[Monde] Football AMSUD + Mexique

C'est devenu une drogue de se documenter et d'enquêter sur ce passionnant championnat. Avec mon absolue préférence pour Independiente.

Nous voici en 1940. C'est la dixième édition professionnelle. Independiente parviendra t-il à faire la passe de trois?

Depuis 1931 River Plate a remporté 4 éditions mais il faut dire qu'en 1936 la compétition a été morcelée en trois partie. La copa de Honor qui donne un titre à San Lorenzo. La copa campeonato qui donne un titre à River et la copa de oro. Trois titres de champion en une année...

Boca Juniors premier champion pro de l'histoire a conquis pour l'instant trois titres de champion. Suivi par San Lorenzo 2 fois champion et bien sûr l'Independiente.

Mais c'est le club de Avellaneda le plus régulier. Avant de remporter son premier titre l'Indep a fini quatre fois vice champion...

Et si l'Indep va débuter de façon idéale en s'imposant au Monumental devant River Plate(2-1) cette année le titre n'échappera pas à Boca Juniors.

L'Indep perd des points contre des équipes moyennes en témoigne ce match nul dans le clàsico d'Avellaneda (1-1)

Car sur le terrain les maîtres restent l'Indep. Qui lors d'un mémorable 21 juillet 1940 atomisent Boca Juniors 7à1 dans la légende!

Dès la 5e Sastre ouvre le score avant que Ibanez marque contre son camp(25e) , Boca réagit par Sarlanga(28e) mais juste avant la mi temps Sastre récidive et offre le break aux siens (44e).

Au retour des vestiaires la furia s'abat sur Boca Juniors. Erico foudroie deux fois en moins de cinq minutes(59e) (63e). l'Indep ne relâche pas l'étreinte et score encore par Leguizamon(71) et enfin par Martinez(86e)

Une véritable humiliation!

Et le 7 novembre l'Indep va ajouter un autre match d'anthologie à son palmarès mythique.

Nous sommes à Libertadores de America et c'est le clàsico d'Avellaneda.

Le Racing Club va se faire assassiner 7 à 0!!! Avec des doublés de Erico toujours lui de Zorilla et de De la Mata. C'est le vingtième succès des diables rouge dans le derby. Et quel succès!

Mais l'Indep va se prendre les pieds dans le tapis et va subir trois défaites d'affilées dont la dernière face à Boca Juniors qui s'adjuge le titre de champion , le quatrième de son histoire.



Independiente fini donc second devant River Plate.

Loin des totaux de Erico ; le paraguayen Delfin Benitez Caceres fini meilleur buteur avec 33 unités.



A égalité avec l'espagnol Isidro Langara qui a fait les beaux de jours de San Lorenzo.

 

1941

Et maintenant nous allons parler de "La Nuestra" !

Nous savons tous que la terre d'Argentine est un pays de football. Qui vit et respire le football. Un pays qui n'a pas attendu l'arrivée de canal plus pour se passionner pour ce sport.

Alors que l'Europe est plongée dans la seconde guerre mondiale un homme du nom de Renato Cesarini italo argentin prend les commandes de River Plate.

Joueur entre autre de Chacarita Juniors il retourne en Italie où il connaît un franc succès avec la Juventus avec qui il remporte quatre scudetti. Il finit sa carrière de joueur avec River Plate remportant le titre de 1936 et celui de 1937.

Il y a une expression en Italie qui est "zona Cesarini" c'est quand un joueur offre la victoire dans les derniers instants. Elle vient de Renato qui marqua le but de la victoire avec l'Italie contre la Hongrie en 1931 dans les derniers instants!


Renato Cesarini avec la camiseta de la Juve...

L'Argentine donc par l'intermédiaire de ses clubs tel Independiente et son trio magique , Boca Juniors et la sélection pratique un football technique et chatoyant.

On l'appelle " futbol rioplatense" du nom d'un mouvement de tango.

Le mouvement. Si cher à ce football argentin.

Mais Renato Cesarini va pousser le bouchon encore plus loin. Cinq attaquants sans position fixe tournoyant dans tous les sens jusqu'à en rendre fou les défenses adverses.

Les changements de positions incessants , de rythme , les redoublements de passes terrassent bon nombre d'adversaires.

Pour cela un quintet de joueurs va rentrer dans la légende. Et cette équipe va prendre le nom de La Maquina(la machine). Voici ces joueurs de légende.


