Par rapport au drame qui se produit à Gaza je trouve ça absolument pas sérieux. Après chacun voit midi à sa porte.
Mais à aucun moment je cherche à détourner l'attention. Et d'ailleurs auprès de qui ici je souhaiterais le faire ? Je me moque tout simplement d'elle et de personne d'autre parce qu'il y a de quoi.
Bien entendu je suis contre les menaces contre qui que ce soit mais Rima Hassan est une personne clivante au sein d'un parti qui invective sans cesse à la moindre occasion donc forcément elle s'expose à ce genre d'attaques et quelque part elle cherche les ennuis. Sa virée près des côtes de pays en guerre en est la preuve, l'accostage et l'arrestation des personnes se trouvant dans ce bateau était plus que prévisible et pire ils étaient prévenus.
Pour l'instant, on sait qu'elle a reçu une bouteille d'eau et un sandwich. Et elle veut plus rentrer. Cette fille est payée 8 400 euros par le contribuable pour faire son Instagrameuse, c'est quand même incroyable.
Surtout quand on sait qui a organisé et financé ce petit périple et qui se trouvait à bord du voilier.
Le raisonnement que tu as sur Rima Hassan est exactement celui qui consiste à expliquer tout crime par l'attitude de la victime.
https://x.com/frbluemoon/status/1932354669235380463?s=46&t=SqWfBllL8WEWs12dMlCAMg Le MESSAGE POIGNANT DE Pep Guardiola sur Gaza/Palestine : "Ce que nous voyons à Gaza est tellement douloureux. Ça me fait mal dans tout le corps. Soyons clairs : ce n'est pas une question d'idéologie, de j'ai raison et tu as tort. Allons, c'est juste une question d'amour de la vie, du souci du prochain. Peut-être voyons-nous des garçons et des filles de quatre ans se faire tuer par une bombe ou à l'hôpital, qui n'est plus un hôpital, et pensons-nous que ce n'est pas notre affaire. Oui, d'accord. On peut le penser. Mais attention. Le prochain sera le nôtre. Les prochains enfants de quatre ou cinq ans seront les nôtres. Je vois mes enfants Maria, Marius et Valentina tous les matins depuis le début du cauchemar à Gaza. Et j'ai tellement peur. Peut-être que cette image nous paraît bien loin de là où nous vivons, et vous pourriez vous demander ce que nous pouvons faire. Il y a une histoire à quoi je pense : c’est une forêt qui est en feu. Tous les animaux vivent terrifiés, impuissants. Mais un petit oiseau vole en tous sens vers la mer, emportant des gouttes d'eau dans son petit bec. Un serpent rit et demande : « Pourquoi ? Tu n'éteindras jamais le feu. » L'oiseau répond : « Oui, je sais. » « Alors pourquoi recommencer encore et encore ? », demande le serpent. « Je fais juste ma part », répond l'oiseau. L'oiseau sait qu'il n'arrêtera pas le feu, mais il refuse de rien faire. Dans un monde qui nous dit souvent que nous sommes trop petits pour faire la différence, cette histoire me rappelle que le pouvoir d'un seul n'est pas une question d'échelle, mais de choix, de présence, de refus de se taire ou de rester immobile quand cela compte le plus." [via @SuppressedNws / @DailyMail]
Il ne faut surtout pas que les Gazaouis dépasse le seuil de 2279 calories maximum décidé par le gouvernement Israélien https://x.com/clementrenard_/status/1714592056331427848
Et je ne te dis pas que c'est ce que tu cherches à faire, je te dis juste que c'est ce qui se passe quand tu fais ça !
Jusqu'à preuve du contraire il n'y a eu ni crimes ni délits à son encontre donc arrêtons le psychodrame. Contrairement à ce pauvre Sansal qui gît toujours dans les prisons algériennes elle ne risque rien. Il font quoi le président et notre ministre des affaires étrangères ? Ce n'est pas parce que je ne peux pas encadrer Rima Hassan que je lui souhaite du mal.
Autant je suis pas fan, mais dire ça n'est pas vraie. Elle refuse de signer un papier ou elle reconnaît avoir violée les eaux territoriales Israéliennes. Et dans le cas précis elle a raison.
Lui est juif, israélien et français, elle est arabe, palestinienne et française — deux citoyens d’une même nation, et pourtant, tout les oppose. Lui semble porter le masque du bourreau, elle incarne la lumière de la justice. Tandis que l’un applaudit les crimes commis contre des enfants, l’autre les dénonce avec courage et humanité. L’un déshonore la France de Jean Moulin, celle de la Résistance et de l’honneur, quand l’autre en ravive l’éclat, fidèle à l’idéal des droits de l’homme. Ces deux Français d’adoption témoignent, chacun à leur manière, de ce que la France absorbe des cultures qui l’habitent : l’un y projette une vision inhumaine et suprémaciste, l’autre une exigence morale et égalitaire. Et entre ces deux visages de la République, l’un rappelle la France de Pétain, soumise et sombre, l’autre incarne la France de De Gaulle, libre, debout, et fraternelle. Tous deux s’affrontent sur le sol de la France, mais l’issue du combat ne fait guère de doute : Rima triomphera. Car si les huées d’une partie du public tentent de couvrir sa voix, elle évolue sur un terrain qui lui est favorable — celui de la France des Lumières, de la justice, et des droits de l’homme. Et sur cette terre-là, seuls ceux qui portent le droit et la dignité comme étendard peuvent, en vérité, l’emporter.