En même temps, c'est comme ça depuis que la République Romaine a autorisé la Plèbe à élire ses tribuns...
Par contre je voulais dire un sayanim et non pas un marane concernant zemmour,je pense que tu avais du rectifier par toi-même
Eric Zemmour qui te parle d'identité Française encrée dans le catholicisme profond( auquel il veut s'identifier ) et qui de ce fait dégueule sa haine des Arabes( terme généraliste ) en particulier et des Musulmans en général alors que le mec il a la tête de ton épicier en bas de chez toi ( et encore c'est faire offense à l'épicier car lui au moins t'explique pas que ses racines c'est la France profonde et catholique )c'est juste risible , déjà quand c'est une grenouille de bénitier qui m'explique ça , j'ai envie d'exploser de rire , mais alors lui , j'oscilles entre la blaque ou la schizophrénie , le gars en faite il a plusieurs personnalités dans sa tête c'est pas possible
Depuis 50 ans, Bourdieu et ses co-malfaiteurs de la French Theory nous ont emmenés dans le mur dans lequel on se trouve aujourd'hui avec leur idéologie déconstructiviste. Il est grand temps d'arrêter les frais. D'autant ce qu'il dit est faux. La "mise en scène de l'intellectuel" ou de la "polémique" ne date certainement pas de la télévision. Il suffit de relire Tite-Live : déjà sous l'Antiquité, la polémique était érigée en spectacle devant un auditoire qui prenait plaisir à regarder deux sénateurs s'engueuler comme des charretiers sur des sujets totalement bidons en les voyant invoquer les philosophes grecs pour appuyer leur point de vue. Tout ce qu'a fait Bourdieu n'est pas à jeter à la poubelle. Mais son déterminisme digne de Schopenhauer rendent une bonne partie de son travail totalement inintéressante. Ce type était plus Stal que les staliniens et plus marxiste que Marx. Et "résister avec Bourdieu" quand on sait que c'est son idéologie qui a servi de pensée unique depuis les années 70, on a quand même envie, si ce n'est de se moquer, à minima de ricaner.
Ce genre d’analyse d'une débilitée profonde et d'une telle inconnaissance crasse me laisse toujours sans voix. Nacéra aurait probablement dû aller à l'école et lire sur ces sujets avant d'en parler. Le mélange de tout et n'importe quoi est assez attristant.
ces raisonnements binaires simplistes sentent et suintent quelque chose de bien crade. j'ai toujours du mal avec les raisonnements qui ont la vérité en 5 lignes, en trois phrases et surtout qui sont absolument en méconnaissance totale et de très loin au problème en question.
Nan mais il ne s'agit pas de dire que la France ne défend pas aussi des intérêts économiques au Mali (et au Niger), maintenant résumer ça à une guerre pour de l'uranium c'est grotesque. Le Mali est une démocratie (dysfonctionnelle certes), un allié, qui nous a appelé à l'aide (on est bien loin de bush envahissant l'irak), et ce, pour lutter contre des islamistes qui marchait vers bamako et qui représentaient ainsi un énorme risque de créer un état islamiste au sahel servant de base arrière à des attaques en afrique et en europe. Après, on peut se demander ce qu'il se serait passé si le mali avait été une dictature et si les islamistes ne nous menaçait pas aussi directement du fait de leurs campagnes terroristes, peut être serions-nous intervenus quand même, peut être pas. Mais je ne vois pas l'intérêt. Le "containment" des zones de non-droit où les islamistes s'installent est une priorité de notre politique internationale et justifie en soit largement notre intervention. Reste ensuite à "transformer l'essai" avec la mise en place d'une solution politique pérenne pour apaiser les tensions entre bamako et l'azawad (et couper ainsi l'herbe sous le pied des djihadistes étrangers ne trouvant plus forcément d'appuis locaux) et, bien évidemment, le développement économique qui pourrait permettre d'offrir un avenir aux habitants (avec l'espoir de ne pas en voir se faire embrigader) et un renforcement de l'unité nationale. Mais l'intervention armée était un préalable impératif.
encore une fois, je ne dis pas que la défense des entreprises françaises ne fait pas partie des raisons. Mais dire que c'est la seule c'est tout aussi faux que de dire que l'élément économique est absent.