Angel Labruna a inscrit pas moins de 292 buts en 516 matchs soit une unité de moins que Arsenio Erico dont le record ne sera vraisemblablement jamais battu.


Juan Carlos Munoz était un virevoltant ailier difficile à arrêter.


José Manuel Moreno a fait toutes ses classes à River Plate. Champion en 1936 et 1937 il a fait lui aussi partie de La Maquina. Il est l'auteur d'une carrière exceptionnelle puis qu'il a remporté le championnat de quatre pays!(Argentine avec River Plate, Mexique avec Real Espanol , Chili avec Universidad Catolica et enfin Colombie avec l'Independiente Medellin!!!)

Félix Loustau un des meilleurs ailiers gauche de tout les temps. On l'appelait Chaplin pour son physique particulier et ses dribbles déroutants et hors du commun.


Adolfo Pedernera dernier joyau de cette couronne qui terminera sa carrière à Millionaros en Colombie avec Di Stefano! Ce dernier ira rejoindre le Real Madrid...

La Maquina au grand complet.

Cette année donc le championnat ne compte que 16 équipes au départ. Il n'y aura qu'un seul relégué.

Cependant River Plate connait un début de saison très difficile avec 1 victoire et 3 défaites en 5 journées. L'Indep n'est pas au mieux.

Le 25 mai le club de Buenos Aires San Lorenzo de Almagro s'affirme comme un prétendant au titre en s'imposant à Libertadores de America (1-2) pour le compte de la neuvième journée.

La journée suivante l'Indep s'incline à River Plate une nouvelle fois sur le score de (1-2) les rêves de triplé s'éloignent inexorablement.

Surtout que la journée suivante c'est Boca juniors qui s'impose toujours sur le même score(1-2) à Avellaneda...


L'Indep ne répond pas aux attentes en championnat. Arsenio Erico est le seul au niveau avec De La Mata et Sastre mais ça ne suffit pas.

Une défaite à La Plata devant Estudiantes achève une série noire de quatre défaites de suite. Le champion est à terre.

Oui mais pas mort. Le 6 juillet les diables rouge reprennent des couleurs dans le clâsico d'Avellaneda en disposant du Racing Club 3à1 avec des buts de Erico , De la Mata et Funes.

Mais si les matchs retour rapporteront plus de victoires ils resteront marqués par une défaite cinglante à domicile face à River Plate (0-4) et une autre dans le derby face au Racing Club(1-3) Arsenio Erico sauvant l'honneur.

L'Indep termine cinquième de cette édition remportée par La Maquina.

C'est Rosario Central qui hérite de la dernière place , Banfield échappant de peu à la relégation malgré une sanction de 60 jours sans points suite à une affaire de corruption lors de la dixième journée face à Tigre(0-5).

To be continued...

 

1942

Privé de Arsenio Erico l'Indep se prépare à une saison difficile. River Plate est le grand favori de ce championnat après avoir comme Independiente avant lui raflé le championnat , la Copa Escobar et la Copa Ibarguren. Chacarita Juniors est promu.


Outre les talentueux Sastre et De la Mata Independiente peut aussi compter sur le talent du milieu de terrain Raùl Leguizamon.

Ce n'est donc pas une grande saison qui attend les diables rouge et à l'aube de la quatrième journée l'Indep ne compte qu'un seul point.

Or c'est le clàsico d'Avellaneda et qui plus est chez l'ennemi. Mais De la Mata et Reinaldo Mourin offrent la victoire tant attendue et lancent la saison! (2-1)


Avec des joueurs comme Reinaldo Mourin l'indep a de la ressource...

Mais au final Independiente réalise une saison indigne de son rang. Aucune victoire notable sur les leaders et un triste (0-0) lors du derby retour face au Racing Club.

Ailleurs c'est une lutte féroce entre les deux clubs de Belgrano , San Lorenzo et Hùracan ainsi que Boca Juniors pour ravir le titre à River Plate.

Mais La Maquina est lancée et file vers un second titre consécutif grâce à un Adolfo Pedernera en feu qui va inscrire 23 buts.

San Lorenzo fini second juste devant Hùracan alors que Boca Juniors termine quatrième.


C'est le prodigieux milieu de terrain Rinaldo Martino qui élève à lui seul le niveau de jeu de San Lorenzo. Il fini meilleur buteur avec 25 unités devant les meilleurs attaquants du pays.

Hùracan se console en prenant sa revanche en Copa Escobar sur River Plate(2-0)



Le Club Atletico Hùracan au grand complet.(1942)

 

1943

Cette année là River Plate convoite un troisième titre d'affilée pour devenir le premier club argentin a réalisé cet exploit.

