3175 euros d'amende?! Il devait avoir des antécédents à ce niveau. Pour le stage de sensibilisation, la prise de sang a du indiquer un bon taux. Parce que j'ai eu des potes qui ont été pris, même en étant fumeur régulier, ils n'ont pas eu tout ça. Deux jours avant, je suis sceptique aussi, 12 heures après j'ai vu un test être négatif.
Et pourtant il a bien pris 3 175 euros d amende ! Il s est fait choper en plein apres midi sur une departementale peu fréquentée, d'après lui toutes les voitures étaient contrôlées (?) Pas d autres antécédents à ce sujet, mais il ne lui restait que 9 points sur son permis au moment des faits (exces de vitesse genre 1 an avant). Je ne sais pas, par contre, quel taux il avait, c est un mec qui fume uniquement les week end en soirée. En l occurrence c était un lundi après midi et il avait fumé le samedi soir. Après la corpulence doit jouer aussi, il est mince, du style 60/65kg pour 1.80m. Les tests salivaires sont loin d être fiables, tu peux être négatif et positif aux tests sanguin et/ou urinaire. Tes potes ont eu plus de chance, c était où?
Départemental et centre d'une petite ville. La hauteur de l'amende, ton pote te dit pas tout à mon avis. Même un pote avec des pieds chez lui, il a pas pris le 10eme en amende.
Je ne vois pas l intérêt qu' il a de mentir à ce sujet mais je vais re-verifier avec lui. La culture, si c'est juste 2/3 pieds pour la conso perso doit être moins grave que la conduite sous influence.
Si tu fumes tes 3 pieds sur l'année, ça te fait une consommation hebdomadaire, donc une conduite sous emprise continue. Puis bon, tu fais rarement qu'une session dans l'année, donc il y a un peu de revente forcément etc. Tout pour te mettre une belle amende en fait.
Le nouveau président du Liberia, George Weah, a prêté serment «Unis, nous sommes certains de réussir en tant que nation. Divisés, nous sommes certains d'échouer», a prévenu George Weah lundi, lors de la passation de pouvoirs avec Ellen Johnson Sirleaf. Weah entouré de sa femme, Clar (à droite) et de la présidente à laquelle il succède, Ellen Johnson Sirleaf (à gauche), lundi, à Monrovia. (Thierry Gouegnon/Reuters) Élu président du Liberia avec 61,5% des voix le 26 décembre, George Weah (51 ans) a prêté serment lundi, 15 ans après la fin de sa carrière et de la guerre civile. Acclamé par près de 35 000 personnes au stade Samuel Kanyon Doe, l'enfant des bindonvilles de Monrovia, seul Africain à avoir remporté le Ballon d'Or en 1995, a déclaré éprouver un sentiment «incomparable». Mon Weah à moi, par Frédérique Galametz : «God bless you, George» «Unis, nous sommes certains de réussir en tant que nation. Divisés, nous sommes certains d'échouer», a-t-il prévenu en référence notamment à la guerre civile ayant fait quelque 250 000 morts entre 1989 et 2003, déclenchée par la rébellion de l'ancien chef de guerre et président Charles Taylor (1997-2003). Weah succède à Ellen Johnson Sirleaf (79 ans), la première femme élue chef d'État en Afrique en 2005.
