indice 1 casquette il doit être moche ou furtif ! indice 2 doudoune noir .........un étranger qui a froid ! indice 3 pouvons nous rétablir la peine de mort pour les enfants et les vieux ? OUIIIIIIIII
J'ai dit "pour le peuple allemand", pour le reste je ne pense pas qu'il y ait débat (à part pour Kanye West visiblement).
Nous sommes donc d'accord sur tout .......Kanye West je n'écoute pas de rap ! ..........c'est de la merdasse ! pour mes petites oreilles ...je suis plutot barbra streisand de la qualité quoi "c'est une blague" ferme tes yeux deux minutes et écoute mon ami ............
Tu vois le prix du privilège des vieux conos comme moi c'est d'aimer des trucs comme ça et pas jules ........juste une exception mon Sopra ...............
Pour tenter de dialoguer afin qu'ils mettent un peu de nuance dans leurs idées? Oui bon ça va je troll
Bon revenons à nos moutons ? Trump la paix en 2 jours ou 100 jours ? QUE DALLE NADA ! juste une grande gueule ......ce connard ...il chie dans son froc devant la 3 em guerre mondiale ce baltringue ..., et ses taxes si enfin l'europe a des couil.les c'est lui qui va chialer pauvre naze .
On n'oublie pas : Au petit matin du 11 février 1957, Fernand Iveton est guillotiné, exécuté à la prison Barberousse à Alger, en même temps que les deux autres patriotes algériens Mohamed Ounnouri et Ahmed Lakhnache. "Fernand Iveton est né à Alger le 12 juin 1926. Il a un peu plus de trente ans quand il est guillotiné le 11 février 1957 à la prison de Barberousse d’Alger. Le père, Pascal, enfant recueilli par l’Assistance Publique avait reçu le nom patronymique d’Iveton. Pascal vécut dans un quartier populaire d’Alger, le Clos Salembier (aujourd’hui El Madania). Communiste et syndicaliste, Pascal Iveton fut révoqué sous le régime de Vichy de son emploi à Électricité et Gaz d’Algérie (EG.A.). Fernand, son fils, suivit son exemple en devenant employé de l’usine à gaz d’El-Hamma au Ruisseau. En 1943, il adhère à la section de la Redoute (un quartier proche du Clos Salembier) des jeunesses communistes. Il milite aux côtés d’Henri Maillot et Ahmed Akkache au sein de cette section. Quand L’Union de la Jeunesse Communiste Algérienne est dissoute pour faire place à l’Union de la Jeunesse Démocratique Algérienne qui rassemblera dans ses rangs des jeunes communistes et nationalistes et d’autres patriotes, Fernand Iveton rejoindra le cercle de la redoute de l’UJDA. Il militera également au sein des syndicats d’Algérie affiliés à la CGT de France (Confédération Générale du Travail) puis à l’UGSA (Union Générale des Syndicats Algériens) organisation syndicale algérienne qui demeurera affiliée à la CGT. Il sera désigné par les travailleurs de l’usine à gaz du Hamma comme délégué syndical. En 1953, il épouse Hélène Ksiazek, une Polonaise émigrée en France, qu’il connut lors de l’un de ses séjours en région Parisienne. Son épouse le rejoint et ils s’installeront au Clos Salembier. En juin 1955 il s’intègre dans les groupes armés des Combattants de la Libération au côté de Abdelkader Guerroudj, Félix Collosi, Mohamed Hachelaf, Yahia Briki, Georges Accampora et d’autres camarades communistes. Après l’Accord FLN-PCA les Combattants de la Libération sont intégrés dans l’ALN-FLN, il fera partie du commando du Grand Alger. Après avoir participé à plusieurs actions (sabotages de wagons sur le port, incendie des Bouchonneries Internationales) il sera chargé de placer une bombe à l’usine à gaz du Hamma. Elle est déposée le 14 novembre 1956. Mais tout prouve qu’il a pris toutes ses précautions pour que la bombe ne cause que des dommages matériels. À ce propos Pierre Vidal-Naquet écrit dans sa préface à l’ouvrage de jean Luc-Einaudi « Pour l’exemple. L’affaire Fernand Iveton. Enquête » ce qui suit : « Iveton ne voulait pas d’une explosion-meurtre. Il voulait une explosion témoignage. » Dans son ouvrage « Des douars et des Prisons » Jacqueline Guerroudj qui lui a apporté la bombe fabriquée par Abderahmane Taleb et Daniel Timsit raconte qu’elle était chargée de lui donner deux bombes. Le 25 novembre 1956, onze jours seulement après son arrestation il est passé devant le tribunal. « Dans une atmosphère de pogrom » est-il écrit dans « La guerre d’Algérie » tome 2, page 364 (ouvrage sous la direction d’Henri Alleg). Il est condamné à mort au cours d’une parodie de procès « dans un prétoire où montaient des cris de haine et de mort ». Le ministre français de la Justice de l’époque, François Mitterrand, et le président de la République Française refuseront de le gracier après la demande introduite par ses avocats. Le 11 février 1957 au petit matin il sera guillotiné en même temps que deux autres patriotes algériens. « Fernand Iveton, Mohammed Ouennouri et Ahmed Lakhnèche marchent courageusement au supplice. Les 3 hommes s’embrassent et clament « Vive l’Algérie libre ! » au pied de la guillotine tandis que, de la prison tout entière, s’élève un grand cri de solidarité, de colère, d’espérance. Les détenus politiques pleurent, entonnent des chants patriotiques, ébranlent de leurs poings les portes des cellules. » Dans sa dernière lettre à son avocat Joe Nordmann, Iveton déclare : « Pour moi, seuls la lutte de notre peuple et l’appui désintéressé du peuple Français sont les gages de notre libération. » William sportisse
https://x.com/n_hervieu/status/1889611056839844256?s=46&t=SqWfBllL8WEWs12dMlCAMg On appelle ça une humiliation publique.
Maîtrise du droit bancale, on vote des lois sans savoir ce qu’il y a dedans et puis on finit par enrober ça de gros mensonges pour détourner l’attention. C’est pathétique. Et je parle même pas du premier ministre qui lui aussi s’est fait humilier une deuxième fois par Mediapart hier sur les affaires de viols à Pau. Chopé à mentir devant l’Assemblee Nationale.
Malheureusement c'est le problème rencontré avec 99% des politiques aujourd'hui. 99% des politiques dans 90% des cas, pour faire plaisir à leur auditoir, vont te dire "si j'ai plus de pouvoirs, je ferai une loi pour corriger ce problème", alors que la loi existe déjà mais qu'elle n'est pas appliquée. Puisqu'ils ne maitrisent pas les lois (et là on peut parler des députés mais aussi des sénateurs ou des membres du gouvernement), leur solution à tout ou presque c'est de dire "faisons une nouvelle loi" plutôt que d'essayer d'appliquer ce qui existe déjà. Cela illustre une chose toute simple: plus ça va, plus le niveau global des politiques est en chute libre. On est d'accord ou pas avec leurs idées mais les Mitterrand, Giscard, Chirac, Villepin, Baroin, Dray, Chevènement, etc..., c'était quand même d'un autre niveau et t'avais quand même moins le risque de les entendre dire de telles bêtises. On est passé de ces gens là à du Odoul, Jacobelli, Morano, Ciotti, Pannier-Runacher, Bergé, Faure, Aubry, Delogu, Boyard, Panot... Il faut pas le faire sans se mouiller la nuque.
Entièrement d'accord, mais le pire c'est que cette loi c'est lui et son groupe parlementaire qui en sont à l'origine !