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Sciences, recherches et débats associés

Discussion dans 'Les penseurs du forum' démarrée par Phénix., 8 Janvier 2012.

  1. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

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    Je parlais de notre civilisation et non de l'humain. En effet l'humain continuera d'évoluer dans son environnement. Mais il est possible qu'une civilisation décline en terme de progrès, technologiques, scientifiques...
     
  2. hasbeen

    hasbeen Well-Known Member

    Commentaires de blog:
    0
    une bonne grosse mutation de virus, et hop... il y a plus personne....
    il suffit d'un rien des fois pour faire disparaitre une race..
     
  3. bonobo

    bonobo #CaAussiCLeffetBielsa

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    Oui il est évident que l'humain continuera d'évoluer dans son environnement si celui ci reste viable pour lui...
    Bon meme si en ce qui concerne les virus aucun n'a réussi son coup jusqu'à présent...
     
  4. Stetho

    Stetho WE'VE GOT PAYET

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    Ca marche pas comme ça les mutations heureusement x)
     
  5. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    ... grace à roselyne !
    on ne l'a pas assez remercié pour ça !
     
  6. beethoven

    beethoven membre (nle)

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    c'est aussi grâce, pendant très longtemps, aux moyens de locomotions qui on fait que les voyages duraient très longtemps et donc moins de risque de propagation, ne pas sous estimer ce facteur dans l'histoire de l'humanité, le déplacement qui à été facilité que très récemment grâce au avancées technologiques...

    dans des centaines de millions d'années moi je vois bien les cafards sauver la terre...:innocent::crise:
     
  7. Suix

    Suix Guest

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    Ils ont été pas mal sur le SIDA. Z"ont merdé sur le reste.
     
  8. moriturio

    moriturio Well-Known Member

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    Oui. Et puis, en général, il y a toujours une partie de la population qui est naturellement immunisée à un nouveau virus. Les différences génétiques ont toujours du bon. Il faut les entretenir...
     
  9. Suix

    Suix Guest

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    Un continent se cache sous La Réunion et l’île Maurice


    [​IMG] Le continent «Mauritia» se cache sous l'île de La Réunion (à gauche) et de l'île Maurice (à droite), selon une étude publiée le 24 février 2013. Capture Google Maps

    SCIENCES – Il se serait détaché il y a quelque 60 millions d'années de ce qui constitue l'actuelle île de Madagascar...

    Ce n’est pas l'Atlantide, mais quand même. Sous l'île Maurice et La Réunion, se cache en effet un «micro-continent» préhistorique, rapporte la revue scientifique britannique Nature Geoscience ce lundi.
    Ce fragment de continent, baptisé Mauritia, se serait détaché voici quelque 60 millions d'années de ce qui constitue l'actuelle île de Madagascar. Cette séparation serait survenue au moment où cette grande île dérivait en s'éloignant de l'Inde. Il aurait alors été recouvert, depuis lors, par d'énormes quantités de lave remontée du coeur de la Terre, suggère l'étude publiée dans la revue scientifique.

    Plus fréquent qu’on ne le pense



    Pour parvenir à ces conclusions, les scientifiques ont donc analysé des grains de sables d'origine volcanique d'une plage de l'île Maurice. Parmi ces grains de sable, ils en ont découvert de très anciens, ramenés probablement du centre de la Terre à la surface par d'importantes quantités de lave. La formation des continents est en effet souvent associée à des «panaches», ces remontées de roches extrêmement chaudes en provenance du manteau terrestre.


    Et selon les scientifiques, des fragments de continent semblables à Mauritia pourraient être bien plus fréquents qu'on ne le pense. «Nous avons pu montrer que les fragments de continent ont continué à se déplacer presque exactement au-dessus du panache volcanique de La Réunion, ce qui explique pourquoi ils sont noyés par des roches volcaniques» et n'avaient jamais été identifiés auparavant, indique dans un communiqué Bernard Steinberger, du centre de recherches allemand GFZ, rapporte le JDD.


    D'autres fragments de continent pourraient ainsi joncher l'océan Indien, conclut l'étude.


    M.Gr.
     
  10. Arturo Bandini

    Arturo Bandini tlhlngan maH taHjaj

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  11. Phénix.

    Phénix. Philosophe

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  12. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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  13. romain013

    romain013 Pig Brother

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  14. Phénix.