Venezuela, le pays qui laisse mourir de faim ses enfants Son sous-sol regorge d’or noir mais le chaos économique a tout fait disparaître. Jusqu’au lait pour les nourrissons ! Notre journaliste, de mère vénézuélienne, raconte l’enfer de Caracas « La priorité est de ne pas mourir. Mais j’ai perdu toute dignité. » La détérioration de la situation a fini par vaincre la capacité de résistance de Mauricio*, son humour et ses espoirs. Professeur d’université, il gagnait l’équivalent de 1 200 euros par mois au début de sa carrière, quand Chavez prenait le pouvoir. Dix-huit ans plus tard et un doctorat en poche, son salaire est tombé à 4 euros, le prix d’un marché hebdomadaire, mais sans viande, pour une famille avec deux enfants. Comment survit-il les trois autres semaines ? Grâce à sa manne pétrolière, le Venezuela est un des pays les plus riches du monde, mais 80 % de la population manque de tout. La classe moyenne, habituée à l’abondance et au confort, a basculé en deux ans dans la pauvreté. « J’ai préféré envoyer mes filles vivre à l’étranger chez un parent. Le soir, elles avaient faim. Même en plein jour, elles vivaient enfermées à cause de l’insécurité. C’est un déchirement », me confie-t-il au téléphone. Hier, une adolescente d’à peine 13 ans l’a interpellé : « Donne-moi à manger et je te fais ce que tu veux. » Il lui a donné une banane et lui a dit de ne plus jamais recommencer. Il sait que son conseil est vain. Le FMI estime l’hyperinflation actuelle à 2 300 %. A 12 h 20, une boisson coûte 47 690 bolivars. A 13 h 05, 58 500 bolivars, 23 % en quarante-cinq minutes. Evidemment, les salaires n’augmentent pas aussi vite. Avec un salaire minimum mensuel d’environ 1 euro, aujourd’hui, on peut acheter 24 œufs… quand on les trouve ! Car les étals des supermarchés sont vides. Même l’essence manque. Le comble pour un pays assis sur les plus grandes réserves pétrolières de la planète. Dans cinq régions, à Noël, il fallait deux ou trois jours de queue pour faire le plein. C’est surtout l’effondrement de la production qui témoigne du délabrement national La révolution bolivarienne a imposé le contrôle des changes et le contrôle des prix, après avoir démantelé l’appareil productif du pays : expropriations, mise au pas du secteur privé, dorénavant placé majoritairement entre les mains de militaires. Il n’y a plus aucun investissement. Et la corruption, à tous les échelons, aurait fait disparaître 700 milliards d’euros des caisses de l’Etat. Le Venezuela a vu son PIB réduit de 35 % en cinq ans. On accuse la chute du prix du baril, mais c’est surtout l’effondrement de la production qui témoigne du délabrement national : elle était de 2,9 millions de barils par jour à l’arrivée de Maduro au pouvoir, elle est à présent de 1,8 million de barils par jour, soit une chute vertigineuse de 38 %. En 2003, les ingénieurs de PDVSA (l’entreprise nationale d’exploitation pétrolière) ont été renvoyés, suite à une grève historique de trois mois. L’opinion politique compte plus que la qualification. Tout fonctionnaire favorable à l’opposition perd son poste. « Désormais, on doit apprendre à vivre avec rien. On est passé à l’économie du troc. Au moins, on est plus solidaires qu’avant », dit Patricio*, célèbre neurologue. Les médecins de son hôpital se sont cotisés pour offrir un repas de Noël aux aides-soignants. Certains ont avoué qu’ils n’avaient pas mangé de viande depuis quatre mois. Les Vénézuéliens ont perdu, en moyenne, 8 kilos en un an. Ceux qui possèdent le « carnet de la patria » (« carte de la patrie »), et qui ont donc adhéré aux valeurs de la révolution, reçoivent une fois par mois du Clap (comité local d’approvisionnement et de production) un sac contenant des produits de base. Aux élections municipales de décembre dernier, après avoir « bien » voté, l’électeur voyait son « carnet de la patria » coché et pouvait espérer voir se réaliser la promesse de Maduro. « Un jambon par famille ! Finalement, le Clap nous a indiqué qu’il n’y aurait que 20 jambons distribués par rue, alors qu’il y a 100 familles par rue ! » Des révoltes et des pillages ont éclaté, tous lourdement réprimés. « Où est passé le jambon ? C’est la faute d’un pays : le Portugal ! » a déclaré Maduro, toujours enclin à trouver des boucs émissaires. Mais, pour calmer les mécontents, il a vite émis un « bon des rois mages » et augmenté de quelques centimes d’euro le salaire minimum. Par peur de débordements à la frontière, la Colombie a finalement livré 50 tonnes de jambons, même si Maduro refuse toute aide humanitaire.
