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[Monde] Tribunes Etrangères

Discussion dans 'Autres sujets sur le foot' démarrée par Millwall_Bushwackers, 3 Avril 2013.

  1. mamad16

    mamad16 Well-Known Member

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    Vidéo qui retrace la phase aller de la saison de la Südkurve München. C'est vraiment beau !

    [video=youtube;WL-X8HzT9Ds]https://www.youtube.com/watch?v=WL-X8HzT9Ds[/video]
     
  2. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

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  3. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  4. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Désunion Berlin
    A l’aube de sa toute première saison en Bundesliga, l’Union Berlin se déchire en interne à propos de la question d’un boycott à venir ce dimanche contre le RB Leipzig. Si certains joueurs espèrent avoir leurs supporters derrière eux pendant 90 minutes, les ultras n’entendent pas céder, au nom des valeurs qui font partie de l’ADN de leur club.

    Par Julien Duez mercredi 14 août

    Nous sommes en 2014 et le RB Leipzig vient de monter en D2 allemande. A l’occasion de la sixième journée de championnat, les joueurs d’Alexander Zorniger effectuent un court déplacement à Berlin et la rencontre commence avec un silence assourdissant. Dans les tribunes, ils sont 20 000 à s’être parés d’un sac poubelle noir en guise de poncho. Pendant les quinze premières minutes, nul ne pipe mot. Seul le parcage tente quelques chants, mais ces derniers seront rapidement éteints une fois le boycott terminé. Et là, c’est l’explosion : l’Alte Försterei gronde, rugit, vibre et s’enflamme, sans discontinuer comme à son habitude, pendant les 75 minutes restantes. Et l’Union Berlin finit par l’emporter 2-1.

    On prend les mêmes et on recommence
    À l’époque, le Wuhlesyndikat, le plus ancien groupe ultra du club de l’arrondissement de Köpenick entendait, comme c’était alors la mode dans toute l’Allemagne, manifester son mécontentement d’affronter un « club en plastique » totalement à l’opposé des équipes dites « de tradition » . En 2017, le RB Leipzig a pris son envol vers la Bundesliga et s’est même payé le luxe d’être européen deux ans d’affilée. De son côté, l’Union Berlin a encore un peu patienté et, au bout de dix ans dans l’antichambre, finalement validé son ticket pour l’élite, au terme d’une double confrontation folle face au Stuttgart de Benjamin Pavard. L’Union en Bundesliga, c’est un peu la consécration d’un petit club populaire et qui n’a jamais vraiment réussi à trouver sa place dans l’Allemagne réunifiée. Alors, quand les ultras du club ont appris que le calendrier leur refilait le RB Leipzig pour le premier match au sommet de leur histoire, beaucoup ont vu rouge.
    L'Union Berlin promue en Bundesliga pour la première fois de son histoire

    C’est pourquoi le Wuhlesyndikat a publié un communiqué dans lequel il appelle le stade à observer une grève des encouragements en début de rencontre. Un quart d’heure sans ambiance, comme en 2014. Pour réaffirmer ses valeurs face à un club toujours aussi honni. Sauf que chez certains joueurs, l’initiative ne passe pas. Et celui qui l’a démontré avec le plus de véhémence n’est autre que le portier des Eisernen, Rafał Gikiewicz. Dans un message posté sur son compte Instagram, et dans lequel on le voit debout dans la nacelle du Sektor 2, l’antre sacrée des ultras de l’Union, le Polonais de 31 ans a tenu à manifester son mécontentement quant au boycott à venir : « Ce dimanche, nous vivrons tous un moment historique ! La saison dernière, nous avons tous travaillé très dur pour y parvenir ! Y compris vous ! » , a rappelé le gardien, pour qui la grève des encouragements « n’est pas une bonne chose » . Au lieu de quoi, Gikiewicz propose aux ultras de présenter un tifo « ou quelque chose du genre » , parce que, selon lui, il est indispensable que l’Alte Försterei rugisse pendant 90 minutes non-stop et ce, afin de « montrer à nos adversaires que c’est NOTRE terrain, NOTRE maison. Ils doivent ressentir un "Welcome to Hell !" et que ce n’est jamais simple de jouer contre nous » .

    Excusez-nous si on a des valeurs !

