Faut surtout dissoudre ces soit disant groupes de supporters! L'ambiance Marseillaises existait bien avant eux, la plus part des jeunes d'aujourd'hui pense que l'ambiance dans ce stade est née avec les groupes. Mais la réalité est tout autres, ce sont les groupes qui tue l’ambiance! Au début c’était anodin, une histoire d’être organisé et de pouvoir faire plus de déplacements. Aujourd’hui c’est une guerre identitaire entre groupes qui se servent de l’OM comme pôle d’attraction, mais qui favorise sa propre identité. Un système détourné par une bande d’apprenti mafieux qui n’ont rien à faire de l’OM, mais qui sont conscient qu’il y a beaucoup d’argent à gagner grâce à l’OM. Combien de groupe redonnent réellement la part qui revient au club sur l’achat des abonnements? Quel est l’utilité exact de l’argent récolté sur les abonnements plus l’aide du club et les différentes aides que ces associations demandent à la mairie? Il faut vraiment être aveugle ou terriblement stupide pour ne pas s’apercevoir que ces individus profitent de l’OM pour se faire de l’argent. Alors les plan Leproux et tout ce genre de solution serait probablement préjudiciables pendant un temps mais serait surement une bonne solution pour que le vélodrome retrouve un vrais public.
??? Le club fixe le prix des abonnements en virage aprés négociations avec les groupes. Soit, cette année 145€ Le club vend ensuite les abos aux groupes selon le quotat, ou si tu préfères les groupes achetent les abos à l'OM. Les SW achetent 5000 abos, les Ultras 4500, Etc etc (sauf cette année ou les nombres vont changer suite aux travaux). Ya donc pas de part qui revient au club ou quoi que ce soit : le club vend, les groupes achétent, puis les groupes revendent (c'est là que ce font les marges pour la plupart des groupes comme les SW, Yankee, CCS, etc) Par exemple chez les ultras, l'abo coute 140€, la carte de membre 20€, ça fait 160€ point à la ligne ! (cette année donc, 5€ de plus), les fanatics idem. Les yankee cette année c'est 175€ , donc 145€ l'abo + 30€ de je sais pas quoi (carte de membre ?, enveloppe timbrée ?, tee shirt ?, etc etc etc etc) Et les autres groupes pareils Le plus intéressant c'est que les yankee commencent la campagne d'abonnement alors que l'om n'a toujours pas mis a disposition (donc vendu) ses abos aux groupes !!! Ce qui veut dire que eux ils prennent l'argent de leur membres et ensuite ils achetent les abos à l'om. Entre temps, l'argent fructifie un peu à la banque, non ? Malin ces yankee si c'est ça !
L'ambiance au velodrome à atteint son apogée dans le début des années 90 sous l'impulsion du regretté FUW donc sur la question de l'ambiance je suis pas du tout d'accord avec toi. Par contre, il est vrai que certians groupes sont devenus des entrepises et ne pense plus que pour leur groupe (alors qu'on est supporter de l'om avant tout) et il est vrai qu'une remise à plat ferait du bien. Mais tu peux être sur que si il est appliqué une sorte de plan leproux, on est mort et l'ambiance avec (déjà qu'on l'est presque). Ce plan est tout ce qui se fait de "mieux" en matière de repression et de conneries
Si c’est le fonctionnement réel alors toutes mes excuse pour ca. Mais permet moi de douter que de associations qui demandent des aides à tout va puissent faire l’avance de plusieurs milliers d’abonnements. Pour ton histoire des Yankee je n’ai jamais vu un groupe vendre un abonnement sans le donner le jour même.
C'est pas compliqué, suffit de demander à l'OM d'échelonner les paiements. Comme chez l'ophtalmologue, tu lui demandes de t'encaisser une fois que la mutuelle ta remboursé
pourtant ça fait des années qu'ils font ça je t'assure. j'y suis allé aujourd'hui et comme depuis toujours on nous appellera pour venir récupérer l'abonnement. je suis pas sur que ça soit les seuls à faire ça. Sinon entièrement d'accord avec Dark Soul on a tous l'impression que les têtes pensantes des groupes (certains membres influents sont vraiment passionnés) s'en battent les ________ de l'om. autrefois il y avait des mecs comme Depé qui permettait de faire passer l'om et la mentalité avant tout, aujourd'hui il y a de moins en moins de mecs comme ça et ceux qui veulent se faire de l'argent sur notre dos se régalent et s'entraident. c'est malheureux mais tous les vrais passionnés qui s'investissent dans les groupes participent à leur survie, tous les anciens ou tous les jeunes qui ont encore l'image de groupes amoureux de L'OM qui avaient une vrai mentalité avec des capos qui pouvez mourir pour L'OM, tous ces gens participent à faire survivre nos chers groupes, à leur donner de la crédibilité et à cacher la foret. il doit rester peut-être deux groupes dans ce stade où ce fonctionnement de merde n'existent pas, malheureusement s'ils ouvrent trop leur gueule ils se font vite remettre en place.
