est ouvert cette année aux fans du monde entier entre le 17 mars et le 8 avril. Pour vous inscrire : ESPNAmerica.com/bracket.

    Survive and Advance
    , ou l'épopée de NC State en 1983



    À l'occasion du Sweet Sixteen, ESPN America diffusera le jeudi 28 mars à 22h un nouvel opus de la saison 2 de la série 30 For 30. Survive and Advance retrace le parcours exceptionnel en 1983 à la March Madness de l'université de North Carolina State, coachée par Jim Valvano - connu sous le surnom de Jimmy V. Malgré un statut d'outsider, le Wolf Pack crée cette année-là la surprise en éliminant notamment North Carolina et Michael Jordan, puis Houston et Akeem Olajuwon pour devenir champion universitaire.
     
  4. Suix

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    Limoges en costaud

    Limoges a dominé Poitiers sur son parquet, vendredi soir (88-80 ap.), au terme d'un match haletant. Si le CSP peut respirer, les Poitevins restent premiers relégables. Mauvaise opération également pour l'ancien co-leader Strasbourg, battu par Cholet (65-71).

    Malgré un Lamine Kante remarquablement adroit, Poitiers s'est incliné face à Limoges après prolongation. (L'Equipe)


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    Le derby de la phase retour entre Poitiers et Limoges a encore une fois tenu ses promesses. Les deux anciens grand rivaux se sont livrés une bataille haletante. Poitiers, qui recevait dans son antre de Beaublanc, vendredi, avait à coeur de prendre sa revanche sur le match aller. Alors qu'ils avaient le match en main, les Poitevins avaient craqué dans le money-time pour s'incliner d'un rien (67-66). Cette issue douloureuse ne leur a visiblement pas servi de leçon. Après un départ difficile (13-20), le PB86 a retrouvé toute son agressivité pour dominer la partie, notamment grâce à une excellente adresse à 3 points (12/29, 41%).


    Limoges a tenu bon


    Lamine Kante s'est d'ailleurs illustré à ce jeu-là, compilant 29 points (à 6/10 à 3 pts). Sa réussite n'a pas pour autant découragé les hommes de Panagiotis Giannakis, qui se sont accrochés, réalisant une remontée in extremis. Mipoka a passé le tir primé de l'égalisation à 24 secondes de la fin (75-75), sur une contre-attaque. Derrière, les Poitevins se sont raté. En prolongation, ils ne montreront plus le même visage offensif et encaisseront un 8-2 en quatre minutes. Brockman se permettra même un dunk (80-88 ap.). Une fois de plus, Poitiers n'a pas tenu, et cette 11e défaite en treize journée n'arrange pas ses affaires au championnat (15e, premier relégable). Pour Limoges, deux rangs au-dessus, c'est un bol d'air.

    La SIG perd les commandes



    Strasbourg n'a pas poursuivi sur la lancée de sa victoire à domicile face au Havre samedi dernier. Comme à l'aller, la SIG s'est cassé les dents sur Cholet (65-71) et lâche les rênes de la ProA, qu'elle tenait avec Gravelines. Les Alsaciens conservent tout de même de l'avance sur Chalon-sur-Saône, 3e.
     
  5. Suix

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    [h=1]Le «meilleur match» de Beaubois[/h]



    «Il a réalisé son meilleur match de l'année au moment le plus opportun», a estimé Rick Carlisle, l'entraîneur de Dallas, après la pointe à 18 points et 5 passes décisives de Rodrigue Beaubois contre Cleveland en seulement 22 minutes. Le meneur-arrière guadeloupéen a été le meilleur marqueur des Mavericks vendredi alors que ce n'est que son troisième match de la saison à dix points ou plus.