    Le problème, c’est que malgré la cote de popularité élevée dont il jouit à l’Union, Rafał Gikiewicz, ne semble pas vouloir comprendre l’importance du public au sein du club dont il défend les perches depuis la saison dernière. « Ce n’est que mon opinion personnelle. Je suis étranger et je me fiche de savoir qui est notre adversaire » , a-t-il ajouté pour se justifier. Sauf qu’à l’Union Berlin, il y a des choses avec lesquelles on ne transige pas. Et revendiquer son ADN face à un club monté de toutes pièces il y a à peine dix ans en fait partie. En 2014, la direction avait - comme d’habitude - pris fait et cause pour son public en publiant une vidéo de la fameuse première grève des encouragements. Il y a quelques semaines, elle avait publié un communiqué au moment de régler la facture (salée) liée au craquage massif de torches qui avait suivi le barrage retour contre Stuttgart : « Quand tu montes en Bundesliga, il faut bien investir un peu ! »

    Neven Subotić: «  Les footballeurs ne sont pas assez impliqués dans l'action sociale  »

    Cette complicité totale, Neven Subotić l’a bien comprise. Au terme du dernier amical de pré-saison disputé ce lundi contre le voisin de Lichtenberg, le plus Allemand des ex-internationaux serbes a tenu à apporter son soutien aux ultras de son nouveau club. « C’est sûr que je préférerais qu’on utilise d’autres moyens de protestation. Mais une protestation qui ne fait de mal à personne, cela n’arrive pas souvent, c’est une protestation de luxe ! » , explique l’ancien Stéphanois à Kicker. Pour lui, la montée de l’Union en Bundesliga doit servir d’étincelle au retour d’une plus grande homogénéité dans le championnat allemand « plutôt que trois-quatre équipes qu’on va tellement développer qu’elles finiront par avoir leur propre compétition internationale dans quelques années » . Mais l’homogénéité ne signifie pas pour autant la perte d’identité. C’est cela que les ultras berlinois ont tenu à rappeler avec cet appel au boycott. Mais arriveront-ils à fédérer le grand public derrière eux - comme par le passé - maintenant que leur club a changé de dimension ? Élément de réponse ce dimanche.
     
  5. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Comment le Bloody Sunday a changé le destin du Derry FC
    Encastré dans le quartier du Bogside, tristement célèbre pour le Bloody Sunday, le Derry FC tranche avec le contexte et l'histoire de Londonderry, en Irlande du Nord. La police n'y met pas les pieds, le mot d'ordre c'est la paix, et deux clubs jouent au Brandywell Stadium, dans deux pays différents.


    Par Florent Caffery à Londonderry / Photos Manon Cruz lundi 23 septembre

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    Afficher à droite Afficher en bas FACEBOOK TWITTER [​IMG]Derry FC, ce club qui joue dans le championnat d'un autre pays que le sien
    «  Ici, on n'a pas besoin de policiers.  » En chœur, Veronica et Jackie Mullen plantent le décor. L'une a 67 ans, l'autre 68, les deux sont mariés, et leur écharpe de Derry est viscéralement nouée autour du cou. Derrière eux, le Brandywell Stadium. Deux tribunes rénovées en 2016, quelques briques rouge, des toilettes en préfabriqué, un glacier, deux baraques à frites où l'on tranche patate sur patate à un rythme d'usine et une sono où Blur succède à Spin Doctors. Derry est un cas à part. Le long de la Lone Moor Road, carte postale d'un coron de l'Artois, Veronica et Jackie ne renient pas le passé, «  ces jours terribles de l'année 1972  » où le football était devenu un enjeu politique à Londonderry, deuxième bassin de population d'Irlande du Nord. Le 30 janvier 1972, jour du Bloody Sunday (14 habitants du quartier de Derry, catholique et républicain, avaient été tués arbitrairement par l'armée britannique lors d'une marche pour les droits civiques), Veronica a vu «  quelqu'un se faire tuer devant la fenêtre  » , à 400 mètres du stade. «  À cette époque-là des Troubles (le nom donné à cette période, N.D.L.R.), il était beaucoup trop dangereux d'aller voir un match. L'hôtel où nous devions passer notre nuit de noces avait brûlé deux semaines avant le mariage. C'était invivable.  »

