rofl!!! Il est minot, il est encore "tout fou la gamelle", comme on dit! il a fait une faute de débutant. Maintenant, la technique et le physique, il les a. Il lui reste juste à engranger de l'expérience et apprendre à "gérer" ses courses.
Wengen : Alexis Pinturault dans les pas de Jean-Baptiste Grange Après le super combiné, le slalom ? A Wengen, Alexis Pinturault peut imiter la performance de Jean-Baptiste Grange cinq ans plus tôt. AFP S'offrir à 21 ans un premier succès en super combiné dans la mythique station de Wengen, c'est grand. En profiter pour réaliser le doublé en remportant le slalom sur le même week-end, c'est Grange. Vainqueur une première fois vendredi, Alexis Pinturault peut récidiver dimanche dans son épreuve de prédilection. Un doublé de haute volée que Jean-Baptiste Grange avait réussi au même endroit il y a cinq ans, à l'occasion de sa seule victoire en super combiné. Une performance à même d'inspirer Pinturault ? "Bien entendu", reconnaît le jeune savoyard, fort d'un excellent passage en slalom vendredi. "Jean-Baptiste avait fait quelque chose de grand il y a cinq ans, salue Pinturault. Si j'arrive à m'en inspirer, ce serait tout simplement magique et magnifique de faire comme lui." Signer le doublé à Wengen distingue un skieur, dans la droite lignée de Grange ou Ivica Kostelic (en 2011). Ça tombe bien, la station suisse sourit à Pinturault. "Wengen est spécial", reconnaît-il. Avant cette victoire dans le super combiné, une huitième place l'an dernier lui avait ouvert la porte des 30 premiers dossards. Et le Savoyard apprécie le lieu : "j'aime ce côté atypique, la montée en train et le fait d'être isolé du monde. Je suis touché par la beauté des pistes et du décor." Mais si Pinturault se prend à rêver, il tempère immédiatement : "je n'ai fait que 50% du travail, il me reste l'autre moitié à faire, alors…" Alors, il faut maintenant se frotter à Marcel Hirscher, maître du slalom cet hiver avec trois succès. "Je ne me vois pas encore au même niveau", relève son jeune rival français, seulement vainqueur à Val d'Isère. Il pourra toutefois compter sur un nouvel atout : fort de ses sixièmes places à Zagreb et Adelboden depuis le début de l'année, Pinturault disposera d'un des sept premiers dossards pour la première fois de la saison. Tant de premières qui en appellent une autre : le doublé super combiné - slalom. Eurosport
[h=1]Les croisés pour Vonn[/h] Le premier diagnostic a confirmé les craintes : Lindsey Vonn a été victime d'une rupture des ligaments croisés du genou droit après une chute lors du super-G mardi. «Il n'y a pas d'autre blessure», ont annoncé les organisateurs en fin d'après-midi. L'Américaine va manquer la fin des championnats du monde et la fin de saison : l'indisponibilité moyenne pour cette blessure est de six mois. Le super-G avait auparavant été interrompu par la chute d'un lisseur. Celui-ci ne souffre que d'une fracture du nez, selon les organisateurs. A. T.-C., à Schladming
Gauthier de Teyssières va faire podium aux Championnats du Monde...Il est pour l'instant second derrière Liggety.Il ne reste plus que les Suisses à passer de dangereux.
