Politique(s)

Et la marmotte......

 

C'était l'idée, oui. Jamais Elise Lucet ira enquêter sur ses collègues.

 

Mais il avait bien compris !
Il est capable de voir toute la machination des franc-maçonnerie reptiliens acontrario des normies comme toi, alors une petite boutade ironique tu pense bien !

 

Qui parle de reptiliens?
T as oublié platistes aussi....

En tout cas c est toi qui t es fait injecter la mixture Pfizer par moi

 

Je sais pas ce qu'on t'a injecté a toi, mais quitte à choisir je reprendrais bien une dose Pfizer !

 

Ouais c'est certain qu'il faut se méfier à fond des bouddhistes, des catholiques et surtout des juifs également.
Non mais c'est d'un comique je vous jure !!

 

Eh bien je demande à voir.
Le futur le dira.

 

Alors, comment se portent nos beaux sociologues de PMU en cette belle semaine ? Toujours focus sur les musulmans, les juifs, les migrants, les chômeurs et les homos ?

 

Il y a aussi une variante lucifériens et franc-maçonnerie

 

D'ailleurs Leon XIV n'est qu un frère infiltré. Tout le monde le sait!

 

Lol…

T’as plus de chance de gagner à Euromillion.

 

Donc selon toi il n'y a que la religion musulmane qui peut générer ce genre de chose.
Et après tu viens nous dire que t'es pas raciste, mais tu discrimine une seule religion comme par hasard. Au moins maintenant je me suis fait mon avis sur toi et je suis persuadé que tu l'es.

 

Non moi mon truc, ce sont plutôt ces fainéants de retraités

 

Infiltré....dans des enfants ?

 

Tous les prêtres ne sont pas que des violeurs d'enfants.
Faut pas pousser.
Certains couchent entre eux et aussi avec certaines bonnes-soeurs.

Logique ce sont des hommes et des femmes comme les autres.

Coupons les ________ à ceux qui violent les pitchouns et donnons leur notre bénédiction pour qu'ils s'envoient en l'air entre adultes consentants.

Nous les cathos, on a du pot, on n' a pas dans nos rangs des tarès qui crient "Dieu est grand" et vont tuer des femmes,des enfants,des hommes.
Pour qui ? Pour quoi ? J'ai l'impression qu'ils ne le savent pas trop bien non plus.
ils voient ça sur leur réseau, un mec lui dit : viens avec nous, on va te montrer le chemin de la lumiere. Tu vas faire de petites courses pour nous. puis tu vas faire un petit barouf dans tel ou tel quartier tu tires 3 ou 4 rafales et demain on verra.

 

https://x.com/gazanotice/status/1925181402582008006?s=46&t=5VQ0-_5cvHLaRzcYF2rHNQ

Le soldat du Hamas qui s’en sert comme bouclier humain était peut être dans son ombre…

 

Depuis que les Frères musulmans ont pris le contrôle des médias, de l’industrie musicale, d’Hollywood,du porno,de big pharma.......il est é-vi-dent — comme l’affirme le fervent catholique Éric Zemmour — qu’ils tirent toutes les ficelles de notre société et veulent dominer le monde ! C'est terrifiant ! Prions afin que l’imam Chalghoumi et Caroline Fourest puissent nous sauver de ce projet du "Grand Ismaël" une conquête délirante qui s’étend du Nil à la Loire, en passant par le Danube et les fontaines de Lisbonne !
@ un twittos

 

Oui enfin bon, on les a eus aussi ces types là. Et on les a encore dans certaines régions du monde. Faut pas l'oublier non plus. L'integrisme catholique est toujours bien vivant même si s'est fait doubler sur sa droite par l'evangelique...

 

Donc toi tu fais un amalgame entre les musulmans et islamistes ?
Tu devrais avoir honte d'autant que les islamistes sont combattus dans pas mal de pays majoritairement musulmans.
Tu trouves que L'Iran par exemple qui est un état islamique est un pays où il fait bon vivre ?
Si tu as l'occasion un jour de discuter avec des réfugiés iraniennes elles t'en parleront de ces gens intolérants.
D'ailleurs si tu avais lu mes posts auparavant j'ai toujours dis qu'une majorité de musulmans en France pratiquaient leur religion avec bienveillance mais hélas un pourcentage non négligeable de musulmans se sert de l'islam dans un but plus politisé c'est ce qui est indiqué dans ce rapport.
Alors tes leçons de morale tu te les garde.