    Beaubois a surtout inscrit la moitié de ses points dans la dernière période. Avec des titulaires en souffrance (39% aux tirs, 6/17 pour Nowitzki), les Texans étaient menés au bout de trois quarts-temps par des Cavs orphelins de Kyrie Irving, blessé à une épaule. Mais ils sont allés chercher la victoire (96-86) grâce à un gros apport de leur banc. Rompu au fonctionnement de la NBA après quatre années erratiques, Beaubois, formé au New Star de Point-à-Pitre et à Cholet, a répondu présent en inscrivant autant de points en 10'19" dans cette période que lors des deux matches précédents. Il a conclu sa prestation d'un dunk ligne de fond, une façon de se montrer alors qu'il arrive en fin de contrat.
     
  6. Suix

    Suix Guest

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    Final Eight: Bourges de retour parmi les grands



    Bourges retrouve pour la première fois depuis 2008 la phase finale de l'Euroligue dames de basket-ball, lors du Final Eight qui débute lundi à Ekaterinbourg (Russie), mais avec des ambitions extrêmement mesurées après avoir été accablé de malheurs toute la saison.

    Bourges a une expérience sans équivalent sur la scène européenne. C'est la 9e fois que le club français, sacré trois fois champion d'Europe (1997, 1998, 2001), participe au tournoi final de l'Euroligue, soit plus qu'aucun autre club en Europe.


    Ce Final Eight, qui regroupe les huit meilleures équipes continentales, n'a toutefois pas tout à fait la saveur des expériences précédentes, puisqu'il s'agissait alors de Final Fours (quatre meilleures équipes).
    En obtenant son billet pour Ekaterinbourg, Bourges n'a fait que rester dans la vague de ses précédents résultats. Sur les 18 dernières saisons d'Euroligue, il a en effet atteint 16 fois les quarts de finale.
    Pour aller plus loin, et revivre des demi-finales qu'elles n'ont plus connues depuis 2008, les Berruyères vont devoir multiplier les miracles. Car il est peu dire qu'elles n'abordent pas cette épreuve dans les meilleures dispositions.


    Après avoir déjà perdu plus tôt dans la saison Cathy Joens et Frida Eldebrink, elles ont vu Styliani Kaltsidou être victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche, lors de la défaite face à Lyon mardi dernier en quart de finale de la Coupe de France.


    L'ailière grecque était revenue en novembre d'une blessure identique. Puis vendredi lors du match de Championnat perdu contre Montpellier, Endéné Miyem s'est fracturée le nez. L'intérieure internationale, meilleur atout offensif de son équipe (12,8 points, 6,7 rebonds de moyenne), sera donc diminuée.
    Si l'arrière britannique Johannah Leedham fait son retour, après une blessure à la cheville, le jeu offensif des Berruyères risque de pâtir de l'absence de Kaltsidou. Car ces blessures à répétition expliquent pour beaucoup les difficultés entrevues dans ce secteur depuis le début de la compétition.


    Bourges dispose de la meilleure défense parmi les huit qualifiés. Mais cela pourrait ne pas être suffisant. A moins que sa capitaine Céline Dumerc, qui revient à Ekaterinbourg où elle a évolué deux saisons entre 2009 et 2011, ne retrouve les pouvoirs magiques qui lui avaient permis l'été dernier d'apporter une médaille d'argent olympique à la France.


    Pour accéder aux demi-finales, les Berruyères devront sortir parmi les deux premières d'une poule qui comprend le Spartak Moscou, quadruple vainqueur de l'épreuve (2007, 2008, 2009, 2010) et finaliste en 2011, et deux autres habitués: Fenerbahçe (4e en 2012) et Schio (7e en 2012).
     
  7. Rastachoik

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    Victoire de Boulazac contre l'Asvel, voilà un bon résultat.
     
  8. Suix

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    Un peu d'espoir mais ce sera dur, je pense.
     
  9. Suix

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    Bourges commence mal

    Bourges a débuté le Final 8 de l'Euroligue par un revers contre Fenerbahçe, lundi à Ekaterinbourg, pour le compte du groupe B (69-44).


