Petit flashback sur nos grands sérials buteurs dans so foot Top 10 : Attaquants bidon de l’OM Equipe d’Argentine Ligue 1 Lionel Messi Olympique de Marseille Olympique lyonnais 1er décembre 2009 Brandao, Morientes. Les deux attaquants de l’Olympique de Marseille version 2009-2010 sont loin de faire l’unanimité. Le premier est un cheval, le second a l’âge de Jean-Pierre Escalettes. Pourtant, question attaquants, l’OM a souvent aligné du lourd. De Papin à Drogba, en passant par Skoblar et Völler, la culture du « 9 » est une recette maison. Mais on oublie souvent les "fifres laids". Et la Bonne Mère sait qu’il y en a eu… 1 - Miladin Becanovic. Un blase qui respire le talent. Pour le reste il y a Eurocard Mastercard. Car le CV du Monténégrin est épais comme une feuille de PQ. Une tête d’accordéoniste de métro parisien, une coupe à l’eau et un corps de lâche. L’ancien Lillois ne s’imposera jamais sous le maillot de l’OM. Les Sudistes le refourgueront pendant les soldes d’été 1998 au Havre, sans garantie. 2 - Christian Gimenez. Petite barbichette sous le menton, crâne rasé, l’Argentin avait tout pour enflammer Marseille. A Bâle, il rendait des copies exceptionnelles (99 buts en 146 matches). Quand il débarque à l’OM en 2005, la Ligue 1 pense avoir trouvé son goleador. Malheureusement pour les Olympiens, Gimenez est venu en France sans son talent. 1 seul petit but marqué en championnat, une misère compte tenu de l’attente suscitée par le bonhomme, et Christian est jeté en pâture au Hertha Berlin. Où il s’est démerdé, le bougre. 3 - Sergio Contreras Pardo « Koke ». C’est l’histoire d’un mec avec la peau vérolée, des pieds carrés et des dents de lapin. Un bonhomme avec autant de tares aurait dû être rebuté par Dame Nature. Pourtant, la vie a voulu donner sa chance à Sergio. Malgré la patience méditerranéenne, l’Espagnol ne vendra pas un seul maillot. Dans le dictionnaire, à “erreur sur la marchandise”, il y a sa photo. 4 - Eric Lada. Formé à la belle école sochalienne des années 80, Eric Lada s’incruste à la table des stars marseillaises en 1990. Papin, Waddle ou Pelé, Eric s’en tamponne, il croit en son travail de besogneux. Force est de constater que le champion d’Europe Espoirs avec les Bleuets n’a pas le niveau. En même temps, un mec qui s’appelle Lada, il ne faut pas en attendre des merveilles. 5 - Andrés Mendoza. Le Condor, comme il était surnommé dans son Pérou natal, voulait faire son nid sur le Vieux Port. Véritable machine à marquer au FC Bruges ainsi qu’au Metalurg Donetsk, l’international péruvien pense avoir trouvé un club à sa démesure en débarquant à Marseille. Lent, d’une bêtise tactique sans précédent, l’oiseau ne s’envolera jamais. En six mois, personne ne sait s’il est droitier ou gaucher. Mange actuellement des Kebabs sauce samouraï au Diyarbakirspor. 6 - Mido. 12 millions d’euros, c’est le tarif déboursé par l’OM en 2003 pour s’attacher les services du sosie égyptien de Moundir. Véritable starlette à Zamalek et à l’Ajax, Mido a un caractère de cochon. Une vraie tête de con. Son année marseillaise le confirmera. Boudeur, ronchon, un poil grassouillet, le Pharaon se moque des consignes collectives. Il aime se regarder jouer et le fait savoir. Si seulement il avait eu le totem de l’immunité... 7 - Jurgen Cavens. Est-il étonnant de voir débarquer un mec du Standard à Marseille ? Non. Mais pour Jurgen Cavens, le deal est différent. Au début des années 2000, l’OM croit au potentiel du buteur formé à Lierse. International avec les Diables Rouges, on se dit que la mayonnaise peut prendre. Cavens ne restera que six mois, incapable de faire rêver un pêcheur. Un four, tout simplement. 8 - Cyrille Pouget. Stop aux quolibets, Pouget est quand même international français (3 caps en 1996). Avec son pote Pirès, il enflamme le FC Metz dans les 90’s. A l’époque, on pense que le blondinet a de l’avenir. Erreur. Son passage à Marseille est un fiasco. Pensant reformer le duo messin avec son pote Rob, Pouget s’enraille très vite. Troqué en Suisse, il fera finalement les beaux jours de La Jeunesse d’Esch dans le championnat du Luxembourg. Faut-il en rajouter ? 