Le club possède toujours son quintet magique et pratique La Nuestra qui déroute tant les solides défenses d'Argentine. River Plate est l'archi favori.

Independiente lui doit faire face au départ du légendaire Antonio Sastre qui s'envole pour le Brésil et signe à Sao Paulo Fc. Un vrai coup dur.

Mais Arsenio Erico est opérationnel et peut toujours compter sur le soutien de De la Mata. Pour remplacer Antonio Sastre le club lance dans le bain Fernando Walter. C'est la fin d'une époque.



Autre rival déclaré de River ...Boca juniors. Lassé de jouer les seconds couteaux depuis le sacre de 1940 le club de Buenos Aires est allé recruter la pépite urugayenne Severino Varela.



Il aura pour mission d'épauler le buteur maison Jaime Sarlanga. Les Xeneizes sont parés.



Sarlanga le goléador de Boca ne sera plus seul désormais.



Independiente ne digère pas le départ de Sastre et fait une entame de championnat catastrophique. S'inclinant tour à tour à San Lorenzo(2-4) à Libertadores de America devant River Plate(0-2) et à La Plata face à Estudiantes(1-2)

L'hémorragie est stoppée avec panache en atomisant Hùracan(6-2) lui aussi candidat déclaré au titre à La Doble Visera(surnom du stade)

De son côté River Plate mate un autre rival : Boca Juniors (3-1) . Mais les Xeneizes malgré une autre défaite à Hùracan(1-2) reprennent pied devant les diables rouge(3-1)

C'est la crise , l'Indep ne peut pas se mêler à la course au titre. Pire le premier aôut de cette année 1943 il s'incline dans le clàsico Avellaneda (0-1)

Le club ne parvient plus à battre les meilleurs et River Plate s'impose chez lui (1-2) malgré un Arsenio Erico des grands jour.


Arsenio Erico marque face à River Plate démontrant si besoin qu'il reste un buteur redoutable.

C'est une saison noire ponctuée par un (2-2) face au Racing Club et une sixième place bien loin du standing du club.

Tandis que Boca Juniors enchaîne les victoires et dispose de River Plate(2-1) un succès décisif car au final les Xeneizes devanceront leur voisin honni de un petit point.


L'équipe championne d'Argentine 1943

Dans le même temps l'Atletico club Hùracan remporte pour la seconde année consécutive la Copa Escobar.

La Copa Ibarguren n'est pas jouée mais une autre compétition a lieue. C'est la Copa de la Republica. San Lorenzo en est le vainqueur en étrillant en final l'équipe de l'Atletico Géneral Paz Juniors(8-3)

 

Vous êtes des locos sur ce topic !!!!

 

Yeah! Bienvenue à toi quand tu veux the crazy pépère o7:wink:

1944

Velez Sarsfield est promu ce qui porte à 9 le total des clubs de Buenos Aires.

River Plate brigue clairement le titre. Boca juniors compte bien le conserver. San Lorenzo veut se mêler à la lutte toujours emmener par son maître à jouer Rinaldo Martino.

Independiente n'entend pas s'avouer vaincu. Si Fernando Walter n'a pas remplacé Sastre dans les coeurs il a affiché de belles promesses. Avec les deux stars de l'équipe De la Mata et Arsenio Erico le club s'offre les services de l'attaquant de Atlanta(arg) Norberto Pairoux.


La star des stars Arsenio Erico s'apprête à entre dans l'arène.


De son côté Boca Juniors compte toujours sur sa pépite urugayenne Severino Varela mais aussi sur son buteur Sarlanga. Un autre joueur a pris de l'ampleur on le surnomme El Atomico! il s'agit de Mario Boyé.


El atomico a fait toutes ses classes dans les catégories jeunes de Boca Juniors désormais il est un des atouts de l'équipe fanion.


Pio Sixto Corcuera El péon de la Boca est un des nombreux talent dont regorge l'Argentine. Avec de tels joueurs Boca Juniors a de nombreux arguments à faire valoir.


Dès l'ouverture du championnat l'Indep accueille le quintet de River Plate mais les deux équipes repartent dos à dos(2-2)

Dans le clàsico del barrio Hùracan écrase San Lorenzo(5-1) , mais l'Atletico se fait étriller la journée suivante par un River Plate de feu(5-3)

Lors de la quatrième journée San Lorenzo s'impose devant Boca Juniors (2-1) le championnat reste ouvert.