Non mais je demandais en lisant le début de ton post "Le Mali est une démocratie (dysfonctionnelle certes), un allié, qui nous a appelé à l'aide (on est bien loin de bush envahissant l'irak)," Mali et démocatie ça sonne faux , on est loin de les avoir envahit , c'est sûr on est jamais vraiment partis d'Afrique , d'où d'ailleurs le terme démocratie, pays souverain etc…. sonne faux …..
Tu as vu passer ça @VinnieJones ? La Turquie refuse toute remise en question de son accord maritime signé avec Tripoli PAR LAURENT LAGNEAU · 3 DÉCEMBRE 2019 Proche du gouvernement d’union nationale [GNA] installé à Tripoli sous l’égide des Nations unies et dont l’autorité est contesté par l’Armée nationale libyenne [ANL] du maréchal Khalofa Haftar [soutenu par l’Égypte, notamment, ndlr], Ankara a renforcé sa coopération militaire avec ce dernier et signé un protocole d’accord de délimitation maritime, faisant fi de la République de Chypre et de l’Égypte. L’enjeu est l’exploitation des immenses réserves de gaz naturel que recèlent les eaux territoriales de ces deux pays, ainsi que du projet de gazoduc EastMed, dans lequel la Grèce est impliquée. Évidemment, la République turque de Chypre-Nord [RTCN], qui est seulement reconnue par Ankara a salué cet accord, estimant qu’il arrivait « au bon moment ». Et cela, alors que la Turquie a commencé des forages dans les eaux de la République de Chypre. Cependant, en concertation avec Le Caire, Athènes a vivement réagi. Le 1er décembre, le Premier ministre grec, Kyriakos Mitsotakis, a demandé le soutien de l’Otan pour contester l’accord passé entre Ankara et Tripoli. Accord qui, du point de vue de Nicosie, ne peut avoir « aucune valoir légale » car, sinon, il constituerait une « grave violation du droit international. » Mais telle n’est pas, comme on s’en doute, l’interprétation de la partie turque. « Par l’accord signé avec la Libye, une partie des frontières occidentales de nos zones de juridiction maritime en Méditerranée orientale est délimitée. L’accord est conforme aux décisions des tribunaux qui créent la jurisprudence internationale et le droit international, y compris les articles pertinents de la Convention des Nations unies sur le droit de la mer », a répondu Ankara, par la voix de Hami Aksoy, le porte-parole de son ministère des Affaires étrangères. Et d’ajouter : « Toutes les parties sont essentiellement conscientes que les îles ne peuvent pas avoir d’effet de coupure sur la projection côtière de la Turquie, pays ayant la plus longue ligne de côte continentale de la Méditerranée orientale, que les îles situées de l’autre côté de la ligne médiane entre les deux continents ne peuvent créer de zones de juridiction maritime au-delà de leurs eaux territoriales, et que la longueur et la direction des côtes doivent être prises en compte pour délimiter les zones de juridiction maritime. » Quoi qu’il en soit, le président turc, Recep Tayyip Erdogan, se veut inflexible. « Si le sujet est mis à l’agenda [de l’Otan par la Grèce], nous leur dirons que ce que la Libye et la Turquie ont entrepris relève de leurs droits souverains et nous n’allons pas en débattre avec eux », a-t-il dit, avant de s’envoler vers Londres pour assister au sommet de l’Alliance atlantique. « La Grèce peut prendre des mesures, nous aussi nous avons le droit d’en prendre. Nous ferons ce qui est nécessaire », a encore prévenu M. Erdogan, pour qui les efforts d’Athènes, de Nicosie et du Caire pour « n’auront aucun impact, car nous avons conclu un accord écrit avec la Libye » et que « la Turquie ne discutera pas, autour de la table, avec d’autres pays, de ses droits souverains. » Selon la presse turque, l’accord en question permettrait à la Turquie d’augmenter la superfice de son plateau continental de 30%. De quoi enpêcher la Grèce, la République de Chypre [tous deux membres de l’Union européenne, ndlr] et l’Égypte de trouver une entente visant à délimiter leurs zones maritimes respectives… Et de torpiller ainsi les projets concernant l’exploitation gazière en Méditerranée orientale, laquelle permettrait à l’Europe de diversifier ses sources d’approvisionnement en énergie.