9 - Alan Skoro. Lorsqu’il signe sur la Canebière, Alan Skoro est précédé d’une flatteuse réputation. Jeune espoir bosniaque de 19 berges, Skoro est l’attraction de l’Olimpija Ljubljana en Slovénie. Le Vélodrome pense refaire le coup de Boksic. Ou pas... La grande tige est une arnaque et sera priée d’aller planquer son pognon au Servette de Genève un an après son arrivée. Il évolue actuellement au Jagiellonia Bialystok en Pologne. Que Dieu ait pitié de son âme. 10 - Cyril Chapuis. Formé à Niort comme Luyindula ou Jallet, Chapuis trompe son monde en s’imposant au Stade Rennais. Le mot « espoir » est même lâché. On prédit au natif de Lyon un brillant avenir. Transféré pour plus de 5 millions d’euros à l’Olympique de Marseille en 2002, Chapuis ne s’imposera jamais. Conscients de s’être fait entuber, les dirigeants marseillais le bradent à Leeds deux ans plus tard. Bon vent. Cette liste n’est évidemment pas exhaustive. Complétez-la à votre guise dans la rubrique "Commentaires". Bakayoko, Moussilou, Dill, Calandria, Marlet, Diawara, Fernandao... Faites-vous plaisir.
Jaïrzinho, dans l’Histoire du football brésilien, est ce joueur génial qui a enchanté le monde lors de la Coupe du monde 1970. En un mois et une poignée de matchs, lui et quelques autres ont écrit ce qui se fait de mieux en terme de ballon rond. Ce joueur est une légende. - En 1974 vous signez pour l’Olympique de Marseille. A l’époque, il était rare de voir un joueur brésilien migrer vers l’Europe. Qu’est-ce qui vous a motivé ? - A ce moment-là, cela faisait plusieurs années que j’étais à Botafogo par manque d’options. Les patrons de l’OM et d’Adidas ont alors fait venir deux Brésiliens champions du monde, Paulo César et moi. L’OM a représenté pour moi la première escale hors du Brésil. « Je me souviens de la chaleur humaine des Marseillais » - Quels souvenirs gardez-vous de votre passage à Marseille ? En France ? - Je garde un souvenir très positif de mon passage à Marseille. Tout le monde était très sympathique, on a vraiment essayé de me mettre à l’aise pour que je puisse montrer la richesse de mon football. Je suis parvenu à atteindre une moyenne d’un à deux buts par match, avec la possibilité de disputer le titre contre Saint-Etienne. Je suis arrivé à Marseille et l’équipe était mal en point, à la douzième place et seulement cinq à six mille spectateurs par rencontre. Après mon arrivée et une série de bons résultats, il y avait plus de 30.000 personnes à chaque fois. Je me souviens aussi de la chaleur humaine, de la gentillesse et de l’hospitalité des Marseillais. J’aime beaucoup Marseille et ce serait vraiment sympa de revenir là-bas en tant qu’entraîneur ! - Comment vous êtes-vous adapté à la vie en France ? - C’était la première fois que je tentais une expérience hors de mon pays. En tout cas, je me rappelle que la température était bien plus agréable à Marseille qu’à Paris ou Saint-Etienne… Mais je n’ai pas trouvé l’adaptation difficile même si je suis arrivé en France au début de l’hiver. - Aujourd’hui les Brésiliens sont de plus en plus nombreux à venir en Europe… - Le footballeur brésilien est naturellement attrayant pour ses qualités naturelles. Le facteur économique est aussi fondamental, le joueur brésilien aujourd’hui est bon marché si l’on considère la valeur du real avec celle de l’euro. - Vous êtes champion du monde avec le légendaire Brésil de 1970. La Seleção peut-elle de nouveau atteindre un tel niveau ? - Pour moi, la Seleção de 1970 n’aura jamais d’équivalent. Tous les joueurs évoluaient au Brésil, personne ne jouait en Europe. Tout le monde se connaissait bien, soit parce qu’on évoluait ensemble en club ou parce qu’on était adversaire dans les mêmes compétitions. L’équipe nationale de 1970 est la seule sélection au monde à avoir aligné cinq numéros 10 sur le terrain… Pelé de Santos, Jaïrzinho de Botafogo, Gersón de São Paulo, Rivelino des Corinthians et Tostão du Cruzeiro. Plus jamais une Seleção n’aura des joueurs d’une telle qualité dans son effectif. Dans la culture brésilienne, le numéro 10 a une énorme importance, en général