La journée suivante les Xeneizes sont tenus en échec par leur grand rival (1-1) River voyage bien en ce début de saison. Et c'est l'Indep qui rugit à nouveau grâce à une victoire sur les terres de Hùracan (4-3)

Seulement les diables rouge laissent des points en route face à des adversaires largement à leur portée. Lors de la huitième journée l'Indep écrase le champion en titre (4-0) Le panache est de retour! Mais River Plate est sans pitié face au Racing Club(5-1)

L'armada des diables rouge.

Hélas le 25 juin 1944 l'Indep s'incline dans le clàssico d'Avellaneda (4-2) le club va plonger dans une crise de confiance et enchaîner les contre performances.

Malgré cela l'Indep frappe les esprits dans un match d'anthologie face à River Plate(4-4) où Erico et Walter inscrivent chacun un doublé.


La Maquina au grand complet.

Un à un les prétendants décrochent et ne reste que Boca Juniors et River Plate pour la lutte finale. Avec à un degré moindre la bonne surprise du championnat Estudiantes de La Plata.


Estudiantes va réaliser une série de 13 matchs sans défaite.

Mais au final c'est Boca Juniors qui termine champion devant River. l'Indep va mieux mais ne termine que cinquième...

 

L'ancien joueur Erico de Paula Coelho Filho dit Nenê est décédé ce mercredi matin à l'âge de 70 ans. Cet ex joueur du São Paulo FC, où il y a évolué entre 1964 et 1973, souffrait d'un cancer. Après sa belle carrière de joueur, il fut entraîneur de São Bento et de l'Atlético Sorocaba.

http://www.sambafoot.com/fr/informations/65672_carnet__nene_nous_a_quitte.html

 

Bien ahí MPN !
Erico, De La Mata, Sastre... Quelle époque ! Je pense aussi à Zoilo Canavery, Lalín, Luis Ravaschino, Seoane... Tous ceux qui accompagnaient Raimundo Orsi en attaque.

Et ce qui vient après... Avec Pavoni, Bertoni, Balbuena, Raimondo, Trossero, Pastoriza, Fransico Sá le recordman de Libertadores gagnées, l’excellent Saggioratto et le légendaire Bochini...

Et il y en a encore, et toujours... Une liste sans fin. Independiente est truffé d'histoires de combat épique, de retournement de situation impossible... De Gloire, tout simplement.

MPN, c'est la famille.

Là où s'exprime l'indépendance s'évanouit la concurrence. Le rapport de force meurt instantanément dans un abrazo de gol. La tribune s'effondre sous une avalanche rouge.

Posée sur une délicate broderie faite main, elle même posée sur la table de la cuisine, une radio à piles crépite et sature dans un hurlement sans fin. Un vieil homme tend à son petit fils son plus bel héritage.

Une vieille 406 remonte Lugano à toute allure. Vitres baissées, quatre jeunes visages émergent des portières. Bras tendus fendant l'air tiède d'une nuit d'été à Buenos Aires, ils sont triomphants.

Une page secrète raconte la vie d'une lycéenne. L'histoire te dit qui tu es. La jeune femme le sait mieux que personne. Elle écrit sa légende d'un stylo rouge. Un cœur marque la feuille datée du "8 décembre 2010" de son journal intime à la couverture criblée d'autocollants de groupe de rock et d'écussons du CAI.

Le pick-up est couvert de poussière des Andes. Un maté fume au sommet du Cerro Galán. Devant les yeux humidifiés des deux meilleurs amis assis sur le capot, l'immensité de la nature semble répondre à celle de leur club Diabolique.

Au pied de l'Obelisco une puissante marrée rouge l'a emporté. Et tel un pirate miraculé, entre deux flots ravageurs, il rapporte avec lui la plus belle des diablesses. De grands yeux noirs le regardent avec intensité. Maintenant qu'elle se rapproche de lui il la voit mieux. Elle porte une frange qui s'est légèrement collée à son front perlé par la transpiration. Il la sent mieux, aussi. Sa bouche a le gout du fernet.

Nos âmes, nos cœurs et notre sang portent la même couleur.
Rouge vif, pour une vie intense, une passion sans limite et une union éternelle. Au delà de toute date de naissance. Au delà de toute convenance.
Nous sommes indépendants. Somos Independiente.