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    Drôle de visite au Parc des Princes
    La tension est telle que le Brandywell est fermé par les autorités en 1971 (les matchs sont alors délocalisés à Coleraine, à 30 km de là). L'année suivante, Derry décide de se retirer de la carte du football nord-irlandais. «  Les joueurs de l'équipe première ont dû aller jouer dans le sud, se remémore Eddie Mahon, ultime rempart de 1963 à 1972. Il faudra attendre 1985 pour que Derry intègre le championnat irlandais. C'est quand même unique au monde de ne pas jouer dans son championnat domestique.  » À Brandywell, c'est Derry qui gère la boutique. Pas question que les autorités y mettent leur grain de sel. La gouaille d'un marin-pêcheur et les béquilles qui l'aident à cavaler dans les dédales, Lawrence Moore est catégorique. «  La police, on n'en veut pas, clame le responsable de la communication. De toute façon, elle ne veut pas venir, elle sait bien qu'il y aurait des tensions. Ici, la sécurité, c'est nous qui la faisons, avec des bénévoles.  » L'absence de fouille à l'entrée ne surprend plus personne. Dans la longue tribune arrondie telle une piste de vélodrome, Veronica n'a pas la mémoire courte en ressortant du sac en guise d'exemple un déplacement au Parc des Princes, en septembre 2006. «  En arrivant à Paris pour le dernier tour préliminaire de la Coupe UEFA (0-0 à l'aller, 2-0 au retour pour le PSG), avant d'entrer dans la tribune, il n'y avait que des policiers et des chiens, c'était très oppressant. Franchement, il vaut mieux venir à Derry.  »

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    «  Le football a fini par changer beaucoup de choses  »
    Ce vendredi 20 septembre, en une froide soirée, Derry cravache justement pour arracher une qualification européenne (le club est quatrième à cinq journées de la fin du championnat). Le nul face aux Bohemians de Dublin (0-0) devant 3 000 supporters, ne déplaît pas à Liam, 86 ans et quelques dents laissées sur le bitume. «  Si on joue la Ligue Europa, les joueurs vont demander plus d'argent, ça ne m'intéresse pas !  » Ciaron Harkin, alias Jackie dans le vestiaire, lui, ne se fiche pas de ça, mais la priorité c'est de jouer chez lui. Adepte du «  on voulait les trois points  » , le gamin de 21 ans, bercé dans le Bogside, le quartier du Free Derry, évolue logiquement à la maison. «  J'ai grandi ici, c'était logique pour moi d'y jouer un jour en équipe première. Et ce n'est pas une question de politique ou de religion, c'est juste du football. J'ai même joué à Institute, qui pourtant est davantage protestant.  » Preuve de plus que les affres du passé sont écartés de l'antre, Institute a élu temporairement domicile à Brandywell depuis la saison dernière. La raison ? «  Leur stade a été inondé, décortique le gérant de la com', du coup ils n'avaient pas de terrain de repli. Tout se passe en bons termes, mais si on m'avait dit il y a une vingtaine d'années qu'Institute qui joue le championnat nord-irlandais viendrait jouer ici, jamais je n'y aurais cru. C'était impossible. Le football a fini par changer beaucoup de choses.  » L'ex-gardien Eddie Mahon a raccroché ses gants depuis trois décennies, mais a l’œil qui brille encore : «  Quand nous sommes revenus en septembre 1985, le premier match était un dimanche. Le samedi précédent il y avait encore eu des émeutes. Ensuite, ça s'est presque totalement arrêté parce que les gens revenaient au stade. On n'imagine pas la force du football dans une ville aussi déchirée que la nôtre.  » Le seul trouble à l'horizon désormais, c'est le Brexit. Pour Lawrence Moore, «  si on doit faire plein de démarches pour passer la frontière vers l'Irlande, ça va poser problème. Mais dans tous les cas, le football continuera de vivre à Derry.  »
     
