Taye Taiwo est en difficulté au Milan AC, où il joue très rarement. Il est loin d’avoir retrouvé le statut de titulaire incontournable dont il disposait à l’Olympique de Marseille. Alors forcément, les souvenirs de son passage sur la Canebière se bousculent souvent dans sa tête, comme il l’a confié à L’Equipe. « Ce n’est pas parce que je joue au Milan que je vais oublier Marseille. Ah oui, l’OM, c’est… (il écarquille les yeux de plaisir). Lundi (demain) et mardi matin, nous serons en repos, et je vais venir faire un tour à Marseille. Je suis trop content de la qualification de l’OM en 8es de finale de la C 1. José Anigo, c’était mon papa quand j’étais là-bas. Mbia, c’est mon ami no 1. Il est venu me voir deux fois ici à Milan. Et les supporters marseillais (grand sourire)… Ils étaient présents à l’extérieur comme à domicile. J’ai gardé des DVD de l’époque où je jouais à l’OM. Je regarde de temps en temps et ça me fait plaisir », a-t-il raconté.
Parmi la constellation d’attaquants ayant flambé entre la deuxième partie des années 1990 et le début des années 2000, Fernando Morientes figure assurément en bonne position. Formé à Albacete, l’attaquant se fait un nom à Saragosse, club avec lequel il inscrit 30 buts en 73 matches. Des statistiques plus qu’honorables, qui font du natif de Cilleros une cible privilégiée pour le Real Madrid. C’est donc fort logiquement que l’avant-centre prend la direction du club merengue, avec lequel il écrit les plus belles pages de son histoire. L’international espagnol se régale au sein de l’écurie madrilène, inscrivant au passage 96 buts. Formant notamment un duo de choc avec Raul, il remporte à trois reprises la Ligue des Champions. Oui mais voilà, l’ère des Galactiques marque la fin du parcours de Morientes au Real, et l’international ibérique tente alors de se relancer le temps d’un prêt à l’AS Monaco. Le joueur brille de mille feux sur le Rocher, emmenant le club de la Principauté en finale de la plus prestigieuse des compétitions de clubs. Mais à son retour à la Casa Blanca, l’avant-centre déchante à nouveau et quitte donc une bonne fois pour toute la capitale espagnole. Il multiplie ensuite les expériences, de Liverpool à Marseille en passant par Valence, sans vraiment convaincre. Et c’est à l’été 2010 que celui que l’on surnomme Nando décide de raccrocher les crampons. Pour autant, l’ancien buteur n’a aucunement l’intention de quitter le milieu du football, et envisage désormais d’embrasser la carrière d’entraîneur. C’est ce qu’il confie à Radio Federación : « Le sport, c’est ce que j’ai fait toute ma vie. La Fédération Espagnole me donne l’occasion de suivre un programme intensif et d’obtenir un diplôme. À l’avenir, je pense que le métier d’entraîneur peut être une bonne chose. C’est un programme intensif, mais tous les cours sont cohérents, il est facile d’assimiler les choses. Il y a des choses que l’on sait déjà, et d’autres que l’on apprend. Je suis encore dans la peau d’un joueur, et ils nous incitent à changer de peau pour endosser celle d’entraîneur ». Tout un programme !
(so foot) Vedran Runje, l’ancien portier du Standard de Liège, de l'OM et du RC Lens, se retrouve sans club. Et visiblement, pour passer son temps libre, le bouillant Croate n’a pas trouver mieux que de s’épancher dans Sport/Foot magazine sur les habitudes vestimentaires des belges. « Quand je suis arrivé pour la première fois en Belgique en 1998, j’ai été frappé de voir combien les gens s’en foutaient de la manière dont ils étaient habillés. Maintenant ça va un peu mieux. Je ne veux pas paraître dénigrant mais certains sortaient quasi en pyjama en plein centre-ville ». Il ajoute à propos de son éviction des cages de l’OM dès l’arrivée de Fabien Barthez, que « c’était quasiment une affaire d’état. Moi j’étais un petit croate, on pouvait me bouger. Barthez n’est pas arrivé dans un club où le titulaire était un français. Si en Croatie on fait la même chose, on termine à la Haye pour crime de guerre» . Et la Belgique assignée pour crime contre la mode ? En tout cas, on a trouvé une solution pour lutter contre la langue de bois des footballeurs : le chômage.
pas de retour à l'OM pour Taiwo BONNE ET HEUREUSE ANNEE 2012 que l'on retrouve notre OM et son jeu DROIT AU BUT
À 38 ans, Robert Pirès est toujours sans club. Mais l’international tricolore ne compte pas raccrocher les crampons dans l’immédiat. Interrogé par L’Équipe, le milieu de terrain espère rebondir en Chine... ou en Inde. « Le football permet de voyager. J’attends plutôt des propositions du côté de l’Asie. Aujourd’hui, la nouvelle destination, c’est la Chine. J’en suis au stade des négociations. J’ai également des touches en Inde. C’est cool. Ce serait une destination sympa à tous les niveaux. Je me prépare à cette éventualité de vivre une nouvelle aventure. (…) Je ne suis pas pressé non plus. J’attends la fin janvier pour voir ce qui va se passer avec la Chine. Comme son Championnat va bientôt reprendre, ça va aller vite. Si je n’ai rien d’ici là, j’arrêterai. » Après Anelka, Pirès sera-t-il le prochain champion d’Europe 2000 à rallier le continent asiatique ?
[h=1]Les confessions intimes d'Hatem Ben Arfa[/h]http://www.eurosport.fr/football/pr...2/ben-arfa-se-confesse_sto3107265/story.shtml
I l remonte puissance 100 dans mon estime le gamin et il partait de très loin. Bravo pour ce meaculpa et ce travail. Si quelqu'un a l'entretien au complet je suis preneur.