Non elle n est pas une science et ce, même si on essaye de la modéliser mathématiquement. Sciences economiques,économetrie... Niveau micro, on part du principe que le consommateur est rationnel, toutes choses égales par ailleurs, mais cette hypothèse ne tient pas puisque chaque consommateur a sa propre rationalité. Niveau macro, les politiques économiques ne peuvent pas s appliquer dans chaque pays avec le même résultat escompté. En ce sens , elle est au mieux un dogme mais pas une science.
Il paraîtrait que l'histoire est enseignée (en particulier certains chapitres) pour ne pas renouveler les erreurs du passé : http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20...i-reactions-amnesty?google_editors_picks=true
Les pays lointains passent leur temps à faire les erreurs que nous avons faites, et quand nous voulons les en empêcher, ils nous reprochent de vouloir les empêcher d'accéder au même développement que nous.
probablement un des élèments qui m'énerve le plus dans le fonctionnement de l'ue : Cinq preuves que la Hongrie jette l’argent de l’Europe par les fenêtres De projets farfelus en chantiers inachevés, Budapest dilapide les fonds généreusement alloués par Bruxelles qui s’inquiète à raison d’une utilisation douteuse voire frauduleuse.
- force commune d'intervention européen d'ici 2020 (il me semblait qu'existait déjà un contingent européen) - budget européen de la défense - académie formation/échange entre les différents services de renseignements européens - parquet terroriste européen - protection civile européenne - office européen de l'asile - programme européen d'aide à l'intégration des réfugiés - garde-frontières européens - taxe sur transactions financières pour financer l'aide au développement - rapprochement des impots sur les sociétés au niveau européen (adhésion au système serait nécessaire pour percevoir des fonds structurels) - salaire minimum européen - taxe européenne sur les importations de produits d'industrie polluante (?!) - agence européenne de recherche numérique - ministre européen de la zone euro - 1/2 des députés européens élus sur des liste transnationales très ambitieux, c'est bien, mais c'est solitaire. Ca me donne l'impression que macron veut se donner le beau rôle pour préparer l'échec au lieu de se bâtir une majorité au conseil européen.
Autant je suis d'accord avec lui sur certains sujets, autant j’espère qu'au niveau européen il va se planter. Comme j'espere que le CETA va s'arrêter rapidement. Comme je suis contre le rapprochement entre Alstom et Siemens qui se soldera très probablement à l'avenir par une prise de contrôle de l'Allemand. Ces champions de l'Européisme sont encore en train de démanteler les entreprises Françaises. Ca me dégouté
Imagine que ce rapprochement n'ait pas lieu, et que ce soit les Chinois qui prennent l'essentiel des marchés...
Pour quelle raison une entreprise Française avec la capacité d'innovation qu'il y a dans ce pays ne pourrait pas concurrencer une entreprise chinoise? Et de quels marché parles tu? A l'international, beaucoup de marché sont donnés en fonction de raisons politiques, de relations entre les pays etc...
Mais les lois ont changé. L'entreprise française, si elle est trop chère, peut se faire bouffer le marcher par une entreprise chinoise. N'oublie pas qu'une entreprise canadienne (Bombardier) a déjà placé des trains sur notre territoire. Et il ne faut pas oublier que la France a vendu le savoir faire des tgv aux chinois il y a quelques années.
C'est bien beau de dire les entreprises "françaises" mais avec la globalisation financière, le capital de ces entreprises françaises appartient à qui ?
dans le même thème : 50% pour les entreprises et l'état français 50% fincantieri + un prêt accordé par l'état à fincantieri de douze ans correspondant à 1% du capital Le montage subtil de l’Elysée pour céder le contrôle des chantiers STX à Fincantieri "L’accord sur ce prêt décisif de 1 %, établi sur douze ans, prévoit des rendez-vous réguliers entre Français et Italiens au cours de cette période. A chaque fois, les deux partenaires examineront l’état de leur entreprise commune, et le respect des engagements pris de part et d’autre. Si les promesses n’ont pas été tenues, la France pourra récupérer le précieux 1 %, et retirer à Fincantieri son rôle prédominant. Mieux : en cas de vraies difficultés, les Italiens devraient revendre leurs 50 % aux Français, qui redeviendraient alors seuls maîtres à bord, comme aujourd’hui." effectivement très subtil mais assez juste et intelligent je trouve.
Le capital d'Alstom était encore Français justement, nous avons perdu beaucoup d'entreprises et ca continue. STX en est encore un exemple.
dans le même temps quand une FMN française mange une société étrangère personne ne le relève tellement ça semble banal. Que l'inverse se produise et c'est "LA nouvelle démonstration du déclin pluridécennal français face à la mondialisation mon dieu passez moi une corde tout de suite". Ce qui me semble être en cause c'est d'une part le manque de protectionnisme au niveau européen (pour se protéger des attaques hors-ue, mais on sort des cas stx et alstom) et de l'autre le phénomène de regroupement entre grosses sociétés à l’œuvre depuis qq années et qui risque de nuire à la mise en concurrence en réduisant les acteurs et par conséquent en facilitant les ententes.
