Manif des chasseurs il y a qq années : "Voynet, fume tes pétards, laisse nos canards...." Maintenant c est "sort ton petard, il y a trop de connards". Belle évolution...
Président pour l'éternité ! https://www.huffingtonpost.fr/2018/...nom-au-groland-mais-pas-seulement_a_23399254/
Ta réponse là, c'est une esquive de boxeur en fin de carrière... Tu valides ses méthodes de corrompu. C'est tout ce que je retiens de ta phrase de base, tu cautionnes et soutiens ce genre d'individu.
Y'a rien à esquiver, là. Vous pinaillez sur une subvention de 3 millions sur 3 ans. Le budget est de 8 milliards. Et cette subvention est utile à la communauté. Vous faites vos vierges effarouchées à parler de corruption, c'est risible. Visiblement, tu ignores tout de la situation de cette région. Pendant 10 ans, la majorité PS a balancé l'argent par les fenêtres et a arrosé la gueule d'associations bidons. Il était temps que ça cesse. La fête est finie.
Parce que tu penses que l argent sera mieux utilisé grace à Robin Wauquiez des bois ? Prendre à um pour donner à un autre du meme accabit c eat demago ou pour raisons personnelles.
Absolument. Je t'invite à consulter les budgets de la Région Rhône-Alpes-Auvergne et à voir sur le terrain ce qui s'y passe, notamment au niveau associatif et ensuite, on pourra avoir une discussion intéressante à ce sujet.
Tu as raison je n ai pas les données relatives à la région RAA et j avoue que j ai beaucpup de mal avec Wauquiez ( tout comme Estrosi mais c est un autre debat) . Donc on en reparlera dans qq annees, lors de sa future mise en examen.
Si tu envisages de t'occuper du contrôle des naissances des animaux sauvages, pour éviter d'avoir à les chasser, reste.
Des documents saisis au domicile d’Alexandre Djouhri accablent Claude Guéant: le RIB de l’ancien ministre, un contrat lui promettant le versement par une municipalité russe de 25 000 euros mensuels et une lettre prouvant son intervention dans la Légion d’honneur attribuée à un négociateur de la vente des porte-hélicoptères Mistral à la Russie. L’intermédiaire Alexandre Djouhri a tout fait pour empêcher la transmission de ses archives à la justice française et l’on comprend désormais pourquoi. Saisis en mars 2015, lors de multiples perquisitions à Genève, alors que Claude Guéant était mis en examen dans l’affaire des financements libyens à Paris, ces documents complètent le puzzle de la compromission du haut fonctionnaire proche de Nicolas Sarkozy, ancien secrétaire général de l’Élysée puis ministre de l'intérieur. Ils n’ont été versés à la procédure française que récemment, à la suite de l’ultime décision du tribunal fédéral suisse qui a débouté Djouhri, en octobre dernier. Le premier document est un simple relevé d’identité bancaire du secrétaire général de l’Élysée. Mais il prouve à lui seul la nature du lien établi par Alexandre Djouhri avec Claude Guéant. Ce RIB du compte ouvert à l’agence BNP Saint-Philippe-du-Roule parachève l’enquête financière qui a retracé l’origine des fonds ayant permis à Claude Guéant de s’acheter un appartement, en 2008, et leur compensation par de l’argent venu de Libye, en 2009. La découverte du RIB a valu deux questions à Nicolas Sarkozy, lors de sa garde à vue : — Les enquêteurs : « La perquisition du domicile genevois d’Alexandre Djouhri a permis la découverte d’un RIB au nom de “M. ou Mme Claude Guéant”. Cette mention de compte joint date ce RIB au plus tard à 2008, année du décès de Mme Guéant. Qu’est-ce que Monsieur Djouhri pouvait faire d’un RIB au nom du compte personnel du Secrétaire général de l’Élysée ? » — Nicolas Sarkozy : « Je n’en ai aucune idée. » — Les enquêteurs : « N’était-ce pas pour lui faire envoyer des fonds ? » — Nicolas Sarkozy : « Le mieux c’est de poser la question aux intéressés. » Lors de leur perquisition chez Djouhri, les policiers ont aussi exhumé le certificat d’un expert parisien d’antiquités, Charles C., décédé en 2001, au sujet de trois fauteuils de style vénitien. Or, Claude