Ouaip ! J'avais vu ça. Ben comme dit dans l'article, l'accord est purement et simplement nul juridiquement puisque ça suppose que les turcs violent nos eaux territoriales. Tsipras a dit hier qu'il fallait exclure la Turquie de l'OTAN. C'est aussi mon avis. Les américains ferment les yeux sur le fait que c'est un Etat terroriste pour ne pas qu'ils rejoignent Poutine. Mon avis c'est "peu importe", l'histoire a montré qu'on ne peut faire confiance ni aux russes ni aux américains. Le chef d'état-major de Grèce a dit que la solution, en cas de violations des eaux territoriales, c'est de déployer la flotte de façon à les encercler par un blocus maritime. Mais il y a pire qu'Erdogan qui s'essuie les pied sur les traités. Le sultan de Prisunic arme et entraîne Daesh : https://www.courrierinternational.c...ouvelle-base-arriere-des-djihadistes-de-daech Et ce que je crains le plus, ce sont les "loups gris" qu'il peut envoyer en Europe (l'article du wiki anglais est hyper complet : https://en.m.wikipedia.org/wiki/Grey_Wolves_(organization) ). Ça, c'est carrément flippant... Et surtout ne pas croire les articles du Monde ou du Huffpost qui disent que si les turcs sortent de l'OTAN, le proche Orient deviendra une poudrière : elle l'est déjà. Ils ne font que relayer la propagande des néocons qui craignent une situation qui ... existe déjà (voir l'article du Courrier) et où un génocide est déjà en cours... À long terme, je vois une solution : malgré tout le mal que je pense de l'Europe et ma ferme conviction qu'il faille en sortir à terme, c'est d'intégrer l'Arménie dans l´UE et reconnaître le Kurdistan comme État (ce qu'a fait la Grèce jusqu'en 97 avec le Haut-Karabakh). Là, Erdogan sera définitivement au pied du mur et asphyxié diplomatiquement.
Question à bourrin Castaner ... de "Peut t'on arrêter les black blocks ?" réponse de bourrin castaner "Je ne fait pas d'arrestations préventives, je ne fait pas d'interdictions préventives..." Allez répéter ça aux gilets jaunes qui sont mis en garde à vue sans motifs légal juste le temps de la manifestation !!!
https://twitter.com/i/status/1202334455823773696 Elle a raison , il n'y a aucune preuve de violence policière.
Je suis d'accord jusqu'au dernier paragraphe!! Mais ce qui est intéressant avec cet accord, c'est que Erdogan commence à mettre en application ses prétentions territoriales. Il en parlait jusqu'à aujourd'hui concernant le Grèce et Chypre, mais là il commence à agir. Entre ça et les forages dans les eaux chypriotes ça commence à devenir alarmant. Et tant que personne ne lui dira stop et n'agira contre lui il continuera. Il n'a pas non plus abandonné son projet d'annexer une bande de 30km sur 150km en Syrie! Et il a parlé à plusieurs reprises d'aller jusqu'à Deir Ez Zor ou Raqqa, soit quasiment un tiers de la Syrie.. Pour Daesh on le sait depuis longtemps, les Kurdes sont deux choses pour lui: - le bouc émissaire idéal: Quel que soit la manière dont ils s'organiseront, il les liera toujours au PKK pour justifier sa répression de l'opposition et la permanence d'une menace à sa frontière. - Un "problème structurel" pour la nation turque, que ce soit en interne ou dans les pays voisins à se frontière. Si on prend les choses de manière froide, l'état Islamique en considérant les Kurdes comme des infidèles et donc une population à soumettre voire exterminer répondait aux objectifs de la Turquie. Avec bien sur des méthodes plus extrêmes, que les Turcs ne peuvent pas employer sous peine d'être mis au banc de la communauté internationale et d'être placé sous un fort régime de sanctions. Et que l'armée même si elle est en cours d'islamisation après les purges successives de ces dernières années aurait du mal à accepter. Les Turcs sont d'ailleurs intervenus au moment ou l'EI perdait du terrain face au Syriens et que la contre offensive Kurde partie de Kobané et permise par les Français en partie qui sont arrivés les premiers là bas (cocorico) allait créer une continuité territoriale avec les zones Kurdes du nord d'Alep. Sous couvert d'intervenir contre l'EI, il a empêché les Kurdes de créer une continuité territoriale. Et il a mis les