[h=1]Tessières, un destin en argent[/h] Sélectionné à la dernière minute, Gauthier de Tessières a décroché la médaille d'argent du super-G mercredi à Schladming. Sur le podium, le Français (2e à 0''20) est encadré par Ted Ligety et Aksel Lund Svindal (3e à 0''22). Ce mercredi, il aurait dû skier dans un certain anonymat dans une course de Coupe d'Europe (le 2e niveau international) aux Ménuires. «Mon seul entraînement la semaine dernière, c'était de skier avec ma nièce de six ans», en rigole Gauthier de Tessières, rattrapé par l'émotion à l'issue du super-G des championnats du monde. Car l'Auvergnat, désormais skieur de l'Alpe d'Huez, a eu le droit de disputer l'épreuve la plus attendue de l'année devant un public de 30.000 fanatiques, seulement après la blessure de Johan Clarey officialisée lundi. A l'arrivée, il a décroché une médaille d'argent inespérée la semaine dernière. Mais presque logique au vu de son talent loué par ses entraîneurs. «C'est une histoire incroyable. Cela fait trois jours que tout le monde me disait que c'était mon destin», a-t-il répété tout haut, pour se forcer à croire au conte de fées. A. T.-C., à Schladming
[h=1]Tessières : «C'était mon destin»[/h] Aligné grâce à la blessure de Johan Clarey, Gauthier de Tessières considère sa médaille d'argent au super-G des Mondiaux comme une marque du destin. Et la reconnaissance de son travail. Gautier de Tessières était aux anges sur le podium. (L'Equipe) « Gauthier de Tessières, que ressentez-vous après cette médaille d’argent inespérée ? Tout ça, c’est une histoire incroyable. Ce qui est extraordinaire, c’est que mes coaches me disent depuis trois jours que c’était mon destin et que je ne suis pas là pour loin. J’ai encore du mal à réaliser. Il y a cinq jours, j’étais à la maison. Je ne me suis même pas entraîné. J’ai skié avec ma nièce de six ans. Franchement, je pensais arrêter le ski. J’ai 31 ans, ne pas être qualifié, je ne trouvais pas ça normal. Il y a trois jours, on m’appelle et j’en ai profité. J’ai eu une énergie extraordinaire. C’était génial. C’est une médaille que j’ai envie de partager avec mes coaches, avec les gens qui y ont cru depuis trois jours. Au passage de la ligne d’arrivée, avec le dossard 4, pensiez-vous à la médaille ? Alexis (Pinturault) partait devant moi et c’était une super référence. Quand j’arrive avec 83 centièmes d’avance sur lui je me suis dit qu’il s’était passé quelque chose. J’ai senti que j’avais réalisé une bonne course. J’ai toujours accéléré, accéléré jusqu’au bout. Maintenant, je l’ai. «Je suis entouré de deux légendes de ski,» Votre non-sélection a-t-elle piqué votre orgueil ? Ah ! Bien sûr que ça m’a piqué ! Être rappelé, ça m’a donné une énergie incroyable. Je suis très content. Cette médaille, je la mérite. Cela fait dix ans que je travaille. J’avais beaucoup progressé en super-G. Pour moi, ce n’est pas une énorme surprise. (...) Je l’avais au fond de moi, cette course. Les entraîneurs parlent beaucoup de votre talent... Je connaissais mon potentiel mais j’ai toujours du mal à m’exprimer à chaque course. C'est comme ça. Hier, je me suis dit : ‘’S’il y en a une, c’est celle-ci. Tu approches de la fin. Il faut que tu te bouges les fesses.’’ Vous sentez-vous à votre place entre Ted Ligety (numéro 1 mondial en géant) et Aksel Lund Svindal (numéro un mondial en super-G) ? Mais bien sûr (Il éclate de rire). Je suis entouré de deux légendes de ski, que je côtoie parce qu’on a la même marque de skis (Head, ndlr). Je suis content de partager avec eux. «J'ai eu énormément de colère cette semaine» Cette médaille est-elle une forme de revanche ? Non, je n’ai pas de revanche. J’ai eu énormément de colère cette semaine envers mon chef d’équipe mais ça s’est calmé. Je sais pourquoi il m’a parlé comme ça. C’était pour me faire réagir. Il me l’a déjà fait il y a quelques années. Je n’étais pas d’accord avec ma non-sélection. Je ne sais pas si j’ai du talent mais j’ai tout mis en place pour que ça marche. Maintenant, c’est bon, je vais savourer. Je vais savourer avec mes coaches, avec Johan (Clarey). Je vais la partager. » Recueilli par A. T.-C., à Schladming
