tu t'amuses ? Ca n'existe pas le racisme dans le football Français,la preuve toutes les équipes sont mélangées,des Français de toutes origines et de toutes couleurs et de nombreux étrangers...ce qui a permis à l'OM d'être champion d'Europe en 1993,sans compter le reste,hé,hé ! Tu rigoles,Rastam,...évidemment !:wink::lol::mrgreen::razz::grin:
Pas du tout j'aime pas les arabes ... Tu demanderas à Irano ou loranais, Je fais d'ailleurs régulièrement des ratonnades
Foot - ANG - Wolves Zubar opéré en France Ronald Zubar ne rejouera plus avec Wolverhampton avant le mois de novembre. Indiscutable chez les Wolves, mais indisponible depuis le mois d'août en raison d'une blessure à une cheville, l'ancien défenseur de Marseille a été opéré en France. Selon Mick MacCarthy, le manager du club, Zubar aurait pu jouer sous infiltration mais la blessure aurait pu revenir. L'opération a été faite pendant la trêve internationale pour que le joueur manque le moins de matches possibles. - C.O.
Jean Fernandez disputera ce soir son 500 ème match de Ligue 1( contre Bordeaux ) sur un banc d'entraineur, loin de Guy Roux et ses 894 matchs.... Ça y est, Jeannot Fernandez a réussi sa vie ! - Actualit
t'es de retour?ca faisait un baille qu'on t'avais pas vue...en gros depuis que cana est parti de chez nous...ou alors par intermittence. et sinon l'om t'interresse toujours?
Mehdi Benatia, le défenseur qui monte Le défenseur marocain d’Udinese est en plein boum mercredi 3 novembre 2010 / par Ali Makhan Mehdi Benatia est en forme : déjà deux buts pour le défenseur de 23 ans, arrivé cet été en Italie. A Udinese, on se frotte les mains d’avoir débauché le Marocain pour rien. Aux Lions de l’Atlas de savoir en profiter. Passer de la Ligue 2 à la Serie A, tel est le défi que s’est fixé Mehdi Benatia cet été. Et le nouveau défenseur d’Udinese est en train de relever le challenge, quelques mois seulement après son arrivée. Pas mal pour un gamin de 23 ans. Difficile de s’imposer dans un pays où la défense est élevée au rang d’art. Dur de trouver sa place dans un championnat qui a révélé Franco Baresi, Paolo Maldini, Alessandro Nesta, Fabio Cannavaro... Pourtant, tranquillement mais sûrement, Mehdi Benatia, débarqué cet été de Clermont Foot, est en train de s’imposer comme l’un des meilleurs à son poste en Serie A. Car si l’Udinese vient d’enchaîner quatre victoires de rang, elle le doit en partie à son international marocain. Meilleur défenseur d’Italie Le défenseur, qui sait se muer en buteur, est au sommet de son art en ce début de saison. Les statistiques parlent d’ailleurs d’elles-mêmes : huit matches (dont sept titularisations) et déjà deux buts. En deux mois, le Lion de l’Atlas a déjà battu son record de buts. Deux réalisations décisives puisque, à chaque fois, c’est lui qui a offert les trois points de la victoire face à Cesena (1-0, 6e journée) et face à Palerme (2-1, 8e journée). Efficace devant, le Marocain est également solide derrière. Sûr dans ses interventions, Benatia assure et rassure une défense qui avait mal débuté la saison. Des prestations de haute volée qui font de l’ancien Marseillais l’un des meilleurs défenseurs du Calcio. Avec une moyenne générale de 7.25, le défenseur marocain survole le classement et surclasse par la même occasion des joueurs autrement plus reconnus, dont le défenseur de la Juventus Zaccardo (6.69) et celui de l’Internazionale Lucio (6.63). Une bonne nouvelle pour Eric Gerets, le sélectionneur des Lions de l’Atlas, qui l’a convoqué pour la rencontre amicale face à l’Irlande du Nord, le 17 novembre à Belfast.