Guéant qui prétendait avoir vendu des tableaux hollandais – que personne n’avait vus en sa possession –, avait produit des certificats provenant du même homme, en 2015. C’est un indice supplémentaire du rôle de Djouhri dans la mise en place de l’alibi des tableaux justifiant l’arrivée de 500 000 euros sur son compte. Les « intéressés » s’expliqueront peut-être lorsqu’ils seront éventuellement confrontés. Les réponses d’Alexandre Djouhri, arrêté à Londres, restent suspendues à la décision judiciaire britannique concernant sa remise à la France. « C’est exact qu’il [Guéant – ndlr] a rencontré M. Djouhri, dans le cadre de l’activité professionnelle qui était la mienne, et au sein de laquelle Claude Guéant jouait un rôle important », a admis Nicolas Sarkozy du bout des lèvres. L’ancien président a précisé n’avoir « jamais confié de mission, ni officielle ni officieuse » à Djouhri, même s’il « connaissait ses relations proches avec un certain nombre de grands chefs d’entreprises français qui [lui] en avaient parlé ». « Je pense à Serge Dassault ou à Henri Proglio », a-t-il ajouté. Lors de la perquisition chez Djouhri, un projet de contrat en dit un peu plus sur la relation de l’intermédiaire avec l’ancien ministre. En décembre 2013, Claude Guéant, devenu avocat un an plus tôt, adresse à l’intermédiaire un projet de convention entre son cabinet et une ville russe totalement inconnue en France, Nijni Tagil, dans l’Oural. « Il apparaît à la ville de Nijni Tagil, qu’elle aura besoin pour la poursuite de ses relations avec Veolia Environnement d’un conseil français », écrit Guéant. « En rémunération de ses services, la ville de Nijni Tagil accordera à la société Guéant Avocats Selarl, une rémunération mensuelle de 25 000 euros. » Si l’ancien ministre envoie ce draft (voir ci-dessous notre document) à son « cher Alexandre », comme il l'écrit, c’est que ce dernier s’est fait fort de lui obtenir ces émoluments hors norme. 25 000 euros mensuels, plus une commission de 1 % du contrat en cas de signature.
Nijni Tagil est une ville de 80 000 habitants qui cherche effectivement un opérateur pour rénover son réseau d’alimentation en eau potable, ses moyens de traitement des eaux usées et des déchets. Mais c’est surtout une commune dont le maire, Sergueï Nosov, est le beau-père de Germain Djouhri, le fils de l’intermédiaire. « Ce projet n’a jamais été signé », répond Claude Guéant à Mediapart, avant de raccrocher brutalement. En réalité, la ville industrielle de Nijni Tagil, lieu d’implantation des usines fabriquant les chars d’assaut russes d’Uralvagonzavod, n’a jamais eu besoin d’un « conseil » pour « l’accompagner », ou pour « l’assister » afin de répondre « aux demandes d’information » de Veolia Environnement. Le groupe français a examiné l’appel d’offres de Nijni Tagil, mais « n’a pas donné suite ». « On ne travaille pas avec Guéant. On ne lui verse pas d’honoraires », fait-on savoir en interne. Pour Veolia, un tel contrat d’intermédiaire entre le groupe et la mairie n’avait « pas de fondement », si ce n’est peut-être de constituer « un habillage entre Djouhri et Guéant ». Un habillage pour « aider Guéant ». Comme d’autres conventions avaient eu pour but de soutenir Villepin. Lors d’un échange téléphonique intercepté par les enquêteurs, Alexandre Djouhri se faisait fort de clarifier l’origine des paiements reçus par Villepin en vertu d’une « convention d’assistance » avec l’homme d’affaires saoudien, Khaled Bughsan, dont les comptes ont servi d’écran à l’intermédiaire. Compte tenu de la vacuité des « rapports » produits par Dominique de Villepin, les enquêteurs soupçonnent eux aussi un habillage. Dominique de Villepin, bénéficiaire comme Guéant, d’un financement libyen en 2009, est lui aussi dans la boucle des projets russes de Djouhri. Selon des documents saisis en Suisse, l’une des sociétés de Djouhri (Adremis) se prévaut d’avoir organisé, le 11 juillet 2013, un rendez-vous entre le PDG de Veolia, Antoine