[h=1]Pinturault : «Des cadors derrière»[/h] Sixième du super-G, Alexis Pinturault n'était pas mécontent de sa course mercredi. «Des quatre cartes que j'ai à jouer, c'était la moins bonne», explique-t-il. Alexis Pinturault (6e du super-G des championnats du monde à 1’’03) : « C’est plutôt correct au vu des circonstances. Quand j’arrive là, je me disais que ce serait compliqué. En partant devant (dossard n°1), j’avais peur de faire le chasse-neige. Ce n’était pas l’idéal de 23 non plus. Sixième, il ne faut pas cracher dessus, avec le peu d’entraînement que j’ai dans cette discipline. Il y a quelques cadors qui sont derrière moi. C’est une bonne façon de lancer les Mondiaux. J’aurais pu faire un peu mieux. J’ai peut-être été un peu dur sur cette neige. C’est comme ça. Sur les quatre cartes que j’avais à jouer, c’était la moins bonne.» Adrien Théaux (9e à 1’’25) : « Je suis toujours énervé. Comme à chaque fois. Encore plus aujourd’hui : un top 10 aux championnats du monde, ce n’est pas ce que j’espérais, ce n’est pas là où je devais être. Je voulais mettre du cœur et de l’engagement. J’ai peut-être été impatient, j’ai voulu en rajouter. La piste n’était pas facile en venant de derrière. Seul Svindal (dossard n°22) est rentré. Devant, ils ont fait une course énorme. C’est toujours mieux de partir devant. » Thomas Mermillod Blondin (21e à 2’’15) « Je suis hyper déçu de ma course. Les conditions n’étaient pas faciles mais les meilleurs étaient là. La visibilité, c’est jour blanc. Ce n’est jamais évident. La neige n’était pas facile : on pouvait facilement perdre la ligne. Je n’ai pas su skier. Je ne me suis pas fait plaisir. Le meilleur a gagné. J’ai été en deçà de ce que je sais faire. Le dossard était un avantage. C’était un avantage de partir devant. Il faudra passer à autre chose pour lundi prochain (le super-combiné, ndlr). Il ne faudra pas que je prenne cette course comme repère. Il y a des entraînements pour bien me remettre dans la piste. » Recueilli par A. T.-C., à Kitzbühel
Suspense garanti Tina Maze est déjà en tête du super-combiné après la descente mais le slalom (14h00) sera plein de suspense : Fenninger est dans le même centième, la championne olympique Riesch est 4e à 0''20. Tina Maze a encore réalisé un grand numéro. (AFP) Jour après jour, à l'entraînement comme en course, les Autrichiennes confirment qu'elles connaissent sur le bout des spatules la piste des Mondiaux : elles ont enflammé leurs supporters vendredi matin lors de la descente du super-combiné, avec le troisième chrono d'Elisabeth Görgl et surtout la première place d'Anna Fenninger (1'49''67). Une manche idéale si Tina Maze n'avait pas déboulé, juste derrière Fenninger, pour finir dans le même centième que Fenninger, la championne du monde en titre. La Slovène en a fait tournoyer son bâton de joie dans l'aire d'arrivée : meilleure slalomeuse de l'hiver, elle sera forcément la favorite dans l'après-midi pour le passage entre les piquets ... sur une manche tracée par son entraîneur. La deuxième partie du super-combiné ne sera pas un long fleuve tranquille pour Tina Maze : outre Fenninger, elle devra se méfier de Maria Riesch. Championne olympique de la spécialité, l'Allemande est une des meilleures slalomeuses du plateau et pointe à