Depuis son arrivée en Europe, il remporte tous les ans au moins un titre. Il adore jouer en bleu et blanc. Vous l'aurez compris, « Title-man » n'est pas un Gunner…mais un ancien joueur de l'OM. Il n'est pas non plus à l'affiche du film The Avengers. Son identité peut être révélée au grand jour aujourd'hui : Lucho Gonzalez. Les Marseillais ne l'ont jamais démasqué et pourtant il y a eu quelques signes précurseurs. Dès son arrivée, l'Argentin permet de soulever un premier trophée (une Coupe de la Ligue) après 17 ans de disette et dans la foulée un titre de champion qui boudait le Vieux-Port. Mais il faut le reconnaître, la Ligue 1 s'est révélée être la kryptonite de ce super héros. 1 an = 1 titre (minimum) Malgré sa baisse de régime à Marseille, Lucho a des stats impressionnantes. Depuis 2003, l'Argentin a gagné au minimum un titre tous les ans sauf en 2005 (avec River Plate), seule année stérile pour l'Argentin. Champion de la D2 argentine avec Huracan, champion d'Argentine avec River, champion du Portugal avec Porto et champion de France avec Marseille, Lucho a soulevé le titre de champion national dans tous les clubs où il est passé. 5 titres de champion en 4 ans et demi Là où Title-man tutoie les personnages de Comics ou autre Marvel, c'est quand l'Argentin détient plus de titres de champion que d'années jouées dans un club. Explication : el Comandante a gagné 5 titres de champion du Portugal en 4 ans et demi (il est arrivé cet hiver de Marseille). En clair, avec Lucho, Porto a toujours été champion. Ce pouvoir n'a pas suffi pour convaincre la France. Au Portugal, il amène trophées et argent. Title-man restera le héros des Dragons. gary.dejesus@le10sport.com Si on avait pu le garder encore 5 mois...Merci Labrune
Ça serait très con en plus, il est dans son cocon il commence à s'exprimer pleinement, le staff et les supps le connaissent bien ... Il aurait tout à perdre à changer de club maintenant .
Newcastle: Ben Arfa affole les recruteurs italiens! Le Daily Mirror révèle en ce début de semaine que l'Inter Milan serait en effet entré en contact avec la direction de Newcastle afin de prendre les premiers renseignements. Bien que sous contrat avec son club jusqu'en 2015, l'international français serait également sur les tablettes du Milan AC afin de succéder à un Robinho en route pour le Brésil, mais aussi sur celles du nouveau champion d'Italie, la Juventus. Les Bianconeri aurait en effet couché le nom de Ben Arfa sur leur short-list afin de succéder à Alessandro Del Piero la saison prochaine... http://pro.footeo.com/mercato/09-mai-2012/newcastle-ben-arfa-affole-les-recruteurs-italiens-9829
En préambule à sa conférence de presse du jour, Laurent Blanc a révélé ce lundi, depuis Clairefontaine, que le kiné de l'équipe de France, également en charge du groupe pro de l'OM depuis de longues saisons, Alain Soultanian, avait été victime dans la nuit de dimanche à lundi d'un infarctus. Conduit en urgence par le SAMU à l'hôpital de Versailles, l'intéressé, après avoir été pris en charge, serait hors de danger, selon le sélectionneur tricolore, qui a tenu à lui adresser un message: "Je lui fais un grand coucou et une bise de la part du staff et des joueurs."
Jean-Claude Dassier n'est pas le seul à garder un souvenir amer de son départ de l'OM. Car le jour-même où l'ancien président marseillais a choisi de s'exprimer dans notre quotidien et de régler ses comptes, Lucho Gonzalez est lui aussi revenu sur les raisons de son retour à Porto en janvier dernier, dans Le Parisien. «Lors de ma deuxième saison, le groupe a perdu son âme, les joueurs se sont réfugiés dans l'individualisme, explique l'international argentin, champion avec l'OM en 2010. On a échangé avec le coach, mais il y a des choses qui tu peux difficilement modifier : les mentalités, le comportement. Je ne me sentais plus un joueur important de l'équipe». S'il ne garde «aucune rancoeur envers Didier Deschamps», Lucho s'inquiète en revanche pour l'avenir du club phocéen. «L'équilibre précaire est une fatalité pour l'OM, dit-il. On dirait qu'il est inscrit dans les gênes du club».
Déjà postée par mes soins sur un autre topic, mais je pense que cette interview a plutôt sa place ici en fait : Interview de Lucho Gonzalez dans le Parisien/Aujourd'hui : "Certains ont fait croire que les problèmes de l’OM étaient de ma faute, alors que c’était tout un groupe qui était désorganisé. Lors de la deuxième saison, le groupe a perdu son âme, les joueurs se sont réfugiés dans l’individualisme. On a échangé avec le coach, mais il y a des choses que tu peux difficilement modifier : les mentalités, les comportements". "A Porto dès le début de la saison, on met en place les bases de la suivante. À Marseille je n’ai absolument pas vu cela. À Porto, la mentalité est de construire un collectif sur trois, quatre ans. À Marseille quand je suis arrivé, il y avait un projet similaire, avec un nouvel entraineur. Les choses n’ont pas tourné comme elles auraient dû. Le projet de départ est tombé à l’eau. L’équilibre précaire est une fatalité à l’OM, on dirait qu’il est inscrit dans les gènes du club". Tout est dit ... et il a raison le bougre ...
Lucho fait une fin de saison plus qu'honorable à Porto, Bocaly et Hilton sont Champions de France, HBA explose à Newcastle. Si tu veux donner de l'élan à ta carrière, quitte l'OM et évite Deschamps ...
Interview de Lucho Gonzalez dans le Parisien/Aujourd'hui : "Certains ont fait croire que les problèmes de l’OM étaient de ma faute, alors que c’était tout un groupe qui était désorganisé. Lors de la deuxième saison, le groupe a perdu son âme, les joueurs se sont réfugiés dans l’individualisme. On a échangé avec le coach, mais il y a des choses que tu peux difficilement modifier : les mentalités, les comportements". "A Porto dès le début de la saison, on met en place les bases de la suivante. À Marseille je n’ai absolument pas vu cela. À Porto, la mentalité est de construire un collectif sur trois, quatre ans. À Marseille quand je suis arrivé, il y avait un projet similaire, avec un nouvel entraineur. Les choses n’ont pas tourné comme elles auraient dû. Le projet de départ est tombé à l’eau. L’équilibre précaire est une fatalité à l’OM, on dirait qu’il est inscrit dans les gènes du club".