VLS faut que je t'explique un truc , faut que t’arrête de dire Piaf , ça fais kéké , on dirait le beauf qui raconte toujours la même blague le dimanche midi . Désolant ..
Moi j'aime bien.. Ce qu'il faudrait c'est qu'on ouvre un sondage pour voir qui aime bien et qui aime pas trop bien.. Inceptionneur tu t'en charge?
[h=1]Ma vie de « fake » sur Twitter[/h]Par Zineb Dryef | Rue89 | 21/08/2011 | 13H14 A l'hiver 2010, on a cru toucher pas loin de la perfection. Vanessa Demouy, l'ex-piètre mais très jolie actrice de « Classe Mannequin », s'est révélée être la créature idéale en se dévoilant, sur son compte Twitter, assidue lectrice de Joyce et admiratrice de Böcklin, très engagée politiquement, drôle et même plutôt humble. Florilège de ses déclarations publiques : « Bonjour à tous, non je n'ai pas abandonné Twitter. Je me consacre à ma passion : la lecture. En ce moment : Ulysse de Joyce. Dense et complexe. » « Ah je viens enfin de finir Ulysse de Joyce. Plus qu'une œuvre, une véritable cathédrale de la littérature… » « Je me replonge dans l'œuvre d'Arnold Böcklin en ce moment. Son “île des morts” m'a toujours fascinée… » »@YvesJego Votre obsession sécuritaire me laisse dubitative. » « Je reste assez stupéfaite par l'hypocrisie de l'UE à l'égard du peuple grec. Qu'avons-nous fait de l'idée européenne ? » « Pour moi la bataille d'Actium narrée par Virgile reste le sommet de l'Énéide. » Mais voilà qu'à l'été 2010 s'est évanouit ce rêve pour trentenaires (les ados des années AB Productions) avec ce message un peu brutal posté sur son compte, depuis fermé : « Bon les twittos [utilisateurs de Twitters, ndlr], je suis désolé de vous décevoir. V.Demouy ne remplacera jamais Jean d'Ormesson à l'Académie française… » [h=2]« Elle passait chez Cauet, je prenais le relais sur Twitter »[/h]La Vanessa Demouy canon et intelligente n'était qu'un « fake » (un faux, ici un internaute se faisant passer pour elle) crée par David, un jeune homme timide, salarié d'une start-up numérique. L'actrice est son premier gros coup, il en créera une cinquantaine en deux ans. « Elle était un fantasme de jeunesse. Ce qui m'a tout de suite fait rire, c'est de développer une image inverse à celle qu'on pouvait se faire d'elle. Pour crédibiliser son compte, j'ai repris son actualité puis je lui ai progressivement donné un côté très littéraire : elle s'intéressait à l'épigraphie latine, elle était de gauche voire d'extrême gauche. Parfois, elle passait chez Cauet à 22 heures, elle était parfaitement naturelle et d'un seul coup, je prenais le relais sur Twitter en citant des phrases d'auteur. Ce qui m'a surpris, c'est qu'au bout de quelques mois je pouvais citer Eschyle sans que ça ne choque plus personne. » [h=2]« Il faut énormément se méfier des journalistes »[/h]Evidemment, ça marche. Quelques médias reprennent ses « tweets » et quand le chroniqueur Guy Birenbaum s'interroge sur la présence des vedettes françaises sur le réseau social, il n'en relève qu'une, celle de Vanessa Demouy. Le compte est populaire. Trop. On écrit beaucoup à Vanessa Demouy, des admirateurs, quelqu'un qui « connaissait son grand-père », des scénaristes. Lorsqu'il essaye de la contacter pour lui remettre les « clés du compte », David reçoit une réponse sèche du responsable du site internet de la jeune femme : « J'ai eu une réponse de Vanessa et elle n'est pas franchement “ravie”… Déjà elle ne connait pas TWITTER mais sa plus grande “contrariété” est que vous avez pu vous faire passer pour elle auprès des journalistes, et il faut énormément se méfier des journalistes… Bref elle n'est pas super contente ! » [h=2]« La photo ne doit pas être la première sur Google images »[/h]En quelques clics, Vanessa Demouy laisse place à un Robert Hue, super geek. Techniquement, rien n'est plus facile que la création et la transformation d'un compte (vrai ou faux) sur Twitter. Il n'y a pas de vérification de l'e-mail et l'intitulé d'un compte peut être modifié. Pour piéger les autres utilisateurs, il suffit d'un peu de subtilité. Leçon : « Le nombre de “followers” [abonnés, ndlr] doit être élevé pour crédibiliser le compte. La photo est importante, il ne faut pas que ce soit la première qu'on trouve sur Google images. Le fond doit être sobre. Et surtout, tout repose sur la description du profil et les premiers tweets. » [h=2]« Monsieur Hue vous remercie, son compte est populaire »[/h]Là encore, le compte rencontre un certain succès. Plus c'est drôle, plus les utilisateurs marchent. Sa saillie restée célèbre – « J'emmènerai bien Ribery chez les jeunesses communistes. Il apprendrait ce que c'est que le collectif » – froisse