seulement 20 centièmes (4e), à égalité avec Lara Gut. Médaillée en super-G, cette dernière devra se faire violence en slalom : « Je n’ai que trois manches de slalom à l'entraînement dans les jambes. Mais ce n'est pas grave, il n'y en a qu'une cet après-midi.» Dans la meute, il y a aussi un bon paquet de slalomeuses, avec les Autrichiennes Hosp (9e à 1''32), Zettel (13e à 1''61) et Kirchgasser (16e à 1''69). Barthet rate le top 30 Spécialiste du slalom, Anne-Sophie Barthet aurait aimé figurer dans ce paquet de techniciennes : secouée le terrain et ralentie par une porte accrochée dans la traversée en dévers, la skieuse de Courchevel a raté le top 30 pour 4 centièmes (31e à 3''90). «J'ai perdu de la lucidité en bas, a-t-elle raconté. Cela m'a arrêtée juste avant de remonter. Je n'ai pas à m'en vouloir. J'étais à 300 %» Elle partira à l'assaut de la manche de la slalomeuse, en 31e position, juste après Anna Fenninger et Tina Maze. A ce moment-là, le podium sera déjà joué... A. T.-C., à Schladming
[h=1]Le triomphe d'Hoefl-Riesch[/h] Quatrième après la descente, Maria Hoefl-Riesch a remporté le super-combiné des Mondiaux de Schladming vendredi grâce à un slalom parfait. Maria Hoefl-Riesch, titrée en Super Combiné vendredi. (AFP) Maria Hoefl-Riesch a remporté vendredi le super-combiné des Mondiaux de Schladming (2'39''92). Quatrième à l'issue de la descente, l'Allemande a réalisé un parcours parfait en slalom pour devancer Tina Maze (+0''46), titrée sur le super-G mardi, et Nicole Hosp (+1''00) sur le podium. Respectivement deuxième et quatrième ex aequo après la descente ce matin, Anna Fenninger et Lara Gut ont enfourché.
Une 'tite médaille de bronze pour le Poisson en descente ce matin. Les français sont en forme à ces ChDM. Allez le biathlon maintenant ...
Poisson en bronze David Poisson, médaillé de bronze samedi. (Reuters) David Poisson a saisi sa chance sur la descente des Mondiaux de Schladming, samedi, et remporté la médaille de bronze, première breloque de l'équipe de France dans la discipline depuis le bronze, déjà, de Luc Alphand, en 1996. Le Norvégien Aksel Lund Svindal a survolé la course, franchissant la ligne en 2'01"32, devançant l'Italien Dominik Paris de 46 centièmes et Poisson de 97 centièmes. Le Canadien Erik Guay et l'Autrichien Hannes Reichelt, qui faisaient partie des favoris, ont abandonné en cours de route. L'Italien Christof Innerhofer était lui hors du coup (+2"08 ).
[h=1]C'était le jour de Poisson[/h] Sans aucun podium en Coupe du monde, David Poisson a pris la troisième place de la descente des Mondiaux de Schladming, derrière les deux meilleurs skieurs de l'hiver : Aksel Lund Svindal et Dominik Paris. Aksel Lund Svindal, entouré de Dominik Paris et de David Poisson. (Reuters) Deux fois, il avait regardé le podium de très près en Coupe du monde, avec une quatrième place dans les deux plus belles descentes du circuit, à Bormio (2009) et à Kitzbühel (2013). A 30 ans, David Poisson n'a pas choisi le pire endroit pour enfin monter sur la boîte : deux semaines après sa démonstration sur le Streif, le skieur de Peisey - Valandry a décroché la médaille de bronze de la descente des Mondiaux. Autour de lui, il n'y a que du beau monde : devant lui, le champion du monde 2007 Aksel Lund Svindal et le leader de la Coupe du monde Dominik Paris, juste derrière lui le héros local Klaus Kröll, 4e à 38 centièmes de la médaille. Heureux comme un gamin, il rigolait en imaginant le podium : «C’est pas génial parce qu’ils sont vachement plus grands que moi et moi je suis sur la plus petite marche. Cela va être ridicule.» David Poisson remporte la première médaille pour les Français en descente depuis 17 ans et le bronze de Luc