zones conquises sous la "protection de milices islamistes qui n'ont souvent rien à envier à ISIS. Mais il les soutenait largement à l'époque, je me rappelle d'articles expliquant que les troupes de l'EI avaient été acculés à la frontière turque par l'armée syrienne, et qu'ils avaient ouvert la frontière pour les laisser re-rentrer plus loin. Les combattants de l'EI blessés au combat étaient soignés là bas, les Turcs les finançaient en achetant leur pétrole, toutes les armes et munitions livrées à l'EI et aux groupes islamistes passaient par la Turquie. Elle était aussi la porte d'entrée principale pour tous les étrangers voulant aller combattre là bas. Les services turcs étant parfaitement au courant. Les plus haut responsables de l'EI se cachaient tous à quelques km de la frontière, et les turcs n'ont pas subis d'attaques depuis 2016. Je pense que tout ça est parfaitement documenté par beaucoup de services occidentaux. La question c'est à quel moment la Turquie ira trop loin, et qui lancera le pavé (documenté) dans la mare. Ce qui poussera les dirigeants des pays de l'OTAN à l'action. Le problème de reconnaître le Kurdistan comme état, c'est qu'immédiatement il va y avoir une coalition de 4 pays qui va se former. La Turquie, L'Irak, l'Iran et la Syrie contre ce projet. C'est une violation des frontières et de la souveraineté de chacun de ces états. Et en plus dans des régions pétrolifères donc financièrement très intéressante. Faire ça relancerait la guerre civile dans ces pays, amènerait une répression violente et ferait perdre immédiatement toute influence aux pays qui le reconnaîtrait. Les Turcs comme les autres hurleraient au néo colonialisme et auraient de fait les mains libre pour faire ceux qu'ils veulent de ces populations. Pour l'Arménie dans l'UE, je ne pense pas non plus que ce soit une bonne idée, le pays est actuellement en vie grâce aux Russes et aux géorgiens. Et les faire rentrer dans l'UE compliqueraient encore plus toutes les décisions. Le pays est complètement enclavé entre la Turquie, la Géorgie et le Kazakhstan et n'a aucun accès à la mer. Même si ils ont des similitudes au niveau culturel, bien plus que les albanais, les kosovars ou la macédoine, la situation géographique rend ça quasiment impossible! Ce qui pourrait faire très mal aux turcs, ce sont des sanctions des états unis et de l'union Européenne et une expulsion de l'OTAN. Les fonds versés par ces pays à la Turquie en aide au développement, en fond pour la préparation de l'entrée à l'UE, en aide au développement de son armée, la production en Turquie détaxée vendue en Europe, les coopérations militaires entre entreprises occidentales et entreprises turques représentent des dizaines de milliards. Des solutions il y en a des dizaines. Mais pour ça il faut une unité, et arrêter d'être faible, de se cacher les yeux face aux réalités de plus en plus dure du monde. Et être prêt à recevoir les loups gris, à réagir concernant les troubles qu'il pourrait provoquer en appelant les musulmans d'Europe à s'attaquer à tel ou tel pays comme il a déjà menacé de le faire, à froisser des alliés comme le qatar en interdisant les frères musulmans et les représentations de l'islam politique sur le territoire que les Turcs peuvent manipuler... Ce qu'il avait dit en 2011 devant son groupe parlementaire illustre parfaitement la manière dont il compte utiliser une partie des musulmans dans son pays et à l'étranger "Les minarets seront nos baïonnettes, les coupoles nos casques, les mosquées seront nos casernes et les croyants nos soldats" Macron commence un peu à bouger sur ces sujets, mais des dirigeants comme Merkel appliquent encore totalement la politique de l'autruche. Et il sera impossible de prendre des décisions pour l'UE si les principaux pays ne sont pas d'accord. De toute manière au rythme ou ça va, Erdogan aura tôt fait de grandir en influence sur de petits pays de l'est en menaçant de bloquer les projets de l'OTAN contre les Russes si ils ne bloquent pas des projets européens contre la Turquie.
https://twitter.com/CgtFrancetv/status/1202611132495749121?s=20 Je sais ca n'étonne plus personne mais bon ...