    Céline Dumerc et Bourges sont déjà dans le dur. (L'Equipe)

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    Les joueuses de Bourges ont très mal commencé le Final Eight de l'Euroligue en s'inclinant lourdement face au club turc de Fenerbahçe (69-44), lundi à Ekaterinbourg. Les chances du champion de France d'atteindre les demi-finales - une première depuis 2008 - semblent déjà compromises, puisque leur deuxième match sera disputé face au Spartak Moscou, quadruple vainqueur de l'épreuve (2007, 2008, 2009, 2010) et victorieux lundi de Schio (88-79).

    Privée de l'ailière grecque Styliani Kaltsidou, victime d'une rupture des ligaments croisés du genou gauche, les Françaises savaient de toute manière que l'exploit allait être difficile à décrocher. Les coéquipières de Céline Dumerc, qui a joué à Ekaterinbourg pendant deux saisons (2009 et 2011), avaient pourtant bien débuté en faisant la course en tête pendant les vingt premières minutes, et en gardant les commandes à la pause (31-28 ). Mais elles ont ensuite vécu un troisième quart-temps catastrophique et accumulé les tirs ratés et pertes de balle. Avec la deuxième meilleure attaque d'Euroligue (79,7 pts de moyenne), le Fenerbahçe, outsider pour le titre, leur a alors infligé un 25-4 en dix minutes. L'affaire était bouclée.
     
  10. Rastachoik

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    Ca semble assez compromis oui, mais tant qu'il y a de la vie....
     
  11. Suix

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    J'ai connu ça il y a 2 saisons avec le CSP.
     
  12. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Beaubois, main fracturée[/h]



    Rodrigue Beaubois, l'arrière français de Dallas, s'est fracturé la main gauche lors de la défaite des Mavericks devant Oklahoma (101-107), dimanche. Le joueur de 25 ans s'est blessé lors du deuxième quart-temps et devrait manquer le reste de la saison, même si la durée exacte de son indisponibilité n'est pas encore connue. Depuis son arrivée à Dallas en 2009, il avait notamment été opéré deux fois du pied gauche, à l'été 2010 puis l'été 2011, pour une même fracture. Il avait réalisé sa meilleure performance de la saison vendredi contre Cleveland, en inscrivant 18 points.
     
  13. Rdp49

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    Très loin d'être fini, vous avez l'avantage d'avoir le point average particulier sur nancy et poitiers, vous pouvez sortir de la zone rouge dès la semaine prochaine en jouant à Paris, ils devraient être prenable avec la belle de quarts de finale de CE demain soir et avec leurs 2 meilleurs joueurs loin d'être à 100%. Nancy vient chez nous, cholet gagnera probablement, ce match doit assurer notre maintien. Dommage d'avoir perdu Monroe, l'équipe a bien tourner sans lui samedi dernier, il y a de l'espoir avec acker un gros cv EU qui manque de leadership malgré tout.
     
  14. Rdp49

    Rdp49 Guest

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    Cette année, c'est pas passer loin, tu prends juste les 2 matchs contre Poitiers que les Pictaviens ont c'est le moins qu'on puisse dire en mains, avec un vrai coach ils gagnent les 2 et les situations sont a peu près inversés au classement

    Sinon la une du populaire, avec la légende :lol:

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  15. Rdp49

    Rdp49 Guest

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    J'ai vu le match, dès que les Turcs ont joués sérieusement, il y a pas eu photo
     
  16. Rdp49

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    ça risque d'être dur pour roddy de chopper un contrat l'année prochaine, en 4 ans il a été plus souvent out que in, peut être un retour en europe, c'est con il a montré qu'il avait le potentiel lors de sa 1ère année
     
  17. Suix

    Suix Guest

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    Arrête je pense que c'est un pote qui a écrit la légende. Si c'est lui, il l'a fait exprés. T'as l'article complet ? Regarde s'il est signé Jacques Deglane.
     