un peu l'assistante parlementaire de l'ancien secrétaire nationale du Parti communiste : « Je ne suis pas fan de Twitter et je ne comprends pas bien le fonctionnement…. Dans l'attente d'être une experte, pouvez-vous pour moi, enlever le tweet sur Ribéry qui ne correspond pas bien à l'état d'esprit de Robert Hue s'il vous plaît (d'autant que ça a été repris dans un article de presse)… il faut faire un peu attention quand l'on écrit à la place d'un homme publique. Monsieur Hue vous remercie de ce que vous avez fait pour lui, car effectivement, son compte est populaire. Nous allons essayer de reprendre “votre flambeau” aussi bien que vous l'avez fait. » Le compte ne sera jamais animé par le vrai Robert Hue. L'occasion pour David de faire vivre sur Twitter d'autres vedettes oubliées. N'a-t-il vraiment rien d'autre à faire ? « Je crois que c'était un peu pour tromper l'ennui, pour le LOL, pour se moquer. Internet est devenu très “serious business” comme on dit. On voit sur Twitter un développement de l'égo que je n'aime pas. » [h=2]La fausse Tristane Banon : « Je suis allé trop loin »[/h]Créer des fakes permet aussi d'éprouver le professionnalisme des journalistes, d'observer la fabrique de l'info. David est celui qui a crée une belle pagaille à i>Télé avec le faux compte de Tristane Banon. Le 16 juin, David poste sur le faux compte de la jeune femme : « Je profite de cette affaire pour démentir les rumeurs me concernant via mon compte Twitter. » « Je m'exprimerai prochainement dans les médias. Pour l'instant, une plainte a été déposée au commissariat central de Police du 11e. » Quelques minutes plus tard, la fausse information est reprise par i>Télé avant d'être démentie par l'avocat de Tristane Banon. Il précisera également qu'elle n'a pas de compte Twitter. Sur ce coup, David admet être « allé trop loin ». Lorsqu'il voit le bandeau « urgent » sur la chaîne d'info en continu, il n'est pas très à l'aise : « J'ai crée ce compte parce que je sentais que ça pouvait marcher, c'est vrai que c'était un peu pervers. Je n'imaginais pas que ça pouvait décoller à ce point. Ça m'a fait réfléchir sur les conséquences du “faking”. Ceci dit, plus ça va, plus le réseau prend en maturité. Ça devient difficile les fakes, les utilisateurs sont plus avertis. Ça devient presque un travail d'introspection et de théâtre pour parvenir à ses fins désormais. Ce serait faux de dire que je crée des fakes pour que les journalistes s'attachent plus à vérifier ce qu'ils reprennent mais c'est vrai que c'est presque salutaire : tomber dedans une fois, c'est vérifier la fois d'après. » [h=2]« Si vous souhaitez des goodies Burger King, veuillez retweeter »[/h]Garçon plutôt sympathique, David s'est tout de même amusé à piéger ceux qu'il n'aime pas, les blogueurs marketing, certains « journalistes qui se tirent la tige toute la journée », le « personal branding ». Il est fier d'avoir méchamment ridiculisé un « blogueur qui se la pétait » après avoir reçu des « goodies » Burger King fournis par une agence de com. La pub disait « Burger King est à deux pas de chez vous », sous-entendu « prenez l'Eurostar, c'est tellement rapide » : « Quand j'ai lu son billet de blog qui faisait la promo du truc, j'ai transformé le compte de Patrick Timsit [un faux évidemment, ndlr] en Burger King. J'ai copié à l'identique le compte US. Vraiment classe le compte ! J'ai “twetté” que Burger King revenait en France et “si vous souhaitez des goodies Burger King, veuillez ‘retweeter’ [ou RT, reproduire, ndlr] ce message autant que possible. 600 RT pour un goodies, des reprises partout ! C'était pendant les manifs des retraites. J'ai fini par écrire : ‘Si vous mettiez autant d'énergie à aller manifester que pour des goodies’…” L'agence de com – pour Eurostar – a fini par démentir l'arrivée de Burger King en France. [h=2]“Tout le monde se prend au sérieux, ce n'est pas ça le Web”[/h]La cinquantaine de faux comptes de David sont désormais en sommeil (dont Noël Mamère), il n'a plus trop le temps. Mais il croit toujours au faking : “Le but ce n'est ni de tromper ni d'humilier, le but c'est de faire du LOL. Twitter est devenu très individualiste, trop égocentré. Ça manque de rêve, de poésie et d'humour. Tout le monde se prend au sérieux, ce n'est pas ça le Web. Alors que quelqu'un s'amuse à quelques détournements de temps en temps…”
j'ai jamais compris l’intérêt que peut susciter la vie privé des autres.... ça intéresse vraiment quelqu'un ce que untel a fait hier? ce qu'il mange? avec quelle voiture il roule? qui il se tape? comment il s'habille? j'espere que c'est pas ça la vie par procuration....
