La bonne affaire du Racing Le Racing enchaîne une sixième victoire face à Biarritz (11-23) et intègre le groupe des barragistes aux dépends de Grenoble battu à domicile par Clermont (10-17). Agen sort de la zone de relégation grâce à sa victoire sur Mont-de-Marsan (9-3). Sébastien Descons et le Racing montent en puissance. (L'Equipe) Le Racing en force Depuis le début de l'année, le Racing-Métro 92 effectue une montée en puissance qui s'est confirmée avec cette victoire sur le Biarritz Olympique (11-23). Une sixième victoire de rang qui propulse les Ciel et Blanc dans le groupe des baragistes (6e). Face au BO, les Franciliens ont fait jouer leur puissance, tant en attaque qu'en défense et ont profité de l'impuissance manifeste des Basques qui n'ont jamais pu trouver la solution. La fin de la rencontre aura été gâchée par un stamping acharné de Dimitri Yachvili sur Henry Chavancy. Un geste qui ne s'imposait pas et qui pourrait priver le Biarrot du derby de la semaine prochaine. Grenoble tombe à domicile Grenoble avait deux objectifs cette saison. Se maintenir et rester invaincu à domicile. Pour le maintien, on peut penser que c'est bien parti (voire acquis). Pour l'invincibilité au Stade des Alpes, c'est fichu. Il faut dire que les Clermontois n'étaient pas venu dans l'idée de faire des cadeaux (10-17). Un essai rapide de Nalaga (13e) donnait le ton d'une rencontre disputée sous les flocons. Mais les Grenoblois ne sont pas du genre à abdiquer. En fin de rencontre, l'inévitable Pélissier marquait un essai qui allait permettre à son club de prendre le bonus défensif. Tout n'était pas perdu malgré la fin de l'impressionnante série de victoire Grenobloise qui reste bloquée à 25 (Pro D2 et Top 14 confondus). Agen sauvé ? Il est encore trop tôt pour se permettre une projection sur la fin de la saison, mais ce soir, Agen n'est plus relégable. Grâce à leur victoire sur le Stade Montois (9-3), les Agenais vont pouvoir passer une semaine tranquille et préparer un déplacement capital à Bordeaux la semaine prochaine. La partie a pourtant été longue à se décanter face à des Montois qui auront finalement manqué de physique. Agen n'a pas encore son destin en main et doit également son répis à la défaite de l'UBB. Autant dire que le match de la semaine prochaine sent déjà la poudre. Montpellier à la peine Montpellier a battu l'Union Bordeaux-Bègles (15-13) et renforce sa place de baragiste. Mais que ce fut dur. Face à des Girondins qui ont fait preuve d'un grand courage mais de trop d'indiscipline, les Héraultais ont pu s'appuyer sur la botte de Benoît Paillaugue, auteur de tous les points de son équipe, pour sortir vainqueurs d'une fin de match très tendue.
Les Gallois en imposent Deux essais, une mêlée robuste, un buteur efficace : le pays de Galles, en l'emportant à Rome, 26-9, face à l'Italie, est toujours en position de remporter le Tournoi. A l'heure de jeu, l'ailier Alex Cuthbert plonge en coin et inscrit le deuxième essai gallois, à Rome, celui de la victoire. (Reuters) Pluie, combat, match haché et deux coups de grâce, deux essais signés Davies en contre et Cuthbert, alors que son équipe était en supériorité numérique : le pragmatisme gallois a eu raison des Italiens, décevants, indisciplinés et privés de leur guide, Sergio Parisse, suspendu, dont l’absence a été préjudiciable, ce samedi. En première période, les deux buteurs, Burton et Halfpenny ont doucement meublé le score. Puissants devant, utilisant le jeu au pied long, et supérieurs en mêlée fermée, les Gallois basculent en tête à la mi-temps, 9-6. Seule occasion notable, à la 31e, le centre Gonzalo Canale arrête in extremis d’une cuillère l’ailier gallois Alex Cuthbert qui part à l’essai et c’est bien tout ce qu’il faut retenir des quarante premières minutes, disputée à Rome sous une pluie battante. Les Italiens, incapables de conserver le ballon et d’imprimer du rythme, n’ont jamais été vraiment à leur avantage. Cuthbert perce plein fer Coup de théâtre en tout début de seconde période : chandelle et récupération galloises, coup de pied tactique à suivre, rebond favorable pour le centre Jonathan Davies qui pousse au pied, ramasse et marque sans opposition (45e, 16-6). Burton et Halfpenny continuent de garnir le score jusqu’à l’heure de jeu, l’expulsion temporaire du pilier italien Martin Castrogiovanni et la belle accélération des trois-quarts gallois pour lancer, après un écran et un appel de balle, l’ailier Alex Cuthbert, plein fer, pour l’essai en coin, transformé (61e, 26-9). Les Italien, décevants, ne sont toujours pas parvenus à confirmer leur belle victoire face à la France, en match d’ouverture du Tournoi, le 3 février dernier (23-18 ), tandis que le pays de Galles, qui compte désormais deux succès en trois matches, se positionne pour tenter de remporter cette édition. R.E.