Frérot, avec le premier ministre Dmitri Medvedev, à l’occasion d’une conférence sur l’avenir de la mondialisation, le “Symposium de l’Esprit Global ”, tenue à Ekaterinbourg, la capitale de l’Oural. Dominique de Villepin y participait… ainsi que Sergueï Nosov, le beau-père de Germain Djouhri. Mais Veolia dément l’intervention de l’intermédiaire à cette occasion. « Eh Nicolas, tu peux passer un coup de fil, toi, qu’on voie Poutine un peu plus rapidement ? » Alexandre Djouhri, à Londres en 2018. Moins d’un an plus tard, c’est un avion privé qui décolle du Bourget, en mai 2014, avec une escale à Genève pour le forum économique de Saint-Pétersbourg, le « SPIEF ». Dans l’avion, Claude Guéant, Alexandre Djouhri et Dominique de Villepin, mais aussi Antoine Frérot et Philippe Guitard, de Veolia Environnement. Questionnée par Mediapart, la multinationale française fait savoir qu’elle a « payé l’avion ». À l’arrivée, Guéant, Djouhri et Villepin s’inscrivent, ou sont inscrits — les versions divergent —, en qualité de « vice-présidents de Veolia ». « L’erreur » est reproduite dans le catalogue de la conférence, ce qui provoque un petit scandale chez Veolia, et la décision de « couper les ponts » avec eux, selon le groupe. Du temps d’Henri Proglio, l’ex-président de Veolia (2000-2012), grand ami de l’intermédiaire, une rumeur insistante prêtait à Alexandre Djouhri la possible détention, ou le « portage » de 8 % du capital du groupe… Avant que les Qataris ne s’emparent effectivement de 5 % de Veolia, dans des circonstances troubles, moyennant 182 millions d’euros de commission (lire ici et là). Lors d’une interview à Libération, en 2011, Claude Guéant, alors ministre de l’intérieur, expliquait avoir créé et animé à l’Elysée une war room pour s’occuper des « grands contrats ». « Je me bats pour que les entreprises de notre pays vendent leurs productions et lorsqu’on laisse entendre que c’est pour favoriser les intérêts des uns ou des autres, je suis choqué ! » Il vantait aussi les mérites de Djouhri, « quelqu’un très au courant des affaires du monde, des affaires industrielles », « quelqu’un qu’il est intéressant d’écouter… ou plutôt d’entendre », « quelqu’un de très séduisant. Intéressant ». Un autre document retrouvé chez Djouhri concerne précisément l’à-côté d’un « grand contrat », celui des porte-hélicoptères Mistral vendus à la Russie en 2011 — un contrat finalement annulé par la France en 2015, à la suite de la crise ukrainienne. Alexandre Djouhri disposait dans ses archives de la lettre de Claude Guéant annonçant à l’un des négociateurs russes, Sergueï Tchemezov, la remise de la Légion d’honneur par Nicolas Sarkozy. « Plusieurs de vos amis m’ont fait part de leur souhait que le Président de la république puisse vous remttre les insignes d’officier de la Légion d’honneur », écrivait Guéant. Du coup, la question a été posée à l’ancien président lors de sa garde à vue. — Les policiers : « Lors de la perquisition du domicile genevois d’Alexandre Djouhri, il a été découvert plusieurs correspondances relatives à la future remise de la Légion d’honneur à Sergueï Tchemezov. Pourquoi M. Djouhri détenait-il des correspondances adressées par l’Élysée à cette personnalité russe ? » — Nicolas Sarkozy : « Je ne sais pas qui est ce Monsieur Tchemezov. Je ne sais pas qui devait lui remettre une décoration et pourquoi. » — Les policiers : « Il s’agit de correspondances adressées en 2010 en vue d’une remise par vous-même à ce Monsieur Tchemezov qui serait directeur général de Rostechnologies à Moscou. Cela vous aide-t-il ? » — Nicolas Sarkozy : « Je ne me souviens pas. » — Les policiers : « Comment expliquez-vous que Monsieur Djouhri soit en possession de ce genre de courrier ? » — Nicolas Sarkozy : « Je ne sais pas. Des courriers de décorations, il y en a des milliers. J’ajoute que les décorations remises à des personnalités étrangères n’entrent pas dans la promotion de la Légion d’honneur. Je ne peux pas mieux vous répondre. » — Les