J'ai été sur Twitter pednant 5 minutes l'autre soir, j'ai rien pigé et j'ai cru devenir fou, passant de page en page en cherchant un fil conducteur d'une discussion qui m'entrainais de plus en plus loin de l'histoire à chaque clic... J'y suis allé par curiosité, j'en suis reparti par intérêt, car dans tout ce que j'ai lu, j'en ai vu aucun !
[h=1]Comprendre Facebook avec trois livres[/h] Par Marie-Catherine Beuth Publié le 19/05/2012 à 12:52 [h=2]La valorisation record de Facebook révèle l'ampleur du phénomène qu'est devenu le réseau social. Plusieurs ouvrages décryptent sa folle ascension.[/h] • LA REVANCHE D'UN SOLITAIRE La véritable histoire du fondateur de Facebook , Ben Mezrich, Max Milo, 256 pages, 19,90 euros. Sur le papier, l'histoire de Facebook est une admirable success story. Trop lisse pour certains, qui seront donc ravis de découvrir la face cachée de cette épopée dans l'ouvrage de Ben Mezrich, La Revanche d'un Solitaire. Et pour cause. La principale source de cet ouvrage est Eduardo Saverin, l'un des co-fondateurs de Facebook. Il a été écarté un an après la création du site pour «divergences de vues». Ce n'est qu'après un procès que son nom est reparu dans la liste des fondateurs de Facebook. À charge, l'ouvrage de Ben Mezrich l'est d'autant plus que l'auteur n'a pas obtenu la participation de Mark Zuckerberg. Bâti dès lors sur les témoignages de seconde main, il présente presque toujours Zuckerberg dans des situations rapportées par d'autres: outre Eduardo Saverin, l'entrepreneur Sean Parker et le co-fondateur du réseau social ConnectU, Tyler Winklevoss. Ce dernier et son frère ont obtenu un chèque de 65 millions de dollars en 2008 pour solder leur litige avec Mark Zuckerberg. Sans surprise, le portrait de Mark Zuckerberg subit donc le traitement d'un miroir déformant. Or, c'est l'ouvrage de Ben Mezrich qui a été adapté au cinéma par David Fincher dans The Social Network. De quoi voir ce film sous un nouveau jour. • LA RÉVOLUTION FACEBOOK Ce que Social Network ne vous a pas raconté, David Kirkpatrick, JC Lattès, 477 pages, 20 euros. Si l'on se fie au filmThe Social Network, Facebook doit son existence à une armée d'avocats. Salutaire antithèse du film, La Révolution Facebook corrige le tir. Le journaliste David Kirkpatrick, collaborateur du magazine économique Fortune, y fait un récit fouillé (et autrement plus nuancé) de la création d'un service qui a bouleversé comme peu d'autres le quotidien de ses utilisateurs. La Révolution Facebook a un atout majeur: son auteur a rencontré Mark Zuckerberg, le fondateur de Facebook, à maintes reprises, au cours des six dernières années. David Kirkpatrick a su déduire de ces échanges à la fois l'ambition de l'entrepreneur et l'esprit de son entreprise. L'auteur a mené l'enquête auprès des amis du jeune patron, de ses collaborateurs - anciens et actuels -, de ses partenaires, d'investisseurs - pour la plupart éconduits. Le résultat est un portrait plus fascinant encore de Facebook, de sa courte histoire et sans doute de son brillant avenir. Et livre de précieuses clés pour comprendre la réussite de Facebook et ce qui anime ses dirigeants. Roman d'apprentissage de l'ère Internet, La Révolution Facebook est à la fois le portrait d'une entreprise hors du commun et le récit des aventures d'un étudiant devenu entrepreneur par conviction plus que par envie. • FACEBOOK: MES AMIS, MES AMOURS... DES EMERDES! La vérité sur les réseaux sociaux, Olivier Levard et Delphine Soulas, Michalon, 192 pages, 16 euros. Dans quelques années, Facebook, mes amis, mes amours... des emmerdes! sera sans doute un document. Ecrit en 2009 par les deux auteurs, il regorge de références à des réseaux sociaux qui ont, depuis, été écrasés par Facebook. Mais les questions que posent Olivier Levard et Delphine Soulas restent, elles, d'actualité. Quel usage responsable des réseaux sociaux doit-on avoir? Et comment encadrer les excès que certaines plateformes seraient tentées d'exercer? Comme annoncé en introduction, l'ouvrage balance constamment «entre prudence et paranoïa». Le résultat est un portrait minutieux des us et coutumes sur chacune des plateformes communautaires qui ont coexisté avec Facebook au cours des dix dernières années. En creux, l'enquête révèle une profonde volonté des internautes à partager tout et n'importe quoi - ce qui explique le succès de Facebook aujourd'hui. Mais entraîne aussi son lot de menaces pour la société et qu'il faut donc réguler. Complète étude du boom des réseaux sociaux, cet ouvrage pêche parfois par angélisme. On ne peut sourire qu'aujourd'hui en voyant les auteurs s'offusquer jadis d'apprendre que Facebook va gagner de l'argent avec de la publicité.
Jérémie Janot @jeremiejanot Quel est le blaireau qui déclare que j annonce l arrive d hamouma sur twitter ? Faut savoir lire les mecs !! :mdr: c'est un fou