Les supporters sont-ils l'âme d'un club ? 40 Ligue 1 - Supporters Les supporters sont-ils l’âme d’un club ? Olympique lyonnais Paris Saint-Germain 8 juin 2011 Commentaires (20) La saison se termine et elle fut plutôt sage côté tribunes. De fait, insidieusement, entre la nouvelle attitude des pouvoirs publics, la loi Loppsi II, le « succès » du plan Leproux et la perspective « sécurisé » des futurs grands stades de l’Euro 2016, les supporters « à l’ancienne » (quel que soit leur age) sont peut-être en train de vivre la fin d’un cycle. Et de basculer du sacré au profane. Explication de texte. Ce matin, l’Équipe a publié le point de vue croisé de quatre présidents, et non des moindres, en l’occurrence Robin Leproux (PSG), Jean-Michel Aulas (OL), Jean-Claude Dassier (OM) et Michel Seydoux (LOSC). Si des divergences peuvent apparaître, minimes en fait, il existe néanmoins un point précis sur lequel ils s’avèrent en plein accord : sois supporter et tais-toi. Au-delà de l’habituelle, et compréhensible, distinction entre les “violents” et les “pacifiques”, les quatre fantastiques du foot français, qui s’imaginent déjà apparemment en Big Four tricolore, n’ont pas de mots assez durs pour remettre leurs “clients” à leur place, leur expliquant par ailleurs que « la politique gouvernementale avait changé et qu’on ne rigolait plus » (Dassier). Et à l’audacieuse question d’un journaliste qui soulignait que les supporters pensent souvent “qu’ils incarnent le club”, Michel Seydoux – qui préfère le terme de « fan » – balance très énervé : « Mais non, mais non, c’est vous (les médias) qui le considérez à leur place ! Les patrons, c’est nous. Pas les supporters ». Pour abrupte que soit la réponse, socialement blasphématoire mais pécuniairement fondée, le problème mérite d’être posé. Les ultras ne cessent en général de répéter qu’ils incarnent “l’âme du club”. Un ambition spirituelle qui les épuise et les ruine. Ce discours possède désormais d’autant plus de portée que ces dernières années, la valse des présidents, des propriétaires et des joueurs s’est accélérée, transférant quasi-exclusivement la charge émotionnelle (le fameux amour du maillot) vers les tribunes. D’où la tentation d’affirmer au bout du compte d’en être les seuls dépositaires. En face, les nouveaux présidents (comme il y eut un New labour) se concentrent de plus en plus sur leur rôle de gestionnaires d’entreprises dont la clientèle se dégote d’abord devant le petit écran (les droits télé sont leur source première de revenus). Ils s’occupent ensuite des supporters comme un patron de bar doit gérer les mecs bourrés de fin de soirée, indispensables pour foutre l’ambiance, tenir le zinc et remplir le tiroir-caisse la journée, puis juste infernaux quand ils finissent par se croire chez eux dans le lieu qu’il squattent certes à longueur de temps*. Dans leur comptabilité, “l’âme” se réduit à un produit marketing, l’histoire à un palmarès et l’ambiance à un fond sonore pour la retransmission sur Canal Plus. Les supporters réclament du rêve et le droit de s’identifier à un club (qu’ils continuent encore d’imaginer en variation PME de l’association des débuts) dont la dimension financière ne prend jamais l’ascendant, dans leur esprit, sur son enracinement - souvent le stade appartient encore par ailleurs à la ville - et leur ferveur. Pour nos quatre mousquetaires tricolores, on a déjà changé d’époque et il serait temps de s’en rendre compte. Ce n’est même pas syndicat contre patronat. Les supporters signent juste pour un abonnement, comme chez SFR ou Orange. Il faut respecter les conditions de vente, point barre. En face, le malentendu en est conforté. Les supporters s’accrochent à une vision romantique du foot français tout en lui demandant d’exploser les scores comme sur Playstation 3. Le supporter défend un club (et dans le cas du PSG, il fut longtemps le seul), le président doit rendre une équipe performante. Et le drame réside surtout dans le fait que les dirigeants, qui ne cessent d’affirmer qu’ils fournissent d’abord un spectacle, n’ont toujours pas compris le B-A-BA du succès de la culture “mainstream” de divertissement* pour le rendre crédible. Au risque sinon de se suicider économiquement et de tuer le ballon aux œufs d’or. Nicolas Kssis-Martov * Au passage relire les très belles pages sur ce paradoxe du « droit à la propriété vs. le droit à l’ébriété » sous la plume d’Alexis Violet, ex-compagnon trotskiste des Lettristes et autres Situationnistes, notamment dans « Le temps gage ». * cf. le livre de Frédéric Martel
