Le Basket : NBA, Pro A, Equipes nationales

Discussion dans 'Les sports collectifs' démarrée par Rastachoik, 2 Mars 2007.

  1. Rastachoik

    Rastachoik Guest

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    Bon j'ai un match de retard...

    Pour les demis de conférence :

    OKC 4-2 Memphis Grizzlies
    Spurs 4-3 Golden State

    Miami 2-4 Chicago
    New York 3-4 Indiana
     
  2. Mac'sous

    Mac'sous Mafia normande

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    Demi-finale de Conférence Ouest :
    San Antonio Spurs - Golden State Warriors : 129-127, a.2p

    San Antonio mène 1-0 dans la série

    Les Warriors y ont longtemps cru. Cru qu'ils allaient enfin mettre fin à leur disette à San Antonio où ils ne se sont plus imposés depuis 1997. Stephen Curry aura pourtant tout fait pour mettre un terme à la malédiction (44 points, 11 passes), mais cela n'aura pas suffi. Menés pendant 44 minutes, les Spurs ont fini par s'imposer grâce à un tir primé de Manu Ginobili à trois secondes de la fin de la deuxième prolongation. Un terrible coup de massue pour Golden State. Un succès inespéré pour les Spurs (129-127, a.2p).

    Face à un Curry qui a affolé les compteurs et réalisé une partie d'anthologie, les Spurs ont su se montrer patients. Parfois un peu trop tout de même. Mais un 15-0 en moins de trois minutes dans le dernier quart permettait à Tony Parker et ses coéquipiers de revenir dans une fin de match à couper le souffle. Parker enchaînait d'ailleurs les prises de décisions déterminantes et Boris Diaw, à l'image de toute l'équipe, se mettait à réaliser des merveilles en défense. Dans la première prolongation, il se permet même un tir primé qui redonne espoir aux Spurs. Le reste, l'ultime panier d'un Ginobili pourtant maladroit (4/19), est déjà dans l'histoire de la franchise.

    __________​

    Les Bulls s'offrent le Heat

    Grâce à un Joakim Noah encore décisif les Bulls remportent le premier match de leur demi-finale face à Miami (86-93).
    Demi-finale de Conférence Est
    Miami Heat - Chicago
    Bulls : 86-93
    Chicago mène 1-0 dans la série

    Au soir de la qualification pour les demi-finales de la Conférence Est de Chicago, Joakim Noah avait prévu la guerre face au Heat, champion en titre, et sa star LeBron James. Ce dernier, qui avait pourtant reçu son trophée de MVP de la saison régulière quelques heures plus tôt, a mis du temps à faire honneur à sa distinction. Deux points en première mi-temps, c'est bien trop peu pour un joueur de sa classe. Surtout que face à un Heat un peu rouillé après une semaine d'inaction, les joueurs des Bulls ont réalisé le match parfait pour un hold-up de haute volée (86-93). Patients, les joueurs de Tom Thibodeau ont su tisser leur toile défensive pour contrer toutes les velléités offensives de Miami qui a mis cinq minutes à trouver le chemin du panier adverse et aura sans doute réalisé le plus mauvais quart-temps de sa saison en début de rencontre (15-21).

    Double-double pour Noah

    «Ce n'est qu'un match, il faut en gagner encore trois. Ce n'est pas assez.»
    Les stars de Miami aux abonnés absents jusqu'au money time, ce sont celles de Chicago qui ont été mises en lumière. A commencer par Joakim Noah, auteur d'un double-double (13 points et 11 rebonds) et Nate Robinson (27 points). L'activité du Français a notamment permis aux Bulls de ne pas décrocher quand le Heat s'est enfin mis à tourner à plein régime. «On a une mentalité de guerriers. On a un groupe qui a très faim. C'était une année très difficile pour nous. On a eu beaucoup de blessures, on a joué parfois à sept ou huit. Pouvoir être dans cette situation, c'est énorme !», nous confiait Noah après la rencontre.