Tant mieu pour lui. dommage qu'il n'ait jamais vraiment eu sa chance chez nous meme si il avait une concurrence acharné (Zubar)
Johnny Ecker, que faites-vous actuellement ? Je joue au club du Stade Beaucairois 30 depuis l'année dernière. J'ai progressivement passé mes diplômes à la fin de ma carrière professionnelle. J'ai obtenu mon brevet d'Etat avec mention, ce qui me permet ensuite de passer le BE 2. Sinon, j'ai pas mal de projets en tête. Des gens m'ont proposé pas mal de choses dans le milieu du football mais ce n'était pas ce qui m'intéressait. Je n'étais pas prêt pour commenter des matchs. J'ai refusé ce genre de choses parce que je voulais un peu sortir de ce circuit. Êtes-vous impliqué d'une autre manière dans le club ? Oui, j'aide un peu mon ami Youssef Bouzar qui est entraîneur. J'amène un peu mon expérience. On va en avoir besoin parce que cette saison va être difficile puisqu'on vient de monter en DH. Sinon, j'ai pris en charge les débutants du club depuis la saison dernière. Je ne pensais pas prendre autant de plaisir en commençant à entraîner. J'amène mon expérience aux plus jeunes et ça me plait. Pourquoi avez-vous décidé de reprendre une licence au niveau amateur ? Après une blessure à la cheville qui m'a laissé sur le carreau pendant deux mois, je voulais raccrocher. J'ai donc arrêté ma carrière professionnelle, même si j'ai été sollicité pour continuer en National. J'ai rejoint un ami qui était joueur à Bagnols-sur-Cèze. Je suis parti un an. C'était un peu l'inconnu parce que je n'avais pas entendu que de belles choses sur le monde amateur. Et puis j'ai pris beaucoup de plaisir. Il y avait du respect de la part des adversaires mais aussi des arbitres. J'ai continué et après ça, je suis revenu à Beaucaire parce que le maire m'a demandé de venir donner un coup de main. On est monté dès la première année et là, on joue le maintien. La transition entre le monde professionnel et le monde amateur est-elle difficile ? Non. Si un joueur décide de mettre un terme à sa carrière par lui-même, c'est qu'il l'a décidé. J'avais le choix. D'autres ne l'ont pas eu et se sont retrouvés en amateur parce qu'ils n'avaient plus de clubs. J'ai été très bien accueilli. Le football est tout pour moi. J'ai commencé à jouer à l'âge de 5 ans et je vais en avoir 38. Si je m'étais arrêté brutalement, je pense que ça m'aurait énormément manqué. « Les gens retiennent mon but à Parme et mon plâtre » Est-ce aussi un moyen de se prémunir contre la « petite mort » du footballeur ? Oui. D'anciens collègues m'ont toujours dit de profiter tant qu'on peut jouer. Aujourd'hui, je ne peux pas dire ce que signifie cette petite mort parce que j'y suis toujours. Le jour où je serais obligé de mettre un terme au football, ce sera peut-être difficile parce que le goût du sport me manque. Je fais du tennis à côté. Mais honnêtement, je n'ai pas envie de me mettre au footing ! Pensez-vous à une reconversion en dehors du football ? J'y ai pensé. Au moment où j'ai arrêté il y a quatre ans et demi, j'avais des plans pour ouvrir un futsal à Beaucaire mais je n'ai pas trouvé le terrain. J'ai été sollicité pour commenter des matchs mais ça ne m'a pas plu non plus. Je voulais rester dans la région avec ma femme et mes enfants. Je voulais prendre le temps de la réflexion. Je suis en contact avec pas mal de personnes. On m'a proposé du travail dans l'événementiel et c'est quelque chose qui peut me plaire. Mais je prends mon temps. Vous avez joué dans plusieurs clubs dans votre carrière. Retenez-vous un souvenir en particulier ? J'ai des flashs. Je n'ai pas eu le même parcours que les autres joueurs qui sont passés par les centres de formation. J'ai commencé tard et j'ai travaillé avant de devenir footballeur professionnel. C'est peut-être