policiers : « Quelqu’un a-t-il pu intercéder en faveur de ce Monsieur auprès de vous ? » — Nicolas Sarkozy : « Certainement. Mais il me faudrait au moins voir le courrier. En tout cas, ce document ne semble pas, à mes yeux, un élément d’une très grande importance. » Pourtant, l’homme décoré par Sarkozy, Tchemezov, a été, aux côtés de Vladimir Poutine, l’un des résidents du KGB à Dresde en Allemagne de l’Est dans les années 1980, avant d’intégrer, puis de grimper des échelons du complexe militaro-industriel russe. Il ne peut pas être un inconnu pour les services spéciaux français et encore moins pour le président français qui lui accroche la Légion d’honneur… En mai 2017, le Telegraph a publié les photos d’une visite-surprise de Poutine et de Tchemezov à leur ancien chef au KGB. Alors que les négociations de vente des Mistral se finalisent, en janvier 2011, le site Intelligence Onlineprésente Germain Djouhri comme « très proche de Sergueï Tchemezov, l’un des principaux négociateurs russes », et aussi très actif auprès de la Direction des constructions navales (aujourd’hui Naval Group). Il est vrai que Sergueï Nosov, son beau-père, avait été conseiller à la direction de Rosoboronexport, la firme chargée des exportations d’armement russe, lorsque Sergueï Tchemezov dirigeait ce groupe, de 2004 à 2007, avant de présider la holding Rostec. L’idée d'attribuer la Légion d’honneur à Tchemezov vient-elle de Djouhri ? En tout cas, il le fait croire. « Alexandre Djouhri s’est présenté comme le grand organisateur de tout ça, se souvient un acteur du dossier des Mistral, questionné par Mediapart. Sergueï Tchemezov, qui était l’un des négociateurs russes du marché des Mistral, aurait dû en être le signataire du contrat. Mais Poutine a finalement désigné son vice-premier ministre, Igor Setchine, patron du pétrolier Rosneft pour signer l’accord. » L’activisme de Djouhri en Russie s’est poursuivi. À telle enseigne qu’en 2015, Nicolas Sarkozy évoque le sujet lors d’une conversation avec l’intermédiaire interceptée par la justice. — « Qu’est-ce que vous faites à Moscou ? », demande l’ancien président. — Alexandre Djouhri : « Bah faut qu’on essaye de gagner du pognon quand même, on travaille. À l’attaque ! Qu’est-ce tu crois ? » — Nicolas Sarkozy : (rires) « Bon allez, je t’embrasse. » — Alexandre Djouhri : (rires) « Eh Nicolas, demain on va te parler… (...) Lui, il passe par Pescov [Dmitri Pescov, secrétaire de presse de Poutine – ndlr] et Chouvalov – [Igor Chouvalov, premier vice-président du gouvernement russe –ndlr] pour voir Poutine, tu peux nous passer un coup de fil toi, pour éventuellement qu’on le voie un peu plus rapidement ? » — Nicolas Sarkozy : « Écoute bah... » — Alexandre Djouhri : « Au lieu qu’on poireaute ? » — Nicolas Sarkozy : « Parlons en demain, hein ? » Les enquêteurs ont donc questionné l’ancien président sur ce coup de fil. « Il m’a effectivement demandé d’intercéder auprès du président russe pour avoir ce rendez-vous, a répondu Nicolas Sarkozy. Je ne l’ai pas fait, car je ne voyais pas comment je pouvais demander au président de la Fédération de Russie un rendez-vous avec Alexandre Djouhri sans même savoir le contenu du rendez-vous. Et donc, à ma connaissance, le rendez-vous n’a pas eu lieu et moi, je ne l’ai pas sollicité. » « Alexandre Djouhri vous demande-t-il souvent des services tels que celui-ci ? », lui ont demandé les enquêteurs. Nicolas Sarkozy a juré : « Jamais. Ni avant mon élection ni après mon élection. Jamais, il ne m’a demandé quoi que ce soit d’autre. »
Avec 8 balles dans le dos, ça va être compliqué d'invoquer la légitime défense. http://www.lemonde.fr/ameriques/art...redit-la-version-officielle_5278921_3222.html J'appelle ça une exécution.
par chez moi j'ai un ami qui habite a 4km de la foret la plus proche et il retrouve régulièrement des biche dans son jardin en train de bouffer ses tomate ... vous me direz qu'en campagne s'est normal ... sauf qu'il habite en pleine ville