    Enervés, frustrés, les joueurs du Heat ont finalement perdu patience face à des Bulls ultra déterminés. Pourtant privés de joueurs clés comme Luol Deng et Kirk Hinrich, Noah et ses potes ont su tirer le meilleur d'eux-mêmes pour estomaquer les supporters de Miami qui ne s'attendaient sûrement pas à vivre ce genre de soirée. Pourtant, Noah est le premier à garder les pieds sur terre. «Je suis très content, c'était un gros match. Pouvoir battre le champion en titre, c'est quelque chose de très bien. On n'est pas satisfaits. Il faut continuer à travailler, à se préparer pour un gros match vendredi. Ce n'est qu'un match, il faut en gagner encore trois. Ce n'est pas assez». Apparemment aucune trêve n'est prévue dans la guerre annoncée par Joakim Noah.

    Blessé à la voûte plantaire, Joakim Noah nous a confié qu'il allait mieux. «Il y a deux semaines, j'étais vraiment mal. Ça va beaucoup mieux maintenant. Pouvoir être dans cette position-là, c'est presque un miracle. Je suis trop content.»



     
  3. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Je sais pas si certains ont maté SAS - GSW mais si c'est pas le cas ils ont loupé quelque chose.Quel match putain :pensif:

    Curry est pas humain.
     
  4. Suix

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    [h=1]Parker n'avait jamais connu ça[/h] Pour Tony Parker, «une chose est sûre, c'est le match le plus fou de ma carrière», a déclaré le Français après la victoire renversante des Spurs face aux Warriors (129-127 a.2p.).


    Tony Parker s'en va marquer devant le pivot de Golden State Festus Ezeli. (Reuters)

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    «Le match est fini depuis une heure et demie et je suis déjà au fond de mon lit. Je suis mort. Je ne me rappelle pas avoir été aussi fatigué après un match.» Rappelons que Tony Parker, au fil de sa magnifique carrière, a accumulé 872 rencontres de saison régulière en NBA, 157 de play-offs et 130 avec l'équipe de France. Bien sûr, l'excitation fait parfois exagérer les choses. Mais ne peut-on pas le croire ? Ces propos illustrent l'intensité déployée lors du premier match de la demi-finale de conférence entre San Antonio et Golden State. Une implication, une folie même avec des Warriors «inconscients», qui a débouché sur un renversement de situation inoui alors que les Spurs étaient menés de seize points à moins de cinq minutes de la fin du temps réglementaire (88-104).


    Parker a alors enchaîné six points en cinquante secondes, lançant un 16-0 texan. «On n'a pas baissé les bras dans le dernier quart-temps parce qu'on ne voulait pas sortir du match la tête basse, explique le Français sur son site personnel. Quitte à perdre, il fallait au moins finir sur une bonne note avant le match deux de mercredi.» Mais plutôt que de convertir ce duel un mal embouché en une défaite honorable, les Spurs l'ont transformé en «l'un des plus gros matches de ma carrière», s'extasiait TP.

    Dans la deuxième prolongation, alors que les Spurs avaient pris cinq points d'avance avec six des 28 points du Français en moins de deux minutes, voilà que Manu Ginobili, qui pointait à 4/18 aux tirs, se mettait à tirer à neuf mètres, sans même la pression du chronomètre ! Et les Warriors de repasser devant (126-127) à trois secondes de la fin après un double pas raté de Parker...


    Popovich sur Ginobili : «Je suis passé de l'envie de le transférer à l'envie de le lui faire son petit déjeuner» «Pourquoi Manu a pris ce shoot ? Je ne sais pas, je le laisserai s’expliquer avec Pop (Gregg Popovich)», en rigolait Parker. «J'étais fatigué», a plaidé l'Argentin.