Depuis 2014, l’Etat ne communique plus aucune statistique. Lorsque Antonieta Caporale, la ministre de la Santé, a reconnu une augmentation de respectivement 30 % et 65 % des mortalités infantile et maternelle, elle a aussitôt été démise de ses fonctions. Pourtant, selon les spécialistes, ces chiffres sont curieusement bas, et sans doute trafiqués. Depuis, la fédération des médecins vénézuéliens a déclaré Maduro « coupable d’holocauste sur son propre pays ». « La moitié des enfants atteints d’un cancer sont morts avant Noël, à cause du manque de médicaments. Nos hôpitaux sont devenus des mouroirs », confie un pédiatre qui prend le risque de témoigner. L’hôpital des enfants de Caracas était, dans les années 1980, bien plus moderne que celui des Enfants malades à Paris (hôpital Necker). Aujourd’hui, le médecin n’y dispose plus que de vaccins d’origine cubaine. « Ils sont peut-être douteux mais, au moins, ils ne sont pas périmés. » Quatre-vingts-dix pour cent des médicaments manquent dans le pays. La moindre maladie chronique est une condamnation à mort, sauf si un parent exilé arrive à envoyer le bon traitement. Reste le marché noir : « J’ai mis quinze jours pour trouver des antibiotiques qui m’ont coûté deux mois de salaire », explique Mauricio. Personne ne peut se faire soigner ou opérer sans fournir médicaments, compresses, coton, aiguilles, draps. A l’hôpital universitaire, un des plus importants du pays, le matériel de radiologie est en panne depuis deux ans. Impossible de le réparer sans importer des pièces de rechange. Mais l’Etat ne finance plus ses hôpitaux. « L’hôpital fonctionne à 20 % de ses capacités par manque de matériel et de médicaments », confirme Patricio, qui constate, impuissant, que des maladies autrefois éradiquées refont surface : 1 million de cas de malaria ont été répertoriés en 2017. Pour Noël, elle vend ses cheveux et achète de la viande à son fils Caracas est devenue la ville la plus dangereuse du monde. Un Vénézuélien y meurt d’homicide toutes les dix-neuf minutes. Les Caraqueños se sont habitués aux enlèvements, agressions et braquages. Les mieux lotis ont des voitures blindées, mais sortent rarement de leurs quartiers. Les autres prennent les transports en commun et doivent obéir à la loi de la jungle : « Les voleurs ont arrêté le bus, raconte Ana*, professeur d’économie. Ils étaient une dizaine, armés de plusieurs pistolets chacun. J’avais mon garçon de 5 ans avec moi. Ils ont pointé un pistolet sur sa tempe pour que je leur donne mon sac. Evidemment, c’était le dernier vendredi du mois, jour de paie. J’allais chez le pédiatre car je pouvais enfin acheter de la Ventoline pour son asthme. Un jeune courageux a protesté. Il a reçu une balle dans la jambe. Les voleurs nous ont tout pris. Puis ils sont partis avec le magot, protégés par les paramilitaires. Il était 16 heures, en plein centre-ville. » Ana ne s’est jamais remise de cette agression. « Quand tu sors de chez toi, tu ne sais pas si tu vas revenir vivant. » Elle a vendu ses longs cheveux pour pouvoir offrir de la viande à son fils le soir de Noël. Après 18 heures, les rues de la capitale sont vides ; mais, même chez eux, les habitants ont peur. Ils cadenassent les congélateurs, enterrent les boîtes de conserve. Même le sucre et le café, dont le Venezuela est un pays producteur, valent de l’or. Les descentes de police sont fréquentes, effrayantes. « Ils peuvent vous dévaliser, en embarquant même le papier toilette, ou vous arrêter arbitrairement », relate une voisine qui a subi ce genre de visite nocturne. La loi contre la haine, pour la cohabitation et la tolérance, approuvée en novembre dernier, n’a fait que légitimer un phénomène déjà bien établi avec, en quatre ans, 12 000 détenus politiques, dont des enfants. « Maintenant, on s’autocensure, même en famille », me confie Mauricio. « Je sais qu’il y a des cas de torture, mais on n’en parle pas. Sinon, ça pourrait nous arriver à nous aussi. »