Alphand à Sierra Nevada.Comme Gauthier de Tessières, 2e en super-G, David Poisson était un outsider dans la course-reine de la vitesse, suivie par 40.000 spectateurs. Mais comme l'Auvergnat de l'Alpe d'Huez, son podium ne vient pas de nulle part : descendeur casse-cou, souvent arrêté par les chutes et les blessures, il montait en puissance depuis le début de la saison. Après avoir avalé sans broncher les mouvements de terrain du haut du parcours, il a imposé son ski ultraphysique dans le mur final, dans ces 20 dernières secondes qui ont secoué les descendeurs et le classement. Aksel Lund Svindal remporte sa cinquième médaille d'or aux championnats du monde : descente et géant en 2007, combiné en 2009 et en 2011, descente en 2013.Dans cette course folle à la médaille, la prise de risques des favoris a assuré le spectacle : le numéro un autrichien Hannes Reichelt a été contraint à l'abandon après une figure non contrôlée dans les airs, le tenant du titre Erik Guay a abandonné ses ambitions après avoir été piégé par un mouvement de terrain, l'Italien Christof Innerhofer - gêné par des problèmes de visibilité - n'a jamais trouvé le bon rythme. Entre les flocons, la descente des Mondiaux a sacré les deux meilleurs descendeurs de l'hiver : titré pour la deuxième fois dans la discipline, le Norvégien Svindal gagne sa deuxième médaille de la semaine (après le bronze en super-G), sa 11e dans un grand rendez-vous (JO et Mondiaux). Deuxième à 0''46, l'Italien Paris confirme à 23 ans qu'il est bien le prochain grand descendeur. Pas étonnant pour le vainqueur de Bormio et Kitzbühel. Deux pistes qui avaient déjà révélé les promesses de Poisson. A. T.-C., à Schladming
[h=1]Super Marion ![/h] A 30 ans, la Française Marion Rolland est devenue championne du monde de descente, dimanche à Schladming. Elle a devancé l'Italienne Nadia Fanchini et l'Allemande Maria Riesch. Toute la joie de Marion Rolland. (L'Equipe) Skieuse à la personnalité hyper sensible, Marion Rolland a été renversée par la plus belle des émotions dimanche à Schladming : souvent rattrapée par la frustration ou la souffrance dans sa carrière, la skieuse des Deux-Alpes a basculé dans la joie totale à l'arrivée de la descente. A 30 ans, elle n'avait jamais gagné en Coupe du monde mais elle ne débarquait pas en inconnu dans la station de Styrie : dans le top 7 mondial, elle restait sur une quatrième place à Cortina d'Ampezzo. Surtout, elle avait pris ses quartiers à Schladming il y a un an, quand elle avait fini 2e de la descente des finales. Derrière une Lindsey Vonn actuellement sur le flanc. Dès le passage de la ligne, avec son dossard n°22, elle a lâché un énorme cri venant des tripes. Derrière des favorites à s'élancer, elle ne pouvait plus être inquiétée pour l'or. Un cri de joie, un cri de délivrance pour une skieuse qui a connu son lot de galères (blessures aux deux genoux) et qui avait marqué les espris du grand public par une chute après quelques secondes de course aux JO de Vancouver. Dimanche midi, les cieux se sont ouverts pour lui offrir les meilleures conditions possibles : avec une parfaite visibilité, Rolland a pu s'engager pleinement sur une piste qui a secoué un paquet de concurrentes (Gisin, Merighetti ont fini le nez dans la neige). Elle a été la seule à pouvoir déloger (pour 16 centièmes) l'Italienne Nadia Fanchini, qui avait taillé à perfection ses trajectoires sur la partie intermédiaire. Même portée par son titre en combiné, Maria Riesch s'est contentée du bronze (à 0''70). Les autres favorites se font encore plus secouer : Tina Maze a plafonné à la 7e place (à 1''21), juste devant la première Autrichienne Andrea Fischbacher (8e à 1''23). A. T.-C., à Schladming