    Au point de «ne pas être un option» sur la dernière action, «qui était pour Tony ou Boris (Diaw). Sauf qu'après «avoir placé un écran pour TP, ils (les deux défenseurs) sont allés sur lui et je me suis retrouvé seul du côté faible», a raconté Ginobili. Un incroyable raté défensif de Golden State exploité par Kahwi Leonard, qui passait à "El Manu", lequel ne manquait pas la cible cette fois. «Je suis passé de l'envie de le transférer sur l'instant à l'envie de le lui faire son petit déjeuner le lendemain», a résumé Popovich. «On revient de l’enfer, estimait Parker. c’était un match de folie. Je n’ai jamais vécu un truc pareil. Il faut donner du crédit à Golden State. Avec Stephen Curry (44 points et 11 passes décisives malgré le dévouement défensif du Français, Ndlr), ils ont un joueur exceptionnel. A mon avis, la série va être très longue.»

    X.C.
     
  5. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]2e tour: les résultats de mardi[/h]
    Résultats des matches du 2e tour (demi-finales de Conférence) des plays-offs de la Ligue nord-américaine de basket-ball (NBA) disputés mardi (séries au meilleur des 7 matches):

    . Conférence Est:

    New York - Indiana 105 - 79
    (les deux équipes sont à égalité 1-1)
     
  6. Suix

    Suix Guest

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    Le coup d’accélérateur des Knicks







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    Imaginer leurs Knicks menés 2-0 après deux matchs au MSG face à Indiana, voilà un scénario que ni John McEnroe, ni Spike Lee n’auraient imaginé, même dans leurs pires cauchemars. C’est pourtant ce qui a failli arriver aux New-Yorkais, lorsque les Pacers ont pris l’avantage pour la première fois de la partie, en milieu de 3e quart-temps. Mais heureusement pour leurs fans, les Knicks ont répondu de façon incroyable, alignant un 28-2 par la suite pour terminer la partie comme dans un rêve, sur le score de 105-79. Un véritable coup de massue dont il faudra attendre les deux prochains matchs à Indianapolis pour connaître la réelle portée.



    Les efforts new-yorkais balayés en deux minutes


    Les fans du MSG ont eu leur lot de sensations fortes pour ce deuxième acte de face à Indiana. Maîtres de la première mi-temps après avoir compté jusqu’à 13 longueurs d’avance, les Knicks ont vu les Pacers revenir en un éclair, juste avant la pause, déchaînés par un 8-0 en deux minutes qui les ramenait à 47-42. Le bon boulot des facteurs X Raymond Felton en premier quart (4/4 au tir) et du duo Martin-Shumpert en second (6 pts chacun, 2 blocks pour K-Mart et une extraordinaire claquette dunk pour Shumpert) avait été envoyé aux oubliettes par le coup de chaud de Paul George (15 pts à la mi-temps).

    Spike Lee se rassoit sans broncher


    Et fatalement, les Pacers, moins dominateurs qu’au Game 1 à l’intérieur, mais à la mécanique toujours bien huilée, réussissaient à faire trembler le 2ème de la conférence Est. Scotché par Hibbert, Melo continuait de forcer et de grimacer. Spike Lee, la marionnette préférée du MSG, qui exhortait ses troupes à calmer le jeu, se rasseyait sur son siège, impuissant devant le 2+1 de David West qui ramenait Indiana à 55-54, puis sur les deux 3 points de Stephenson et Hill qui donnaient pour la première fois l’avantage aux Pacers (64-66).

    Pendergraph mange la poussière


    Alors que le cauchemar orange & blue semblait se répéter, les Knicks, au fond du trou, allaient rebondir de plus belle. Par l’intermédiaire de Melo qui prenait West de vitesse avant d’aller écrabouiller un dunk avec la faute sur la tête de Pendergraph, pour redonner du baume au cœur au Garden. Auteur de 11 points en 3e quart, le numéro 7 new-yorkais voyait ensuite K-Mart puis Chandler martyriser le cercle à leur tour pour terminer la période avec 6 longueurs d’avance (72-66).