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  6. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Il s'appelait Vincenzo Paparelli. Personne, à part ses proches, n'avait entendu parler de lui avant le 28 octobre 1979. C'était un bonhomme discret, qui se contentait de plaisirs simples : passer du temps avec sa femme Wanda et ses deux jeunes fils, regarder les matchs de sa Lazio, et lustrer sa BMW de seconde main, qu'il avait entreposée dans son garage. Il avait 33 ans. Ce 28 octobre 1979, à Rome, c'était jour de derby. Vincenzo s'est donc rendu au stade avec sa femme, pour supporter son équipe. Il avait longuement hésité parce qu'il pleuvait, mais finalement, il s'était décidé. Le match n'était pas encore commencé, il était 13h30, Vincenzo venait d'acheter un panino qu'il s'apprêtait à dévorer. Et puis tout a basculé. En une fraction de seconde.
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    Un bruit lancinant vient alors déchirer les chants de supporters. Puis de la fumée. Du sang. De l'incompréhension. Et des hurlements. Vincenzo Paparelli vient de recevoir une fusée de détresse en plein dans le visage. Dans l'œil, très précisément. Sa femme Wanda hurle à la mort, et dans un geste d'amour et de désespoir, tente d'enlever l'objet de l'œil de son mari, se brûlant à la main. La fusée avait été tirée par un supporter de la Roma, depuis le virage opposé. Elle avait parcouru tout le terrain à une vitesse ahurissante avant d'atterrir dans le visage de Paparelli. Deux autres fusées ont également été lancées, l'une blessant, sans gravité, un tifoso laziale de 20 ans. Les secours sont intervenus, mais pour Vincenzo, il était trop tard. L'homme est décédé dans l'ambulance, dans les bras de sa femme, avant même le coup d'envoi du match.
    Des milliers de personnes à l'enterrement
    Dans le stade, c'est l'incrédulité. La gronde. Les acteurs du match n'ont pas encore été mis au courant du drame qui vient de se produire. Les tifosi de la Lazio appellent leurs joueurs sous la Curva pour leur expliquer, et demandent au capitaine Pino Wilson d'annuler le derby. L'imbroglio et le bordel sont totaux. La Fédé tente de temporiser, et décide finalement de maintenir la rencontre pour éviter qu'une émeute incontrôlable explose en dehors du stade. Le match se joue donc dans un climat surréel, avec une Curva laziale quasi vide. Aucun but n'est célébré, et, comme pour ne pas rajouter de l'huile sur le feu, le derby se termine sur le score de 1-1.

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    La nouvelle fait immédiatement le tour de l'Italie. Le président du CONI, Franco Carraro, se rend à l'hôpital Santo Spirito, où le corps de Paparelli est arrivé sans vie, et les informations ne parlent que de ça. Dans les jours qui suivent, l'indignation monte en Italie. Vincenzo Paparelli est officiellement la deuxième victime dans un stade de football, après un tifoso de la Salernitana décédé en 1963 après des affrontements avec des supporters de Potenza. Là, l'histoire fait beaucoup plus de bruit. Car Paparelli n'était pas un ultrà venu au stade pour en découdre avec les tifosi adverses. Il était un gentil père de famille qui a juste eu l'extrême malchance de se trouver au mauvais endroit au mauvais moment. Pire : le jour du derby, Vincenzo avait emprunté la carte d'abonné de son frère Angelo, qui allait au stade tous les dimanches, mais qui préférait toujours éviter les derbys...

    Des milliers de personnes assisteront à l'enterrement et suivront le convoi dans les rues de Rome. Toute l'équipe de la Lazio est là, le président Lenzini et la Primavera de la Roma aussi (l'équipe première étant en déplacement en Coupe d'Italie à... Potenza, coïncidence). Le capitaine de la Lazio, Wilson, présente ses condoléances au téléphone à la veuve Paparelli, tandis que la fondation Luciano Re Cecconi (joueur de la Lazio tué par balles quelques années auparavant) offre un million de lires à la famille. Les conséquences dans les stades sont terribles et les mesures drastiques, du moins dans les mois qui suivent : interdiction d'entrer dans le stade avec des mâts de drapeau, des tambours et même des banderoles jugées offensantes. « C'est le football en Italie qui est mort ce 28 octobre 1979 » , déclarera, bien plus tard, le fils de Paparelli, Gabriele.