De plus, il ne faut pas oublier que les consommateurs français préférant statistiquement les produits étrangers (déficit de la balance économique), la France nécessairement s'appauvrit, en conséquence de quoi elle peut difficilement prétendre n'avoir pas besoin des capitaux étrangers pour continuer à produire.
Le fait qu'une entreprise française se fasse racheter / absorber par un groupe étranger n'est pas une fatalité, c'est un choix. Le choix de "grands" dirigeants et actionnaires qui jettent des années de développement technologique réalisés par les ouvriers, techniciens et ingénieurs pour leurs profits à court-terme ; le choix de l’État de laisser faire l'abandon de brevets et innovations technologiques... Et c'est le choix de l’État d'avoir réduit ses participations dans des groupes industriels qui ont été autrefois financés par le contribuable!!! Le protectionnisme européen... on voit ça avec le CETA ou avec le marché chinois. Il n'y a pas d'autre politique européenne que cette politique ultralibérale que ce monstre qu'est l'UE tente d'imposer à la France!!! https://www.marianne.net/economie/alstom-stx-france-ton-industrie-fout-le-camp https://www.marianne.net/debattons/...s-de-macron-sur-l-autel-de-l-union-europeenne
Aujourd'hui, ils parlent carrément de DCNS et Fincantieri pour créer un Airbus naval. C'est de pire en pire.
C'est probablement parce que je pense en priorité aux intérêts des entreprises françaises et de la France. Normalement tous les gouvernements de tous les pays devraient défendre leurs intérêts. Mais dans le même temps il ne reste plus tant que ça d'entreprises réellement française. Les capitaux comme le disait garrincha sont de plus en plus à l'étranger. Et le mouvement s'intensifie. Pour la baisse de la mise en concurrence on est d'accord, c'est de plus en plus dangereux pour le marché avec des entreprises en quasi monopole sur certains marchés. On a aussi le cas d'entreprise de pays qui défendent les intérêts de leurs entreprises qui sont de plus en plus puissantes dans le monde. Et ce ne sont pas des entreprises françaises.
Les eurodéputés approuvent la création d’un Parquet européen antifraude Cette instance, compétente notamment pour lutter contre la fraude à la TVA, concernera vingt Etats dans un premier temps, dont la France. Les députés européens de vingt pays de l’Union européenne (UE) ont adopté, jeudi 5 octobre, un texte entérinant la création d’un Parquet européen spécialisé dans la lutte contre les fraudes à la TVA et aux subventions européennes d’ici à 2020. « Les criminels ignorent les frontières et il est grand temps de les stopper en dotant les procureurs des outils qui leur manquent pour agir de manière transfrontalière », ont souligné les commissaires européens chargés de la justice et du budget, Vera Jourova et Günther Oettinger. Mais cette instance indépendante de lutte contre la fraude ne sera compétente que dans 20 Etats membres, qui ont accepté de participer à une « coopération renforcée ». L’expression désigne une procédure permettant à un groupe d’Etats de l’UE d’adopter des décisions qui ne s’appliqueront qu’à eux, afin de surmonter les oppositions de certains pays ; d’autres Etats peuvent ensuite les rejoindre. En l’occurrence, des pays comme les Pays-Bas, la Suède ou encore la Hongrie bloquaient toute avancée de ce projet de parquet européen antifraude, prévu dans les traités depuis 2009 et en négociation depuis 2013. La France figure parmi les Etats qui ont adopté le texte, ainsi que l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, le Portugal, la Belgique, le Luxembourg, l’Autriche, la Grèce, Chypre, la Bulgarie, la Roumanie, la Croatie, la République tchèque, la Slovaquie, la Finlande, la Slovénie et les trois Etats baltes. 50 milliards d’euros de fraude par an Le Parquet européen sera doté d’un bureau central à Luxembourg, où seront réunis des procureurs européens – un par Etat membre participant –, ainsi que de « procureurs européens délégués » dans les Etats membres. En revanche, le projet ne prévoit pas la création de tribunaux pénaux européens : lorsque les magistrats européens auront achevé leurs investigations, ils devront renvoyer les suspects devant des juridictions nationales. L’instance visera particulièrement les fraudes aux fonds structurels européens, mais aura aussi compétence pour traquer les fraudes à la TVA transfrontalières, dès lors que leur montant dépassera 10 millions d’euros. Selon la Commission européenne, ce sont au moins 50 milliards d’euros de revenus de la TVA qui échappent chaque année aux pouvoirs publics en Europe du fait de ce type de fraudes. Une « première étape » Le vote de jeudi « est une première étape », s’est félicitée l’élue française Rachida Dati, ancienne magistrate et ex-ministre de la justice en France. Les Etats qui ont choisi, pour l’instant, de rester en dehors du dispositif « seront convaincus par son efficacité. D’ailleurs, ce Parquet européen a vocation à voir ses compétences élargies à la lutte contre le terrorisme et la criminalité organisée », a-t-elle précisé. L’idée de telles compétences élargies avait été évoquée le mois dernier par le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, puis par le président français, Emmanuel Macron, dans son discours sur l’avenir de l’Europe à la Sorbonne. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/europe/articl...ifraude_5196673_3214.html#YpHGfzZlELXtFBsS.99