    Melo retrouve adresse et toucher


    Dès le début du dernier acte, Pablo Prigioni mettait son équipe sur la route de la victoire. Rapidement à + 10, puis à +20 grâce au facéties d’un Carmelo à la sérénité retrouvée, New-York se retrouvait à faire le show alors qu’Indiana ne trouvait plus de solutions, ratant 13 shoots d’affilée. A 4/11 à la pause, Anthony se montrait bien plus adroit ensuite (9/15), et c’est toute l’équipe de Mike Woodson qui en profitait (hormis peut-être JR Smith, encore a côté de ses pompes). Un dernier alley-oop de Prigioni pour Chandler, et deux missiles à 3 points de Quentin Richardson pour le spectacle, et les Knicks s’imposaient dans les grandes largeurs, 105-79.


    Un retournement de situation aussi incroyable côté new-yorkais, qui a retrouvé son peps au moment où on ne l’attendait plus, que côté Indiana, qui s’est mis tout seul dans un trou noir dont il n’est jamais ressorti, alors que le méga upset lui tendait les bras.


    « On était dans l’obligation de gagner ce soir » rappelait Tyson Chandler. »Tu ne peux pas te relever de deux défaites à la maison en play-offs, ça aurait été mission impossible de revenir dans la série. Il y avait urgence, et ça s’est senti. Maintenant on est à 1-1, il faudra trouver le moyen d’aller en chercher un là-bas. Les deux jours de repos qui arrivent vont nous faire du bien. Pour moi, Melo, tous les autres, et même Amar’e (Stoudemire) qui devrait bientôt être prêt. Il s’entraîne avec nous, participe aux 3 contre 3, et devrait rapidement passer aux oppositions à 5. »
     
  7. Suix

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    OCT battu à domicile par les Grizzlies 99.93
     
  8. Mac'sous

    Mac'sous Mafia normande

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    Y'a des rebondissements ça se laisse suivre tranquillement ces play-offs!
     
  9. Suix

    Suix Guest

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    Comme je suis réveillé, je vais regarder les Spurs. Sinon, je pense que le PSG va bientôt avoir aussi son équipe de Basket ...

    [h=1]Monclar au Paris Levallois[/h] Jacques Monclar (L'Equipe)

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    L’ancien international et entraîneur Jacques Monclar (56 ans) a été nommé manager sportif de Paris Levallois. «Dans un premier temps, mon rôle sera de faire le point sur l’effectif en vue de la saison prochaine», indique le consultant NBA de BeIn Sport. «Je le serai toujours, ce n’est pas incompatible. En revanche, je vais démissionner de mes fonctions à la Ligue (Nationale), j’ai prévenu Alain Béral (le président de la LNB)», ajoute Monclar, qui était depuis deux ans le président de la commission sportive de l’instance du basket professionnel.

    L’arrivée de l’ancien entraîneur du Paris Basket Racing (2002-2004) pourrait être la première pierre d’une évolution importante dans l’organisation de Paris Levallois, club bicéphale depuis le mariage entre les deux clubs en 2007 puisque Jean-Pierre Aubry, l’un des hommes de confiance de Patrick Balkany, députe-maire de Levallois-Perret (92), devrait succéder à Francis Flamme à la présidence du club courant juin.- Ar.L.
     
  10. Suix

    Suix Guest

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    Miami a explosé les Bulls 115 - 78
     
  11. Rdp49

    Rdp49 Guest

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    "Paris appelle le succès et la réussite mais, s’il ne réussit pas, Paris peut aussi te brûler. C’est pourquoi on ne fera pas le basket, par exemple, si c’est pour être septième. Mais pour un tel projet, il faut des infrastructures de très haut niveau et Paris en manque", explique le directeur général délégué du PSG, Jean-Claude Blanc, dans les colonnes du journal Le Parisien.
    Malgré tout, la porte n’est pas fermée. "La marque PSG peut accueillir d’autres sports pour faire rayonner Paris dans le monde. Il n’y a pas de discussions officielles, même si des envies de nous rejoindre existent, a-t-il ajouté. Il y a la place à Paris pour une grande franchise. […] Avant de vouloir empiler les couches, il faut d’abord digérer la montée en charge de nos trois équipes professionnelles.
     