celui qui porte ce numéro est sur le terrain capable de faire la différence. « Si Ronaldo est à 70% de sa forme… » - Vous êtes celui qui a découvert Ronaldo… comment cela s’est passé ? - J’étais à cette époque l’entraîneur de São Cristovão et j’ai eu l’opportunité de détecter Ronaldo alors qu’il jouait dans les petites catégories du club. Au poste d’attaquant, il jouait déjà avec beaucoup de talent. Il a toujours été en avance sur les autres, malgré son jeune âge. Et il utilisait son intelligence de jeu et sa créativité pour faire la différence. J’ai ensuite recommandé Ronaldo aux dirigeants du Cruzeiro. Je suis heureux d’avoir contribué à son succès. - Pensez-vous qu’il disputera la Coupe du monde ? - Si Ronaldo atteint ne serait-ce que 70% de sa forme, il est capable de jouer pour n’importe équipe au monde. Mais le choix ne m’appartient pas, c’est à Dunga de décider. 1) Kaká: « C’est le plus grand représentant du football brésilien en Europe. » 2) Luis Fabiano: « C’est l’un des meilleurs buteurs au monde. Il a connu une année 2009 fantastique avec son club, le FC Séville, et la Seleção. Il doit être reconnu à sa juste valeur. » 3) Daniel Alves: « Intelligent, polyvalent. Il peut évoluer à plusieurs positions. Il est capable de faire la différence. » Interview Sambafoot (très bon site sur le foot Brésilien)
Petite question, savez-vous ce que devient Civelli, car depuis la fin de la saison passée il me semble ne plus avoir eu de nouvelles de lui, pourtant un joueur jeune avec un bon potentiel comme lui qui doit pas couter une fortune, ça m'étonne beaucoup ????
Et quand il veut il vient entrainer nos attaquants... Mais alors QUAND IL VEUT !! Ca ne serait vraiment pas de trop pour Brandao
Oui, je me pose souvent la question. Des séances de tir avec JPP ne peuvent être qu'utiles. Et puis cotoyer un ancien aussi simple et généreux que lui, cela ferait gagner en humilité pas mal de nos joueurs.
si JPP revient entrainer l'OM c'est pour etre entraineur principal. je ne pense pas qu'entraineur des AC l'interresse tant que cela. Meme s'il entraine Chateauroux, il entraine un club. il va meme ses seances au point, ses tactiques et son experience.
peut ètre qu'il connait assez suffisemment bien la maison pour ne pas avoir envie d'y revenir le jpp.
Je doute qu'il le soit un jour. Sans être méchant le charisme il ne l'a pas. Il est trop gentil, simple et accessible pour cela. A l'OM, faut des méchants qu'ont tout prouvé. La preuve: DD est méchant mais comme il a pas assez prouvé il se fait tailler.
Il est très régulièrement au vélodrome et à la commanderie. Un pote a été il y a deux ou trois mois en séminaire à Marseille et JPP était l'intervenant surprise. Ils ont fait leur réunion commerciale dans les tribunes du vel et ils ont fait du foot à la commanderie ensuite avec Papin. Il a dit à mon pote qu'il était très souvent à l'OM. Peut être as-tu raison.
Papin a laissé un sale souvenir à pas mal de joueurs strasbourgeois quant à ses notions tactiques. Je suis d'accord avec ceux qui ne lui trouvent pas suffisamment de charisme pour coacher au haut niveau, et je ne lui vois pas franchement d'avenir à ce poste, sauf exploit castelroussin. Mais entraineur des attaquants, je suis sur que ça lui irait très bien....
Il sera pas entraineur à l'om de suite et tant mieux pour lui le pauvre je détesterai le voir siffler dans sa maison. Devenir entraineur des attaquants serait régresser professionellement pour lui maintenant, ou alors il prend un double poste car il serait très bien comme entraineur des gardiens aussi
Deschamps entraineur général, Papin aux attaquants, et Barthez aux gardiens (car franchement quand je vois Mandanda stagner voir même régresser, je me dis que spinosi n'est peut-être pas l'homme de la situation): On va en faire quelque chose de nos glorieux anciens!
Des Jeannot Fernandez par exemple ? Il paraît que ce sont les joueurs laissés de côté qui auraient dit ça. Je ne sais pas où est le vrai. Sans doute un peu des deux. Pagis semble voir sa reconversion en tant qu'entraîneur des attaquants. Ca pourrait pas nous faire de mal...
