Avec les deux poteaux de soutien de la toiture, aux quatre coins du stade, y'aura plus jamais de quart de virage dans cette configuration... Je vomis encore le con d'architecte qui a validé la réno de 98.
Re bonjour columbine Quand j'ai un peu de temps libre je survole certains Topics dont celui-ci en ce moment Je pense que du moment ou (on) tu entends les deux virages s'envoyer et répondre les chants en honneur de notre club (dés fois aussi quelques quolibets envers les adversaires et arbitres) le son des amplificateurs du vélodrome ne servent plus à rien puisque lors des présentations des joueurs leurs Noms sont inscrit sur les panneaux d'affichages @+ et Allez l'OM
Pour le concert de Sopra, il y a quelques années, le son était correct. Je n'ai pas assisté à celui de Jul. Ce sont les communications avant match ou à la mi-temps qui sont "brouillon". Un son plus net et moins grave serait le bienvenu.
Le Parisien consacre un long reportage à l’ambiance unique du Vélodrome, décrit comme l’un des stades les plus bruyants d’Europe. Entre architecture pensée pour la résonance, ferveur populaire et émotions brutes, l’article met en lumière la magie sonore de l’antre marseillaise. Des témoignages de supporters, d’experts et de joueurs confirment ce constat unanime : au Vélodrome, chaque cri, chaque chant, chaque souffle fait trembler les murs et les cœurs. Un vacarme devenu patrimoine Dans son reportage consacré à l’Olympique de Marseille, Le Parisien rappelle à quel point le Stade Vélodrome reste une expérience physique autant qu’auditive. L’article s’ouvre sur cette phrase choc d’un joueur olympien : « C’est comme si tu prenais une gifle ». Car ici, le bruit n’est pas un décor, c’est une matière vivante, une onde qui traverse la ville et se propage jusque dans les collines de la Bonne Mère. Une caisse de résonance née du peuple et du béton Le quotidien francilien explique que l’acoustique exceptionnelle du Vélodrome doit autant à sa nouvelle architecture qu’à la ferveur de son public. Les virages pleins, la toiture en forme de vague et l’écho naturel des gradins transforment chaque chant en mur de son. Sébastien Louis, sociologue du supportérisme, y voit l’un des rares stades où l’émotion et la conception technique dialoguent à ce point. Des chiffres et des frissons Les mesures citées par Le Parisien parlent d’elles-mêmes : entre 90 et 95 décibels de moyenne, des pointes à 110 voire 115 lors des buts ou des entrées de joueurs, soit l’équivalent d’un concert de rock. Quand Luis Henrique libère le Vélodrome face à Benfica, quand Ruslan Malinovsky contre le PSG envoie une volée dans la lucarne, c’est tout un peuple qui rugit à l’unisson. Un bruit maîtrisé, jamais contenu Pour Pierre Ossakowsky, ingénieur acousticien interrogé par le journal, la structure du stade a été pensée pour canaliser la puissance sonore sans l’étouffer. « L’effet chaudron était recherché », explique-t-il, avant d’ajouter qu’un tel niveau d’énergie sonore ne pourrait exister ailleurs que dans des enceintes « supposément consensuelles » comme un stade de football. À Marseille, la permissivité devient poésie sonore. Une passion qui dépasse les murs Dans sa conclusion, Le Parisien évoque les témoignages du vestiaire marseillais. Pierre-Emile Hojbjerg décrit une émotion qui l’empêche de dormir après les matchs, « comme si la clameur restait dans la tête ». Quant à Roberto De Zerbi, il confie être venu à Marseille pour cette ferveur unique : « Le Vélodrome, c’est un privilège, dans le bien comme dans le mal ». Oui, il n’y en a qu’un, et il est ici.
Le Vèl était magnifique ce soir. Des tifos de ouf. L'équipe et l'entraîneur qui ne sont pas à la hauteur de cette ferveur...