  12. Rdp49

    Rdp49 Guest

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    [h=1]Un PSG Basket dès cet été ?[/h]Par Alexandre Lacoste
    – Le 9 mai 2013
    Depuis que les clubs de football et de handball ont été rachetés par Qatar Sports Investments, les spéculations vont bon train en ce qui concerne le futur du Paris-Levallois. Si Jean-Claude Blanc, le directeur général du PSG, a indiqué au Parisien que QSI n’était pas pressé pour investir dans le basket, BFM TVrelaye aujourd’hui une information totalement différente. Pendant que le vainqueur de la Coupe de France 2013 modifie son organigramme avec le départ de Francis Flamme et les arrivées de Jean-Pierre Aubry à la présidence et Jacques Monclar au poste de manager sportif, le nouveau président s’active en coulisses pour convaincre les Qataris de sa crédibilité. C’est ce qu’il a confié à la chaîne d’information BFM :
    « Nous sommes en train de préparer un dossier avec un audit complet (administratif, social, fiscal) de notre club, pour que QSI prenne conscience de notre potentiel Le but est d’être opérationnel le jour où il y aura un contact ou un rendez-vous avec QSI. Ce sont des gens qui décident très vite, il faut que l’ensemble des documents soient prêts ! » ​
    De même, Jean-Pierre Aubry a bien compris que le PL va devoir se rapprocher de Paris s’il veut s’attirer les faveurs de QSI. En effet, pour attirer un maximum de retombées financières, l’attrait de la capitale aura bien plus d’effets que Levallois :
    « Ce club doit se rapprocher beaucoup plus de Paris pour tenir une place importante parmi l’élite européenne. Levallois constitue les racines du club, mais pour tout le reste, l’avenir de ce club est de se tourner vers Paris. »
    Et si Jean-Pierre Aubry prévoit un rapprochement avec le PSG la saison prochaine, BFM TV indique en revanche que « QSI pourrait même investir dans le Paris-Levallois dès cet été afin de s’offrir un grand club omnisports. » Un investissement qatari qui ne pourra probablement être que bénéfique à une Pro A presque invisible dans les grands médias français et inexistante sur la grande scène européenne. Et pour que la LNB arrête de vivoter, un grand club à Paris est un atout indispensable. C’est ce que nous avait expliqué Pascal Legendre il y a quelques semaines :
    « Il faut au moins 20 millions d’euros pour avoir le Final Four dans le viseur et en plus ces clubs-là, de la Méditerranée, russes, ne payent pas ou très peu de charges sociales. Alors, moi j’en ai marre de voir notre Bleusaille monter joyeusement au front en octobre et se faire systématiquement mitrailler. Ce que je souhaite concrètement ? Sans parler du foot, les Qataris ont investi 10 millions d’euros dans le PSG hand s’achetant quelques uns des meilleurs joueurs du monde. 10 dans le hand, alors pourquoi pas 20 ou 30 dans le basket ? Avec ça, vous pouvez viser le sommet européen. Avec ça et un Bercy rénové ou un autre palais des sports de 15-20 000 places qui sortirait de terre, vous pourriez faire du basket un must à Paris. Je connais un peu la mentalité parisienne. Pas question d’aller se fourvoyer à Coubertin ou à Marcel-Cerdan à Levallois, mais si le basket est dans la hype, il faudra s’y montrer. Monsieur en costard, madame en talons aiguilles. Comme au Staples Center à Los Angeles ou au Madison Square Garden à New York. Je connais un couple qui n’a qu’une envie depuis quelques semaines : aller au Parc pour voir, pas le PSG, mais David Beckham, pas le joueur, l’icône médiatique, la marque ! Croyez-vous d’ailleurs qu’un club NBA remplit chaque saison 41 fois sa salle de 20 000 places uniquement avec des fans de basket ? Évidemment non. Et si un club parisien de basket était tout en haut de l’affiche, croyez-moi que l’on détacherait très vite l’étiquette de loser au basket français. Cela aurait un effet très positif sur sa ligue, ses clubs. On verra rapidement si je rêve ou pas. » ​
    Si l’on en croit BFM, on pourrait donc peut-être voir plus rapidement que prévu.
     