Alors que l’école primaire est gratuite et obligatoire depuis 1870, la moitié des enfants ne sont plus scolarisés. Une génération perdue, dont la principale occupation est de faire la queue. « De toute manière, l’école est devenue trop dangereuse, justifie une mère. Ma fille a vu son professeur mourir sous ses yeux. Il s’est fait descendre pour un téléphone portable. » Au mieux, les gamins se font racketter dans la cour de récréation. Comment faire classe quand les enfants s’évanouissent de faim ? Il y a de moins en moins de cours assurés. Le vendredi, l’école est fermée pour économiser l’électricité. Les autres jours, les maîtres se relaient, difficilement. Ils doivent également faire la queue et finissent parfois aussi par prendre le chemin de l’exil. La faim est une manière de nous contrôler politiquement Cent cinquante professeurs ont quitté l’université Simon-Bolivar en décembre. « Dans ma clinique, il y a 200 postes de médecins et d’infirmiers à pourvoir. A l’université de médecine de Santiago du Chili, sur les 4 000 étudiants à se présenter, 3 500 étaient vénézuéliens. Et ils sont arrivés en tête de la promotion. Nous sommes très bien formés ici. » Il n’y a pas que les diplômés qui partent. Ceux qui sont las de fouiller les poubelles et de n’avoir que la violence pour avenir font plusieurs jours de camion et de bus pour atteindre la Colombie, l’Equateur, le Chili. Les plus téméraires prennent des bateaux de -fortune pour rejoindre l’île de Curaçao, rattachée aux Pays-Bas. Cette semaine, quatre personnes sont mortes, et vingt ont disparu en tentant de traverser la mer des Caraïbes. Le Venezuela est passé en quelques années d’un pays d’immigration à un pays d’émigration massive perdant un dixième de sa population. Alors que la capitale était connue pour ses périphériques saturés aux heures de pointe, « il n’y a plus d’embouteillages à Caracas », me raconte Patricio. Bientôt, la révolution bolivarienne n’aura plus de peuple. « Obtenir par les armes ce que nous n’avons pas obtenu par le vote », déclarait Maduro au lendemain des manifestations massives de l’été 2017. La famine et les pénuries se révèlent finalement plus -efficaces. « La faim est une manière de nous contrôler politiquement », explique Luis*. Sera-t-elle aussi le secret de la longévité de Maduro ? 2018 devrait être une année d’élection présidentielle, à laquelle les principales forces d’opposition n’ont pas le droit de participer.
On en entendait parlé pendant les émeutes, mais maintenant plus rien. Le pays meurt en silence. Bien flippant.
SINON JE VOULAIS JUSTE DIRE QUE CE SOIR A BFM PASSE UNE SUPERBE EMISSION POUR MON EX CANDIDAT PRÉFÉRÉ A LA PRESIDENTIELLE..... A 22H40 UNE DOCU EXCEPTIONNEL DE 52 MN OU L ON VOIT NOS AMIS COPE - ROBERT BOURGI - ET TOUTE UNE ENOOOOORME CLIQUE D ESCROC J ESPERE DANS UN COIN DE MA TETE, BALKANY EN GUEST. CONSEIL:MANGER LEGER CE SOIR GENRE CHOUX FLEUR - HARICOT VAPEUR - DES ASPERGES EN ENTREE ET UNE SALADE DE FRUITS AU DESSERT, HISTOIRE DE PAS TROP SOUFFRIR EN DEGUEULANT APRES LE REPORTAGE. «Qui a tué François Fillon ?» REMEMBER
Beaucoup de bruit pour rien, un résumé de ce qu'on savait déjà. A part pour moi que c'est Spoileur bourgi lui même qui [ balancé l'info des costards aux journalistes. Info mineure dans cette histoire par ailleurs./SPOILER] Et dire qu'a l'époque je trouvais que fillon était un pauvre mec honnête qui s'était fait casser le vase de soissons par coppé.
ouais ça va, ça se regarde, beaucoup de tapage autour de ce reportage, pour au fond, pas grand chose, j'ai rien appris que je ne savais pas. Je pleure pas pour fion, il s'est lâche d'une manne pour en récupérer une autre encore plus juteuse, c'te escroc, il panse ses plaies en pratiquant la chasse à cour en écosse...
Le truc que tu n'apprendras pas, c'est qui balance l'info au canard à la base. A priori, ça viendrait de droite... mais bon, on sait toujours pas. Après pas la peine d'être haineux, c'était pas joli à voir mais la démocratie a fait le job. La bonne nouvelle, c'est qu'il y a quelques années, ça n'aurait pas été une affaire. Aujourd'hui, ce genre de trucs, ça passe plus. On commence enfin à s'aligner doucement sur les standards d'autres pays plus vertueux.