pour ça que j'ai réussi. C'est toute ma carrière en fait. J'ai fait de ma passion mon métier. Mon passage à Marseille a été exceptionnel parce que j'en suis supporteur. Evoluer au stade Vélodrome devant sa famille, ses amis et 60 000 personnes, ça reste un grand souvenir. J'ai passé trois superbes années à Lille aussi. Mes années à Nîmes, mon club de cœur, ont été très fortes. J'ai eu un passage à Guingamp plus difficile mais j'ai beaucoup appris. Les gens se rappellent aussi de certaines choses de moi : j'ai joué huit mois avec un plâtre au poignet, j'ai marqué un but extraordinaire au tour préliminaire de la Ligue des Champions contre Parme. Ils se rappellent aussi d'un joueur rugueux et fougueux, c'est mon image. Je garde aussi un souvenir des mauvaises choses comme les blessures. Eprouvez-vous un regret sur un choix de carrière ? Beaucoup de gens m'ont dit que j'aurais pu aller en Angleterre parce que le jeu me convenait. Je peux voir ça comme un regret parce que je ne parle pas un mot anglais et ça me gêne ! Mais je n'ai aucun regret de mes passages dans les clubs où j'ai joué. « Je ne veux pas entraîner en pro » Pouvez-vous lever le mystère sur votre fameux plâtre au poignet ? Ce n'était pas un mystère. J'ai eu une grosse opération au niveau du scaphoïde. Il a fallu faire une greffe. Il faut deux mois pour que ça prenne et moi, ça a mis plus de trois mois, il fallait bien que je le protège. On a réussi à faire une attelle en résine pour que je puisse jouer. Ça a été difficile, notamment lors d'un match de Ligue des Champions avec Marseille. L'arbitre m'avait fait enlever tout le bandage pour voir si je n'avais pas caché quelque chose. Avez-vous conservé des contacts avec des anciens joueurs ? Quand vous passez à Marseille, vous avez beaucoup de contacts. C'est un peu comme un « variété club de France ». On se retrouve parfois pour des inaugurations ou des évènements caritatifs. C'est une famille. Je garde aussi des contacts à Nîmes. Je n'en ai plus à Lille. Pensez-vous entraîner un jour un club professionnel ? Pas du tout. Je passe mes diplômes parce que je dois le faire. Ça me prend un peu de temps. Au niveau football, ça ne me dérange pas parce que je sais de quoi je parle mais il y a un tronc commun qui est au niveau du bac. Je ne suis pas allé bien loin à l'école. Pour mon brevet d'Etat, j'ai dû bosser. Et je devrais aussi m'y remettre pour le DEF. Mais je ne suis pas sûr de le vouloir. Je suis plus parti pour prendre en charge des enfants avec leur façon de faire. J'apprends beaucoup de choses à leur contact. Si on m'avait proposé d'aider quelqu'un dans un centre de formation, pourquoi pas ? Mais je n'ai pas eu l'opportunité. Mon club de cœur, c'est le Nîmes Olympique. Ça n'a pas pu se faire et je pense que ça ne se fera jamais
Ah, Johnny Ecker... Quel souvenir. Il fallait oser tout de même: Aligner Cristanval capitaine et Ecker dans le plâtre pour la venue du Real au vélodrome! Pour la postérité:
Pirès est officiellement attendu à Aston Villa. Foot - Transferts Pires attendu cette semaine Gérard Houllier a rencontré mardi les représentants de Robert Pirès afin de finaliser les conditions de l'arrivée du milieu de terrain français, annoncé mardi matin par L'Equipe. Une éventualité qui réjouit Gary McAllister, l'adjoint du manger français, sur le site officiel d'Aston Villa: «Ce serait parfait. Il s'est bien entretenu avec Arsenal et sera dans de bonnes conditions pour s'entraîner avec nous. C'est le genre de joueur que l'on ne peut qu'accepter dans un groupe après tout ce qu'il a réussi». L'ancien international français est attendu chez les "Villans" en fin de semaine.
Ca fait plaisir qu'il retrouve un club, c'est mon joueur préféré Après le niveau ... Arsenal -Villa n'a pas encore eu lieu ??