  13. Suix

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    Hé hé hé ... :eek:ldwink:OLD:cool:
     
  14. Suix

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    [h=1]Play-offs/2e tour: Miami reprend l'avantage du terrain face à Chicago[/h]
    Miami, champion en titre, a repris l'avantage du terrain en allant s'imposer vendredi à Chicago (104-94) pour mener 2 victoires à 1 en demi-finales de Conférence Est des play-offs NBA.


    Après trois premiers quarts temps très serrés (70-70), LeBron James a tué le suspense dans la dernière période en y marquant 12 de ses 25 points alors que Chris Bosh (20 pts) a capté 19 rebonds, son record dans un match de play-offs.


    James, quadruple MVP de la saison, a aussi enregistré 8 rebonds et 7 passes décisives et Bosh a également récolté 4 passes et 2 contres.


    Les Bulls, encore diminué par l'absence de jeu clé, ont encore tenté de bousculer physiquement les Heat mais ils en ont payé les conséquences avec une nouvelle faute technique pour Noah, sa quatrième en trois matches dans la série, et l'exclusion de Nazr Mohammed pour avoir poussé James au sol.


    Devant 22.675 spectateurs au United Center, Noah a rendu une belle feuille de stats avec 15 points, 11 rebonds, 4 passes, 2 interceptions, 2 contres et aucune perte de balle mais a été gêné par ses fautes en fin de match.


    Si le pivot franco-américain a encore patrouillé avec une énergie et une envie contagieuses dans la raquette, où les Bulls ont été supérieurs, Miami a montré un visage plus équilibré, puisant largement dans son banc des remplaçant (18 points pour Norris Cole), ce que Chicago n'a pas pu se permettre de faire.
    Le match N.4 a lieu lundi à Chicago.
     
  15. Suix

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    [h=1]Miami et San Antonio en tête[/h] Miami a battu Chicago (104-94) et San Antonio a dominé Golden State (102-92) lors du match 3 des demi-finales de conférence.


    LeBron James célèbre avec Norris Cole la victoire du Heat sur les Chicago Bulls vendredi lors du match 3. (Reuters)

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    Demi-finale de conférence Est :
    Chicago Bulls - Miami Heat : 94-104
    Miami mène 2-1 dans la série

    Chicago avait lancé la série, en remportant le match 1. Mais c'est désormais le Miami Heat qui mène la danse, deux manches à une, après être allé gagner dans l'Illinois (104-94) vendredi. Pour l'emporter, l'équipe de Floride s'est appuyé sur LeBron James (25 points, 6/17 aux tirs, 11/11 aux lancers francs). Chris Bosh, lui, a signé un double-double avec 20 pts et 19 rebonds. Dwyane Wade a été plus discret avec dix unités à compteur. Parti du banc, Norris Cole a inscrit 18 pts en 24 minutes.

    Du côté de Chicago, Joakim Noah a également ''doublé'' avec 15 points et 11 rebonds. Mais le Français a aussi récolté une nouvelle faute technique, sa quatrième en trois matches Tous les joueurs du cinq majeur des Bulls ont dépassé la barre des dix points (21 pour Boozer, 17 pour Butler et Robinson, 16 pour Belinelli). Pour avoir jeté au sol LeBron James, Nazr Mohammed a, de son côté, été expulsé. A la faveur de ce succès, le Heat a récupéré l'avantage du terrain dans la série qui l'oppose à Chicago, effaçant ainsi la défaite subie à domicile lundi dernier.