  18. Rdp49

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  19. Suix

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  20. Suix

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    [h=1]Allo, New York, problème?…[/h]

    Empêtrés dans les blessures, les Knicks rament dur… alors que les Nets sont plutôt dans la dynamique inverse. Et l’on ne sait toujours pas qui est le champion de la rue newyorkaise.


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    DeRon Williams (à droite) est en plein renouveau et prêt pour les prochaines batailles de New York




    C’est un trompe l’œil qui ne trompe plus personne. Au classement, New York apparaît toujours bien agrippé à la troisième place à l’Est, mais entre trois et sept, il n’y a que deux victoires d’écart, et les Knicks ne doivent qu’aux vestiges de leur très percutant début de saison (19-6) d’occuper encore une position que leur situation actuelle rend bien flatteuse. Toute la hype de novembre, la conquête du leadership de la Grosse Pomme, la mise en scène médiatique de la tradition du Garden face au bling-bling nouveau riche des Nets, les matches à 40 points et plus d’un Carmelo Anthony contestant bravement aux gros bras de la ligue la future couronne de MVP, tout cela s’est estompé dans la grisaille triviale que l’on pouvait banalement redouter : le roster aux noms ronflants mais aux cartes d’identité couleur vermeil a payé un lourd tribut aux blessures et perdu en route les quelques acquis collectifs de sa flamboyante mise sur orbite.


    New York aujourd’hui reste solide à la maison mais équilibre petitement son bilan à l’extérieur (16-16 après 4 revers consécutifs) où il jouera la moitié de ses matches d’ici le 17 avril, terminant opportunément au Madison contre un probable adversaire direct, Atlanta. Les Knicks peuvent-ils faire le dos rond et rebondir en play-offs ? Ils devront inverser une dynamique bien pesante et offrir un tout autre visage que celui, cacochyme, proposé ce dimanche face aux Clippers. En admettant que Melo réapparaisse avec une cape de Superman, peut-il porter seul une équipe de guingois ? On a reconnu au scoreur-puncheur capable de frapper sous tous les angles une capacité nouvelle à retrouver ses partenaires ? … Mais dans quel état sont-ils ? Croit-on vraiment que l’apport de Kenyon Martin peut soutenir durablement la charpente ?


    Le réveil de DeRon Williams



    Nous ne savons donc toujours pas à ce jour qui est le roi de New York. Car les Nets, après deux premiers mois juste équilibrés (16-15), ont su monter en régime (22-13) –même s’ils ont un peu plus de mal actuellement- et faire du Barclays Center un fortin solide à Brooklyn. Les voici à hauteur de leurs rivaux en ville mais face à un calendrier éprouvant (11 déplacements sur les 17 derniers matches) et toutes leurs limites contre les équipes mieux classées. Vous allez voir qu’avec une telle bagarre pour les positions à l’Est, nous allons nous retrouver avec un Knicks-Nets au premier tour… De quoi faire rendre hystérique la presse de Big Apple et désigner pour de bon le champion de la rue que l’on saura nous vendre comme le roi du monde, car il n’est bon bec que de Times Square, pas vrai ? Et tant pis pour les « bouseux » du Texas ou de l’Oklahoma…


    Le moins ironique n’est pas qu’après avoir bien déçu son monde et enchaîné les blessures depuis sa venue de Utah, DeRon Williams file vers la post-saison en affichant une insolente santé alors que l’infirmerie des Knicks ne désemplit pas. Le meneur des Nets n’a manqué que trois matches en 2012-2013, expédié une tornade de trois points (11/16 !) le 8 mars contre Washington, et tourne depuis le début d’année à 19,5 points et 7,8 passes en ayant retrouvé toute son explosivité et une consistance à mi-distance qui lui rend beaucoup plus d’options offensives. Finalement, la bataille de New York n’a pas encore commencé. Alors, Melo versus DeRon très bientôt sur nos écrans? On doit être un peu faux-cul parce qu’on se moque… mais on regardera.

    JEAN-LUC THOMAS
     

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