j'ai ps vu les 2 premiers matchs donc difficili de juger, mais bon on est assez faible quand même, plutot bonne premiere mis temps, mais on a absolument rien montré en 2eme ..
le combo Joubert + l'indiscipline française est dévastateur ....les anglais le savent, c'est toujours la même chose ils n'ont même pas à forcer on se met à la faute tout seul mais quand en plus t'as le Craig Joubert pour voir certaines choses dans un sens et pas dans l'autre c'est tranquille Et le coaching de PSA pour nous achever
Totalement d'accord avec ascde. Faut bien insister sur le coaching désastreux de Saint-André,j'ai rarement vu pire...
On peut parler de beaucoup de choses mais le.tournant ce soir ca a surtout ete ces deux penalites rate par parra. Si tu les passes. Les anglais ne te revoient jamais. A 16-9 on aurait gere
«Coaching inopérant» Finaliste du Championnat de France avec Clermont en 1994, international A au centre, entraîneur du LOU de 2007 à 2012, Raphaël Saint-André décrypte pour L'Equipe.fr la défaite (23-13) des Bleus face à l'Angleterre, samedi, à Twickenham. Entré trop tard dans le match, à la 67e, le demi de mêlée Maxime Machenaud n'a pas pu peser sur le match au moment où la France baissait d'intensité, physiquement et mentalement. (L'Equipe) CINQUANTE BONNES MINUTES «Pendant presque une heure, les Français ont été très agressifs. On les a vu présents dans les zones de combat, et aussi excellents en conquête, que ce soit en touche (92% de réussite, contre 88% pour les Anglais) ou en mêlée (83% contre 71%). Ils ont su, de plus, bien varier le jeu, en envoyant, par exemple, Bastareaud et Picamoles sur la ligne d’avantage et en jouant dans le dos de la défense anglaise. Pour finir sur le positif, ils ont bien défendus, avec très peu de plaquages loupés (10 %, contre 16 % de plaquages anglais manqués).» TROP D'INDISCIPLINE «L’indiscipline est liée au surplus d’agressivité. Il y avait moins de maîtrise, face à l’Angleterre, et donc les Français ont été pénalisés. Par un arbitre très tatillon, il faut le préciser. Cette indiscipline leur coûte le match. Ils ont été tellement présents dans le combat qu’ils n’ont pas su prendre du recul. Le curseur de la motivation, on le place entre l’agressivité et la maîtrise. Beaucoup de gens pensent que la motivation, c’est de l’agressivité. Mais c’est plus complexe que ça : en fait, il faut équilibrer le curseur sur les deux dimensions. Si tu es trop dans la maîtrise, comme par exemple face au pays de Galles, tu perds. Et si tu es trop dans l’agressivité, comme samedi face aux Anglais, tu es pénalisé.» GROS COUP DE MOU «A partir de l’heure de jeu, de façon inexplicable, les Français ont perdu leur énergie. Le jeu de l’équipe de France a baissé d’intensité de façon manifeste. Je ne suis incapable de vous dire pourquoi mais je constate que les Français n’ont pas existé dans les vingt dernières minutes. Il me semble que l’essai de Tuilagi (54e), un essai «billard à trois bandes», contre le cours du jeu, casse les jambes et le moral des Français. L’équipe se délite à cause d’un coup de moins bien physique et d’un coup au moral, qui arrivent en même temps.» UN COACHING INOPERANT «Je me demande pourquoi François Trinh-Duc sort à la cinquantième minute. A ce moment-là, il est bien dans son match. La seule explication, c’est qu’il est sonné sur un plaquage. Faire sortir Kayser et Domingo à la cinquantième et les remplacer par Debaty, un pilier qui apporte toujours, d’habitude, quelque chose quand il entre, et Szarzewski, qui était il y a peu le talonneur titulaire, ce n’est pas incohérent. En revanche, il me semble que Machenaud entre un peu trop tard, parce que Parra commence à faiblir à l’heure de jeu. Malheureusement, avec l’entrée des remplaçants, l’équipe de France n’est pas parvenue à avancer et à gagner ses duels.» Propos recueillis par Richard ESCOT