    La cavale de Fiorillo

    Reste une interrogation : qui avait balancé ces trois fusées de détresse, dont celle qui a tué Paparelli ? Ce sont les tifosi de la Roma, eux-mêmes, qui ont pu donner le nom du coupable à la police : Giovanni Fiorillo. Il avait 18 ans, c'était « un gamin comme les autres » . Il n'avait pas fait d'études, travaillait comme peintre en bâtiment depuis plusieurs années déjà, et était à ce moment-là sans emploi. Ce jour-là, il a fait une grosse, grosse, connerie, poussé par deux potes, sans jamais imaginer les conséquences. Après l'assassinat de Paparelli, il disparaît totalement. Une cavale dans toute l'Italie, mais aussi en Suisse. Régulièrement, presque tous les jours même, il téléphone depuis une cabine au frère de Vincenzo pour lui demander de le pardonner, puis raccroche et disparaît à nouveau. Il finit par se rendre après 14 mois de clandestinité. Le procès durera des années, Fiorillo écope finalement, en 1987, d'une peine de six ans et dix mois de prison. Les deux copains qui l'avaient incité à tirer la fusée prendront quatre ans et six mois. Giovanni Fiorillo n'ira pas jusqu'au but de sa peine : il meurt le 24 mars 1993, à l'âge de 32 ans. Overdose.

    Depuis, le souvenir de Paparelli est encore très fort en Italie, et surtout à Rome. Il est même l'un des points de tension très sensibles de la rivalité entre les ultràs des deux camps, certains n'hésitant pas à offenser sa mémoire avec des écrits sur les murs de Rome. Comme en 2013, après la défaite de la Roma en finale de Coupe d'Italie contre la Lazio : « Mieux vaut se prendre une Coupe en pleine face qu'une fusée dans l'œil » . Moche.

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    Il s'appelait Vincenzo Paparelli. Il est mort le 28 octobre 1979. Il y a quarante ans aujourd'hui, jour pour jour.
     
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  7. niango68

    niango68 Il pue d'la gueule ton plan

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  8. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    et tu crois que le "jeu en triangle" ça vient d'où ?
    et le ballon qui tape "l'équerre" ?

    Coincidence ? Je ne crois pas.
     
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  9. niango68

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    Maintenant que j'y pense, le rond central... tu le traces comment ??? Avec un compas !
    L'équerre et le compas. Tout s'explique.
     
  10. anonymous_050120232

    anonymous_050120232 Well-Known Member

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    L'emprise de Jean-Michel Aulas sur les instances du football français, je comprends mieux...
     
  11. niango68

    niango68 Il pue d'la gueule ton plan

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    Cette merde est un franc-maçon aussi ? Putin mais qu'ils aillent tous se faire enkuler. Ils sont partout ces chiens. Ça va se finir en prise de la Bastille ce foutoir j'te jure.
     
  12. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    « Le football les a réunis, mais c’est la bagarre qui a forgé les amitiés »
    Pendant deux ans, les journalistes Barthélémy Gaillard et Louis Dabir ont pu infiltrer le Brussels Casual Service, le célèbre groupe des hooligans d’Anderlecht. Entre trafic de cocaïne, bitures homériques et bagarres dans les bois, ils racontent ici leur immersion dans cette contre-société cimentée par la violence et le rejet de l’ordre établi.
     
  13. kaiser sauzee

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    &
    @FootPolak

    Instantanés des obsèques de Roman Zielinski. Leader des ultras du Slask Wroclaw, auteur du livre « La Ligue des hooligans » une plongée chaotique dans le milieu hool polonais, figure plus que controversée et leader de l’extrême droite nationaliste en Basse Silésie
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    https://twitter.com/FootPolak/status/1296908490888433665

    bon, c'était un facho, donc je ne le regretterai pas, il est désormais à sa place, mais l'image me paraissait assez amusante pour être relayée.
     
  14. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    Un vol de bâche près du stade de Rome pourrait déclencher une guerre d’ultras en Europe

    Samedi dernier, en marge d’un match du championnat de football italien, des supporteurs serbes ont agressé des ultras romains pour leur dérober leur bâche. Ce geste, considéré comme l’offense ultime dans le monde des virages, pourrait donner lieu à une série de vendettas impliquant les ultras de plusieurs pays européens.

    C’est une sombre histoire de guet-apens nocturne, d’alliances et de trahisons, où le ballon rond n’est qu’un figurant en toile de fond.

    Depuis quelques jours, le monde des ultras italiens est en ébullition, et les pouvoirs publics transalpins sont sur le qui-vive, craignant une déferlante de violence.

    L’épisode qui a mis le feu aux poudres a eu lieu samedi 2 février, lorsque, en marge du match opposant l’AS Roma au club d’Empoli, “40 Serbes ultras de l’Étoile rouge de Belgrade, armés de bâtons et de matraques, ont pris d’assaut les supporteurs romains du groupe Fedayn”, raconte le Corriere dello Sport.

    Conséquence de ce guet-apens : deux personnes sont à l’hôpital, dont une avec un hématome cérébral. Mais du point de vue des victimes, paradoxalement, là n’est pas la chose la plus grave.

    L’agression avait en effet un objectif spécifique : prendre au dépourvu les Fedayn pour leur dérober leur bâche. Un acte qui peut sembler anodin si l’on ne connaît pas le “code d’honneur” des virages, mais qui en réalité constitue un affront gravissime porté aux tifosi romains.

    “La bâche est l’âme même d’un groupe ultra et la voler aux rivaux signifie littéralement arracher le cœur de la poitrine des supporteurs”, résume le quotidien sportif.

    Pour cette raison, la crainte est que les Romains ne veuillent désormais se venger des Serbes, et peut-être pas seulement d’eux.

    “Si la bâche est exposée, ce sera la guerre civile”
    En effet, les ultras de l’Étoile rouge sont jumelés avec ceux du club Napoli, ennemis jurés des Romains depuis la mort de Ciro Esposito, supporteur napolitain tué en 2014 par un ex-ultra de l’AS Roma militant d’extrême droite. Le soupçon est donc que les Serbes aient été “aidés” par les Napolitains pour mener cet assaut “surprise”. Qu’ils l’aient en quelque sorte commandité même.

    “Si la bâche est exposée au stade de Naples dimanche [12 février], ce sera la guerre civile”, peut-on lire sur les tchats des ultras romains, rapporte le Corriere dello Sport. Une menace à prendre au sérieux lorsque l’on sait qu’il y a tout juste un mois les supporteurs des deux équipes se sont affrontés sur une aire d’autoroute en bloquant la circulation pendant plusieurs heures.

    Mais à en croire plusieurs titres de la presse transalpine, la vendetta des tifosis de la Roma pourrait se dérouler de l’autre côté de l’Adriatique, où les Romains aussi disposent de jumelages avec d’autres groupes ultras qui pourraient leur faciliter la tâche.

    Italiens, Serbes, Grecs et Croates
    Quotidien de la capitale forcément bien renseigné, Il Messaggero cite à ce propos les Croates du groupe Bad Blue Boys, “supporteurs du Dinamo Zagreb et ennemis jurés de l’Étoile rouge de Belgrade”.

    Et puisque, dans les Balkans, la tradition veut que les ultras du foot suivent aussi le basket, le journal romain fait l’hypothèse d’une vengeance lors d’un match de cet autre sport.

    “Le 10 mars aura lieu un match entre l’Étoile rouge de Belgrade et le [club de basket grec du] Panathinaikos, à Athènes, et ces derniers sont jumelés avec les ultras de la Roma.” Une date que les polices serbe, grecque et italienne marqueront donc probablement au stylo rouge dans leur agenda.

    https://www.courrierinternational.c...rait-declencher-une-guerre-d-ultras-en-europe
     
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  15. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  16. setonaikai

    setonaikai A vendre: crampons de 5cm, état usagé.

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  17. Z0live

    Z0live Calme, en avant, droit (Gal l'Hotte)

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    Sortez les masques à Gaz :eek:
     
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  18. niango68

    niango68 Il pue d'la gueule ton plan

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    Millwall FC



    @Millwall_Bushwackers je sais pas si tu l'as vu cette vidéo ou si elle a déjà été postée ?
     
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  19. Z0live

    Z0live Calme, en avant, droit (Gal l'Hotte)

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    @niango68 merci pour le partage, j'ai adoré. Je trouve ce reportage, bien filmé et super bien monté.
     
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  20. Millwall_Bushwackers

    Millwall_Bushwackers Well-Known Member

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    Je viens de regarder pas trop mal par contre le passage sur la Upper Dockers il en fait un petit peu trop quand même. Si il n’avait pas sorti de caméra ils auraient été moins hostile (un peu moins), après comme beaucoup de tribune ils veulent savoir ce que tu fais là. Mais bon ce n’est pas Kaboul hein et comme partout c’est toujours mieux d’y aller avec quelqu’un que tu connais.

    Après il y a beaucoup de monde qui pour leur premier match veulent vivre l’expérience en block 18 et 19 , si tu ne les films pas c’est cool. Ce n’est pas un putin de zoo, il est y est allé du genre “je vais filmé des animaux “
     
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