 

Gaza, les femmes et les menstruations. L'holocauste des corps
J'ai saigné pendant dix jours en octobre
sans avoir accès à une vraie salle de bain.
La maison dans laquelle nous nous sommes abris – comme la plupart des refuges à Gaza – n'offrait aucune intimité.
Quarante personnes ont dormi dans deux chambres. La salle de bains n'avait pas de porte, seulement un rideau déchiré.
Je me souviens avoir attendu que tout le monde s'endorme pour que je puisse me laver avec une bouteille d'eau et des morceaux de tissu Je me souviens avoir prié pour ne pas tacher le matelas que j'ai partagé avec trois cousins.
Je me souviens de la honte – non pas de mon corps, mais de ne pas pouvoir en prendre soin.
En guerre le corps perd ses droits.
surtout le corps féminin.
Les gros titres parlent rarement de ça, de ce que signifie pour une fille d'avoir ses règles sous les bombardements, des mères forcées de saigner en silence et d'avorter sur les sols froids ou d'accoucher sous les drones La guerre à Gaza n'est pas seulement une histoire de décombres et de frappes aériennes. C'est une histoire de corps interrompus, envahis et refusés de repos. Et pourtant, d'une certaine façon, ces corps existent toujours.
En tant que femme palestinienne et étudiante déplacée vivant maintenant en Égypte, je porte avec moi cette mémoire caporale. Pas comme une métaphore, mais comme un fait. Mon corps tremble encore par les bruits forts. Ma digestion est nulle. Mon sommeil est brisé. Je connais beaucoup de femmes – amies, parents, voisins – qui ont développé des maladies chroniques pendant la guerre, qui ont perdu leurs menstruations pendant des mois, dont les seins se sont desséchés en essayant d'allaiter dans des refuges. La guerre entre dans le corps comme une maladie et reste.
Le corps de Gaza est une carte des perturbations.
Apprenez vite à vous battre, à prendre moins de place, à rester vigilant, à supprimer le désir, la faim, les saignements. La nature publique du déplacement détruit la vie privée, tandis que la peur constante aggrave le système nerveux. Les femmes qui chérissaient autrefois leur chasteté changent maintenant de vêtements devant des inconnus. Les filles arrêtez de parler de leurs règles. La dignité devient un fardeau que personne ne peut se permettre.
C'est le paradoxe de la survie : le même corps qui se voit refuser la sécurité devient l'instrument de résistance. Les femmes font bouillir des lentilles à la chandelle, calmer les enfants dans la cave, bercer les morts. Ces actes ne sont pas passifs, ils sont radicaux. Avoir des règles, porter, nourrir, apaiser – au milieu de la destruction – signifie insister sur la vie.
Je reviens encore et encore à l'image de ma mère pendant la guerre. Dos courbés sur un pot, mains tremblantes, yeux grattant le plafond à chaque bruit. Il ne voulait pas manger avant que tout le monde le fasse. Il ne voulait pas dormir jusqu'à ce que les enfants le fassent. Son corps portait en même temps l'architecture de la guerre et de la maternité. Maintenant, je réalise à quel point sa fatigue était politique - comment son travail, comme celui de tant de femmes palestiniennes, a défié la logique de l'annihilation.
Il n'y a pas de tente à Gaza.
Aucun espace sûr où le corps féminin peut se déployer sans peur. La guerre nous dépouille – non seulement de nos maisons et de nos possessions, mais aussi des rituels qui nous rendent humains : laver, avoir des règles, traiter le deuil en privé.
Mais même sans abri, nos corps perdurent. Est-ce qu'ils se souviennent ? Ils s'accrochent.
Et peut-être, dans leur tremblante persévérance,
Ils écrivent l'histoire la plus vraie de toutes.
Mariam Khateeb - 19 mai 2025