 

@Tsuki:Si l'Indépendance m'est devenue évidemment sympathique,c'est uniquement par ta faute,mais tu as deviné à mes tendances aux digressions lyriques que je suis un grand sentimental doublé d'un fidèle un peu con(Diego est éternel,j'y peux rien).Amour toujours.
Dis-moi,pendant que je te tiens,c'est toi qui a passé la Grande Encyclopedia Futbolis en 18 volumes à MPN pour qu'il en fasse un résumé?

@MPN:Tu en es où dans la rédaction de ton mémoire sur le championnat argentin?Déjà 24h que tu ne nous a pas soumis ton brouillon définitif.Un manque s'est créé.
Je voudrais pas (pré-)dire,mais je te trouve suffisamment obsessionnel et loco pour te réveiller Argentin un beau matin,sans t'être aperçu de rien.

Blague à part,si tes loisirs et tes envies te le permettent,tu auras des lecteurs,c'est garanti.
C'est beau comme du Tsuki(voir plus haut).

La bise à vous deux au passage.Ainsi qu'à ceux qui passent,c'est mon quart d'heure fraternel.Profitez.

 

Balbuena

 

Alors ça Mac'sous,c'est pas bien malin.Honte à toi.Vas te faire gâter par les anges.Ceux de l'Enfer.

P.S.:il se pourrait que j'ai surinterprété le post précédent.1000 mea culpa,dans ce cas.

 

[h=1]Mancuello, le tireur de corners directs d'Independiente[/h]
C'est Tchouki qui va être content.

 

C'est le topic des experts ici, live from Buenos Aires
intéressant de vous lire les gars, continuez

 

Le problème c'est que dans l'espace temps on est resté tous bloqué en 1944 là! :huh:

 

Chouette! la libération est pour bientôt.

 

48h sans un nouveau chapitre,cette fois c'est clair,on a perdu le soldat MPN.Ou bien la Guerre.

 

Il doit réflechir à ses pronos :lol: :crise:

 

La fidélité n'est pas l'expression de la connerie. Enfin, on peut devenir con par fidélité mais ça c'est une autre histoire jaja !
En tout cas ta sympathie me suffit amplement, je ne suis pas là pour te faire aimer ou détester qui/quoi que ce soit.

La franche bise.

La classe à Dallas

Haha c'est un peu... too much cet article.
Mancuello fait une saison de toute beauté. Ca fait plaisir. Il a tenté une fois un corner rentrant, c'est presque passé. Il l'a retenté dernièrement et l'a réussi. De là à parler d'expert de corner je trouve que c'est un poil exagéré jaja
En tout cas, au vu de sa saison, ce corner réussi est anecdotique. Depuis qu'il a été replacé au centre il n'est plus le même joueur... Et depuis qu'il est entraîné par Almirón aussi. C'est un peu notre Morel à nous. Méconnaissable depuis l'arrivée du nouveau coach.

La bise loco !

S'il nous offre toutes les années du championnat Argentin il y aura de quoi faire une chronique ! Dommage qu'il n'ait pas commencé en 1900 !


Moyano président d'Independiente annonce qu'il finira le stade comme il a été prévu en 2005. C'est à dire avec un toit ! J'ai hâte de le voir fini... Mi luguar en el mundo !

Actuellement :



Le projet final :



Depuis l'intérieur :



Mi lugar en el mundo....

 

Magnifique texte de ta part encore une fois. C'est beau!

48 heures après ton quart d'heure fraternel je me permets tout de même de t'envoyer une bise tout aussi fraternelle ! C'est le quart d'heure sud américain.:wink:

:lol:

Tsuki et MPN. Le nombre de supporters de l'Indep a doublé depuis quelques mois. Mac Sous? Il n'est la que si Tsuki poste des photos de belles supportrices...

Sans aucune fausse modestie l'expert en la matière se nomme Tsuki. Il est argentin c'est son club. Puis derrière vient un certain spécialiste du football brésilien n'est ce pas? :wink: Quand tu retournes là bas fais nous partager!

J'espérai que Tsuki continuerai , on serait tous gagnant si il continuait le truc...:wink:

J'étais bien occupé mon poto , je continuerai avec plaisir même si je rêverai de voir Tsuki prendre la relève histoire de hausser le niveau.

Tain mais t'es con toi?

Le topic est sérieux ici môssieur. :mrgreen:

Toujours en train de la ramener et le pire c'est que je suis plus con que toi ...je ris de tes conneries. Ton humour me fait rire.

Je touche vraiment le fond... :lol::wink:

 

D'autres stades sont couverts en Argentine?

@MPN : t'as complètement raison. Je suis rojo pour les supportrices :lol: