Philosophie, psychologie et débats associés

Sur la plage je te recommande ce sympathique ouvrage:



Tu ne seras pas emmerdé par les bombasses néerlandaises de 19 ans aux seins altiers qui te passent sous le nez…

 

A moins que ça n'agisse trop sur ses sens...

 

Diogène avait la bonne méthode: tu as faim, tu as soif, tu as la trique: ne perds pas de temps, tu bois, tu bouffes, tu te branles sur le champs et ça passe…

Pourquoi perdre son temps à être frustré, alors que ça éloigne des vraies priorités de la vie ?

Tu vois une jolie femme passer, plutôt que d'y songer pendant des heures, 5 minutes d'onanisme et tu es libéré; succès garanti sur la plage…

 

tu veux une claque

 

il n'y a plus rien à dire, plus de choix à faire, reste que les cendres.....

 

Mais, des cendres, renait le Phénix, non ?

 

je sais pas, je suis fatiguée, mon compagnon aussi

 

ici, c'était mon sanctuaire, l'endroit où j'étais libre d'être enfin moi, d'être enfin celle que j'avais toujours pensé que je pouvais être. J'avais l'impression plus ou moins d'avoir trouvé ma place, d'être en quelque sorte chez moi, moi qui même entourée des miens, de mes enfants, de mon mari qui m'aime, je me sentais étrangère.
Je voulais dire aux chevaliers : Bonobo, dooggy et suix, vous êtes des gentilshommes, vous êtes les meilleurs que le roi puisse espérer. TotOM, mon troubadour, je sais pas pourquoi mais c'est comme ça que je te vois, je t'offrirais bien mon chapeau, cher ami. A mon Rastam, t'as intérêt à avoir eu ton bac mon grand, punaise t'as intérêt, je sais, la grêve, t'as dû être à cran. Ah, ces putains d' enseignants!! OM_GOAL, tu as le temps n'oublie pas on a toujours du temps, 17 ans, putain, profites en !
Je voulais aussi dire aux demoiselles du forum, à celles à qui j'ai dit bonjour, à celles dont on m'a parlé, à celles que j'ai observé, vous êtes des dames, j'aurais aimé avoir la chance de vous rencontrer. Peut être, allez savoir, on sait jamais....
Mori, gnafron, seb, soyez gentils, faites un effort, de temps en temps admettez qu'il a raison, c'est bon pour son coeur. Bon, n'en rajoutez pas non plus, à son âge faire enfler les chevilles par cette chaleur, c'est pas trop bon
Et puis, à toi, à toi, oh mon roi, je n'oublierais jamais, toi oui sûrement, je comprends...
Et ben mon roi, juste un truc, les emportements, les colères, les combats, j'aimerais avoir ton courage.Juste évite la mauvaise foi. Tes enseignements, je les garderais, t'as raison, je vais au gré du vent, mais moi je sais ce que je t'ai dit. Si le pirate m'avait emporté, peut être aurais je fini par le regretter, là je te garderais tout près de moi, tu vois t'as eu tord de me faire confiance, j'en valais pas la peine.Et puis, si une nouvelle fois je m'enfuyais, ce serait une fois de plus, une fois de trop . Mais bon, il est venu me chercher et Phéni a gagné, je sais pas s'il a bien fait, je sais pas si j'ai tord de l'écouter, si c'est lui, si le conte ou les larmes. Mais, tu le sais je ne serais plus vraiment moi, si au moins j'essayais pas une dernière fois. Oui, je sais, tu vas rire de moi, je devais dormir près du chauffage le jour de cette leçon là, en tout cas, faut croire que j'arrive pas à assimiler. Je te dis pas plus, toi aussi tu douterais de ma sincérité.
Je vous embrasse tous, ah irano, je suis avec toi, je penses à toi, courage à toi. Un dernier truc, on sait jamais des fois, les gars sur palestine/israel, modérez vous, pensez à ceux qui souffrent en vrai, pas nous par images interposées. Eux, je suis sûre qu'ils veulent la paix.
Rien, ne vaut la peine de se déchirer.
yapa merci de m'avoir réveiller, merci de m'avoir redonner le gout du livre, merci de m'avoir rendu confiance en moi.
Suix, je ne ferais pas appelle à toi, merci d'avoir proposé. Les gens délicats, tu sais, méritent le respect.

Allez bisous à tous et à tous ceux que j'ai oublié, désolée, c'est pas fait expres, à Koumel, je t'ai oublié mon grand, allez arrête de bouder, souris la vie est belle et embrasse laeti pour moi.
Et mon roi, m'en veux pas, mais toi t'as pas besoin de moi.
A minuit, pfut!

 

ça ressemble a un adieu ... bonne route miss dailo.Et zappe pas ce que je t'ai dit.

 

Grosses bises. Et pis c'est tout ... Le reste, tu l'as.

 

Ca veut dire quoi, cette phrase?

 

Bonne chance. T'as pris la meilleure décision. Grosses bises aux enfants.

T'es quelqu'un de bien, ma fillette.

 

Bon vent à toi dailo, et bonne chance pour la suite c'est dommage que tu nous quittes car j'aimais bien te lire Ceci dit, si l'envie te prend de revenir (tu ne serais pas la première et surement pas la dernière, je suis bien placé pour le savoir) sache que tu seras toujours la bienvenue.


Gros bisous à toi



PS : j'aurai appris ce soir que tu étais une femme

 

dailo, merci pour ces mots délicats adressés à chacun d'entre nous.
mais dis-moi, entre ton mari et nous (nous les gens du forum, je précise hein), choisir ton mari, tu n'es pas sérieuse là?

 

Bonne continuation dailo, et n'hésite pas à repasser de temps en temps c'est toujours un plaisir de te lire

Ca rassure je suis pas le seul :lol:

 

Bon, vous nous avouez que vous êtes homo, c'est ça? C'est Koumel qui va jubiler, le salaud...

 

P'tain! c'est quoi ce délire? Tu m'a même pas cité dans les "guest stars"!

Soit heureuse Dailo, je te le souhaite sincèrement.. Bonne route a toi et crois moi, la vie est belle.. Crois moi Dailo.

 

Ah c'est sûr que si j'avais pas lu ça plus tot... (cherchez pas c'est un private joke) je t'embrasse à bientôt j'en suis sûr...

 

Si, moi aussi. Mais je ne m'emporte pas à juger d'autres sur des rumeurs. De simples rumeurs. Des faits non étayés, du vent.
On a tué, sur des rumeurs. On a poussé au sucide.
Eric, est plus solide que toi. C'est un point sur lequel tu devrais réfléchir. Tu n'aurais jamais tenu aussi longtemps si une simple étudiante t'avait accusé de viol. Quand la police t'aurait interrogé, que tu aurais découvert (à salade) que la parole d'une gamine a plus de poids que la tienne...
Que gagnes-tu à pourrir des gens simplement par ce qu'ils sont politiciens ? Rien, tout juste cela te donnes à causer.
A mais c'est justement ça qui t'interresse . Meubler ta vie . Parce que tu t'ennuies grave, sans ça. Grave...
La solitude te convient ? A d'autres ...
Tu t'emmerdes, elle est là la vérité. Plus rien ne t'interresse, que de causer, d'user les touches de ton clavier.
Que vas-tu faire de ta retraite ? User plus vite des claviers ?
Pas gagné, parce que tes interlocuteurs ne seront pas plus disponibles, eux.
Parce qu'ils ont une vie, eux.
Alors que toi, tu dis n'avoir qu'une vie ... Même pas une vie, juste un palliatif. Une vie par défaut. Pour avoir essayé autre chose, et avoir toujours été déçu, tu te reportes sur celle où tu peux trouver des interlocuteurs sans avoir à les rencontrer directement.

Pas de chance, il y en a un qui est arrivé de nulle part, qui n'est pas comme les autres, et contre qui tu manques d'arguments.
Et qui plus est, vient prétendre que tu n'en auras pas fini à la fin de ta vie, que tu existeras toujours, sous une autre forme. Alors que tu es à la limite d'y mettre fin quelques fois, tellement l'actuelle te gonfle.

Et en plus, il t'explique que ce n'est pas ta première vie, et qu'en plus ça explique ta volonté d'ignorer tout un pan de la connaissance de l'être humain.

Pas de chance.

Tu as bien raison de m'appeller Rabbi. Ce n'est pas ta première vie au cours de laquelle tu m'as appelé Rabbi. Tu ne t'en souviens pas ?
Pourtant, beaucoup s'en souviennent pour toi. C'était dans un pays maudit depuis.
Souviens-toi, à cette époque, il était vert, ce pays. Souviens-toi, ces arbres aux longues branches presque horizontales, à l'ombre desquelles nous discutions, quand le soleil était chaud. Sûr, il n'y avait pas de pastis, à cette époque, et dans ce pays. Pourtant, nous en avons passé du temps à discuter, sous ces arbres.
Et le désert, souviens-toi de ce désert. Ce n'était pas un lieu aride, ce désert. Non, cet endroit désignait la campagne. Quelle était verte, à cette époque, l'herbe dans laquelle nous étions assis, pour y discuter encore, dans ce désert.
Souviens-toi de Pierre. Ce n'était pas un simple pécheur, cet homme là... Non, souviens-toi, ce compagnon, ce frère, avec lequel tu as discuté, passé du temps, échangé...
Ce n'était pas un simple pécheur, mais un patron pécheur. Souviens-toi, cette embarcation, qui était la sienne. Ce n'était pas une simple barque...
Souviens-toi, combien de fois sommes-nous tous montés à bord...
Il y avait même un petit coin où j'avais pu m'isoler pour piquer un roupillon...
Souviens-toi....
Barthelémy... Quel raconteur celui-là... Pas très attaché à l'exactitude des faits, un poête...
Philippes, celui-là s'emportait facilement. Ca l'a tué. Il est mort pendu comme un cochon ...
Toutes ses femmes qui nous accompagnaient, tu t'en souviendras un jour...
Nous étions très loin de n'être que douze, lors de mon dernier repas...
Souviens-toi de Jean, le jeune Jean. Petit, mais persque aussi large que haut...
Matthieu, le percepteur...
Et toi, tu étais déjà un solitaire... Certes, tu étais précédé, et suivis, partout où tu allais, mais solitaire tout de même...
Mort pour un malentendu, à Patras, comme je te l'ai déjà expliqué. Mort Andréas, ainsi qu'on t'appelais en ce pays...
Mort étouffé, après trois jours d'agonie, attaché à deux poteaux croisés, sur la plage, sous les yeux d'une foule nombreuse, car tes exploits t'avaient précédé.

Sûr, je comprends que tu veilles oublier ça.

Non, je n'y étais pas.

Essaye de te souvenir, puisque tu y étais...

C'est quoi un péché ?
Pour moi, c'est manquer la cible. Si onze, c'est manquer la cible, alors compte ma vie actuelle .

Tu n'es pas un esprit libre. Tu es un esprit prisonnier d'un souvenir traumatisant, et par l'ignorance, tu n'en sortiras pas...

 

Harry Member