Non,ça on sait plus faire gérer des fins de matchs...Le tournant du match c'est la sortie de Trinh-Duc.Pour une fois que je le sentais bien dans son match. Bref,j'ai pas trouvé qu'il y avait tout à jeter sur ce match,et même si on avait joué comme ça contre l'Italie et les Gallois on serait sans doute pas à zéro points.J'ai beaucoup aimé l'association Fofana-Bastareau et pourtant je suis pas fan de Bastareau,mais je trouve qu'il apporte des choses hypers interessantes.Huget aussi,il a fait dégoupiller le 10 anglais dans son jeu(malheureusement ça n'a pas eu d'incidence sur ses coups de pieds...).Après,la mêlée titulaire fait pas un match dégueu non plus,elle tient même plus que tête aux Anglais,pareiul pour la touche où Samson lisait bien les lancers adverses. Mais après la 50éme minutes,tout s'est cassé la gueule.Y a un monde physique entre les Anglais et les Français,on a un énorme trou d'air sur ce point au moment où eux ils ont été en pleine bourre.Ils marquent un essai de châtrés,ils sont hypers réalistes au pied.Mais la rentrée de Michalak,je m'en remet pas.J'ai vu des matchs catastrophiques mais j'ai l'impression qu'il a absolument tout raté,même des passes à la main à deux mètres de son coéquipier. Si on maintient cet esprit,on sera pas cuillère de bois quand même,mais si on aborde les deux derniers matchs comme on l'a fait avec l'Italie,attention à la claque.Et peut-être que ce ne serait pas si dramatique que ça au final de se la prendre cette baffe...
comparatif arrivée france et italie dans le tournoi ... 1910 1911 Ecosse 1912 1913 1914 1920 Irlande 1921 Ecosse, en Irlande 1922 nul contre écosse et en angleterre 1923 irlande 1924 écosse 1925 1926 1927 angleterre 1928 Galles = 8V, 2N 2000 Ecosse 2001 2002 2003 Galles 2004 Ecosse 2005 2006 nul au pays de Galles 2007 en Ecosse, Galles 2008 Ecosse 2009 2010 Ecosse 2011 France 2012 Ecosse 2013 France +...? = 10V, 1N
La presse néo-zélandaise confirme la venue du All Black René Ranger à Montpellier Sky's Reunion, un média néo-zélandais, a confirmé la venue du centre all black, René Ranger (26 ans ; 3 sélections), à Montpellier la saison prochaine. Le centre des Bleus d'Auckland arrivera en France lorsque la saison de Super 15 sera terminée.
Des médecins préleveurs mandatés par l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) ont contrôlé une trentaine de joueurs toulonnais mardi, juste avant l’entraînement de l’après-midi. Ces contrôles, sanguins et urinaires, interviennent après l’annonce la semaine dernière dans nos colonnes du contrôle positif à la cathine et à la morphine du pilier toulonnais de nationalité galloise Eifton Lewis Roberts -transféré depuis à Sale - à l’issue de la dernière finale du top 14 remportée par le Stade Toulousain (18-12). Un contrôle qui s’ajoute à celui de Steffon Armitage, Toulonnais également contrôlé positif à cette même morphine lors du même match. L’international anglais avait été mis hors de cause par la commission disciplinaire de la FFR après que l’un des médecins du club reconnaisse lui avoir prescrit à la mi-temps de la rencontre un antalgique codéiné. Lewis-Roberts, dont la contre-expertise, positive, a été effectuée le 16 janvier dernier, invoque lui aussi avoir ingéré de la codéine et un autre médicament prescrits par le staff médical du RCT. La procédure qui le concerne est en cours
Montpellier: Le deuxième ligne Aliki Fakaté vers Toulon ? Le solide deuxième ligne de Montpellier, Aliki Fakate (27 ans ; 2m03, 127kg) pourrait porter les couleurs de Toulon la saison prochaine. RMC annonce même qu'un accord aurait été trouvé. Le contrat du joueur héraultais prenait fin au terme de la saison. Fakaté a participé à quatorze rencontres de championnat cette année.