    Phénix. Philosophe

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    Que nous nous prendrions les débris résultant d'un collision de Mars avec un autre objet.
    Plutôt bien leur méthode, pour moi.
     
  15. romain013

    romain013 Pig Brother

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    C'est clair que c'est bien. Mais pense qu'un bâtiment de ce type puisse être démonté étage par étage sans tout dynamiter, je trouve ça dingue... Dans le sens ou cela force le respect.
     
  16. Phénix.

    Phénix. Philosophe

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    Ce qui m'épate est qu'ils démontent le bas, en soutenant ce qu'il reste au-dessus. Cela nécessite effectivement une sérieuse maîtrise.
     
  17. Suix

    Suix Guest

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    [h=1]Deux rats séparés par un continent mais reliés par le cerveau[/h]fermer
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    [​IMG] Le premier rat, hébergé au Brésil, a pu envoyer des signaux cérébraux pour guider son congénère, situé dans un laboratoire américain. | Nature Scientific Reports[h=2]Deux rats séparés par un continent mais reliés directement par des électrodes implantées dans leur cerveau ont pu communiquer et collaborer pour accomplir une tâche simple, ont annoncé jeudi 28 février des chercheurs dans une étude présentant ce premier "supercortex".[/h]A l'aide de ce seul lien électronique, le premier rat, hébergé dans un institut de recherches au Brésil, a pu envoyer des signaux cérébraux pour guider son congénère, situé dans un laboratoire américain, et l'aider ainsi à obtenir une récompense.

    ORDINATEUR "BIOLOGIQUE"


    Pour le neurobiologiste brésilien Miguel Nicolelis, à l'origine de cet exploit, il serait donc possible en théorie d'associer ainsi plusieurs cerveaux d'animaux pour créer un ordinateur "biologique" d'un nouveau genre. Et cette trouvaille pourrait aussi bénéficier aux patients atteints de paralysie ou de syndrome d'enfermement ("locked-in syndrome"), assure le chercheur. "Nous avons établi une liaison fonctionnelle entre deux cerveaux. Nous avons créé un supercerveau comprenant deux cerveaux", a-t-il résumé.
    L'équipe du docteur Nicolelis a d'abord entraîné les rats à résoudre un problème simple : presser un levier lorsqu'une petite lampe s'allumait au-dessus pour obtenir un peu d'eau. Ils leur ont ensuite implanté des électrodes ultra-fines dans la région du cortex contrôlant l'information liée au mouvement et ont ainsi connecté le cerveau des deux rats.
    Le premier rat réalisait l'expérience normalement. Et lorsqu'il pressait le bon levier, son activité cérébrale était encodée en impulsions électriques, transmises en temps réel au cerveau de son binôme.

    70 % DE RÉUSSITE AUX TESTS


    Le rat "décodeur", lui, ne disposait d'aucun indice visuel pour savoir sur quel levier appuyer pour obtenir sa récompense et devait se reposer entièrement sur les signaux émis par son partenaire pour guider son choix. Les rats ainsi guidés par cette liaison cérébrale ont obtenu jusqu'à 70 % de réussite aux tests, précise l'étude, publiée dans la revue britannique Nature Scientific Reports.

    "Le couple d'animaux a collaboré pour accomplir la tâche. Mais ce que le deuxième rat a reçu, ce ne sont pas des pensées ou des images", explique Miguel Nicolelis. Il reçoit des signaux, qu'il incorpore dans ses schémas visuels et tactiles. "Le deuxième rat apprend à reconnaître ces signaux qui décrivent une décision prise par le premier rat. Il crée une association entre cette structure et cette décision", poursuit le chercheur.

    RÉSEAU CÉRÉBRAL


    Mieux encore, ce processus fonctionne dans les deux sens car, en cas d'erreur du deuxième rat, le premier modifiait les signaux qu'il émettait pour les rendre plus forts et plus nets. Et après de tels ajustements, le décodeur prenait la bonne décision plus souvent, souligne l'étude.
    Cela veut dire "qu'on pourrait créer un réseau cérébral formé par plusieurs cerveaux, interagissant tous ensemble", conclut Miguel Nicolelis, en précisant bien qu'une telle expérience ne porterait que sur des rats ou des singes, et non des êtres humains.