C'est malheureux, mais maintenant à cause du modèle Anglais (et espagnol dans une moindre mesure), il faudrait presque choisir entre football business avec une équipe compétitive, et football populaire avec une équipe moyenne. Tous les président poussent dans le même sens: les supporters ne représentent en rien le club, ce sont des spectateurs qui paient leur place et doivent respecter le règlement. La ligue, le gouvernement, l'UEFA poussent également dans ce sens. Stades renommés pour faire de la pub, couleurs de maillot changées pour vendre davantage, places augmentées pour calmer un stade parfois hostile à la direction, le football devient un spectacle plus qu'un sport.
Pr tout, certainement pas, mais une bonne partie oui malheuresement. Le foot (professionnel) a perdu toutes ses valeurs et on ne pense plus que pognon au lieu de solidarité, passion, fierté... Personnellement je ne me reconnais pas dans ce foot là mais bon c'est une évolution qui semble irrémédiable quelque soit les pays et quelque soit les sports (le rugby prend la même voix que le foot) )
Et alors? Libre à chacun de cautioner ou pas! Si toi tu t'y reconnais tant mieux je ne te juge pas, mais moi j'ai du mal... Voila j'ai pas trop développé car tu as quasiment tout dit.
Tout à fait d'accord avec toi. Je ne m'y reconnais pas plus que toi sauf que je dois avouer que je suis un fataliste. Dans ce cas, rien ne t'empêche d'aller supporter Endoume où l'équipe de ton quartier à l'image de ce qu'ont fait, il y a un certain temps, les supporters de Manchester united. De toute façon tous les sports sont des business proportionnellement à la richesse de leurs clubs et de leur fédération. Comme je le dis souvent, ceux qui déplore le Foot business ont près de 40ans de retard... La société a évolué et a fait évoluer avec elle un certains nombres de choses qui semblent désormais acquises et immuables. Le combat est perdu.
Salut à tous, Puisqu'on parle des Yankee... Quelqu'un sait-il comment connaître son numéro de liste d'attente? Car ils ont communiqué les numéros qui étaient pris en compte mais on a pas eu de numéros attribués à l'inscription... Merci de votre aide
Pour en revenir aux fumigènes, c'est quand même fou qu'un match à huis clos nous pend au nez (OM-VA) alors que les niçois qui ont allumé le même soir (contre Lorient) beaucoup plus de fumis dans leur tribune sud n'ont eu aucune remarque, les dirigeants de l'OGC Nice n'ont même pas été convoqués... justice à deux vitesses à la LFP mais personne n'en parle.
j'espère surtout que les groupes se réveilleront et porteront leur _______ pour avoir la vrai mentalité des tribunes ! (pour éviter d'avoir celle du business pour certains). je ne vais pas citer tout les décisions et actions des groupes de ces derniers moins qui sont allées dans le sens contraire de l'idée de remettre le feu car ça serait beaucoup trop long alors qu'autre fois ils étaient quasiment irréprochables. loin de moi l'idée de vouloir donner des leçons ou de vouloir se la jouer supporter parfait, mais j'estime juste que sans eux même avec la meilleur volonté du monde on arrivera à rien, c'est à eux de reconquérir leur tribune, c'est à eux de nous aider à rallumer la flamme chez certains, il faut qu'ils relancent les choses, qu'ils retrouvent leurs envie et leur passion pour que l'on retrouve tous ensemble notre force d'antan qui rendait notre public si spécial et si magique.