    Demi-finale de conférence Ouest :

    Golden State - San Antonio : 92-102
    San Antonio mène 2-1 dans la série

    Les San Antonio Spurs ont battu les Golden State Warriors (102-92), emmenés par un impressionnant Tony Parker. Le joueur français a marqué 32 points, dont vingt-cinq en première période (13/23 aux tirs, 5 rebonds, 5 passes). Tim Duncan a, pour sa part, signé un double-double (23 points, 10 rebonds). Comme Miami, les Texans ont inversé la tendance dans leur série. Piégés à domicile lors du premier match, ils ont également repris l'avantage du terrain face aux Warriors.
     
  16. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Golden State résiste[/h] En demi-finale de conférence, Golden State égalise à 2-2 avant d'aller à San Antonio grâce à sa victoire à Oakland (97-87 a. p.) face aux Spurs de Tony Parker (17 points).


    Jarrett Jack, qui se jette entre Kawhi Leonard et Gary Neal, a joué un rôle décisif. (Reuters)

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    Demi-finale de conférence Ouest :
    Golden State - San Antonio : 97-87 a. p.
    Les deux équipes à égalité 2-2 dans la série
    Prochain match mardi à San Antonio

    Golden State a définitivement réussi sa saison. Cela ne veut pas dire grand chose quand tout reste à gagner, mais d'une certaine manière, les Warriors ne peuvent plus être déçus d'eux-mêmes. Ils sont les yeux dans les yeux avec les Spurs alors que leur demi-finale de conférence arrive au moment clé, le match 5. Celui qui fait basculer les destins dans toutes les séries de play-offs. Pour une formation qui fréquente aussi souvent les play-offs que les Texans le fond de classement, une fois pas décennie et encore, c'est énorme. D'ailleurs, ce qu'a réussi l'équipe californienne pour garder espoir ce dimanche à Oakland est aussi mémorable.


    Les Warriors ont réussi à revenir de plusieurs situations mal engagées, dans le deuxième quart-temps (30-41, 19e), puis dans le quatrième (76-82, 3'44" à jouer) et ont obtenu une prolongation où San Antonio a craqué.

    Malgré ces cinq minutes supplémentaires, les Spurs n'avaient jamais marqué aussi peu depuis le début des play-offs. Tim Duncan (7/22) a trébuché face à un Andrew Bogut (18 rebonds en 28 minutes) impérial en défense, Tony Parker (17 points mais 6/17 et seulement 3 passes décisives) a lutté pied à pied avec Stephen Curry, mais n'avait plus de gaz quand Mark Jackson a lancé le feu follet Jarrett Jack (24 points) dans le money time.

    Symbole de la fatigue des Texans, ils ont beaucoup arrosé à trois points (7/27) au moment de devoir décocher les dernières flèches. Ils n'ont que deux jours pour récupérer. Mais le prochain match se jouera chez eux.


    Rédaction
     
  17. Rastachoik

    Rastachoik Guest

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    Ils ont vraiment ch___ dans la colle les Spurs sur ce coup là!
     
  18. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Les Spurs ont enfin fait un match digne de leur statut. Une bonne réussite à 2 et à 3pts et le retour de son jeu de passes !

    Les Knicks sont proches de la sortie, je vois pas comment ils pourraient remonter un tel handicap.
     
  19. Kam

    Kam Well-Known Member

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    ajoute à ça un steph curry qui chie dans la colle et t'as 18 points d'écart :)
     
  20. Ric 88

    Ric 88 Assis devant le réacteur 4 de Tchernobyl

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    Lui et Thompson sont passés à côté oui. Mais bon ils ne pouvaient pas rester dans les % qui étaient le leur depuis le début de la série c'était incensé voire même limite surnaturel par moment.
     

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