    "Si vous connectez plusieurs cerveaux d'animaux, vous pourrez probablement créer un ordinateur biologique qui n'est pas une machine de Turing, c'est-à-dire une machine qui ne fonctionne pas à l'aide d'un algorithme", une série d'instructions prédéterminées, comme c'est le cas de nos ordinateurs classiques, explique-t-il.

    INTERFACE CERVEAU-MACHINE


    Selon lui, une telle machine reposerait au contraire sur "un mode de décision à base de probabilités" et pourrait résoudre des problèmes qui dépassent les capacités d'un cerveau isolé. La manière dont le rat "décodeur" parvient à s'approprier les signaux émis par son congénère et à les utiliser dans son propre cerveau reste toutefois mystérieuse, reconnaît le chercheur.


    Voici une dizaine d'années, Miguel Nicolelis s'est rendu célèbre en permettant à des singes de laboratoire d'actionner un bras robotique par ses seules impulsions cérébrales. Prochain défi pour l'expert du Centre médical de l'université de Duke (Etats-Unis) et de l'Institut international pour les neurosciences de Natal (Brésil) : qu'un patient paraplégique donne le coup d'envoi de la prochaine Coupe du monde de football, au Brésil en 2014, à l'aide d'une jambe artificielle commandée par une interface cerveau-machine.
     
  18. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    demande confirmation ... 70% ce n'est pas assez pour faire des conclusions je pense ...

    aussi effrayant (contrôle de la pensée) qu'encourageant (aides aux handicapés, qui pour le coup se transforme en lutte contre le handicap) ...
     
  19. romain013

    romain013 Pig Brother

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    Ecoute, si ca peut permettre à nos centreurs fous de trouver les attaquants au bout (ou l'inverse), moi je vote pour que l'OM soit une plateforme de test sur les humains...
     
  20. kaiser sauzee

    kaiser sauzee Ermite pastafariste

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    [h=1]Et la lumière surgit du néant...[/h] [h=2]Des chercheurs finlandais ont fait apparaître des photons bien réels à partir du vide. De quoi bouleverser notre conception du «rien». D'autant que les physiciens tentent aussi de créer de la matière venue de nulle part.[/h]

    Il va falloir nous y habituer: le vide n’existe pas… Aristote en avait eu une extraordinaire préscience lorsqu’il affirmait, il y a quelque 23 siècles, que «la nature a horreur du vide». Même si on peut parier que le philosophe grec ne pensait pas exactement à la même notion de vide que celle des physiciens d’aujourd’hui, il avait quand même mis dans le mille.

    La définition classique du vide nous dit qu’il s’agit d’une absence de matière dans une zone de l’espace. Or, en fait, le vide n’est jamais totalement vide. La physique quantique nous apprend, au contraire, qu’il pullule de particules... et d’antiparticules. Dans le vide quantique, ce bouillon se traduit par un jeu à somme nulle. La matière et l’antimatière ne faisant pas bon ménage, elles se font mutuellement disparaître.

    Pourtant, pendant des temps très courts, des particules parviennent à exister avant d’être irrémédiablement annihilées.

    L'effet Casimir


    A-t-on l’assurance de la réalité de ce phénomène? En 1948, le physicien néerlandais Hendrick Casimir a prédit que deux miroirs parallèles placés dans le vide subiraient une force d’attraction l’un vers l’autre.

    Depuis, plusieurs expériences ont, en 1978 et, surtout, à partir de 1997, démontré sur l’effet Casimir existe bien. Deux miroirs très fins et très conducteurs, placés dans le vide, ont tendance à se rapprocher. Comme si une force s’exerçait de part et d’autre, poussant les deux miroirs l’un vers l’autre.

    Une force? Alors qu’il n’y a que du vide? Si le vide peut appliquer une pression, c’est qu’il contient de l’énergie... Chacune des particules jouant à s’annihiler le plus vite possible dans le bouillon bouillonnant est associé à une onde. Et ces ondes exercent une pression sur la surface de chaque miroir.

    Mais il existe aussi du vide entre les miroirs... Certes, mais leur faible écartement, précisément calculé, perturbe les ondes prisonnières. La force de rapprochement des miroirs permet de mesurer la différence de pression exercée entre les ondes situées à l’extérieur des deux miroirs et celles qui sont entre les deux… Etonnant, non?

    L'énergie du vide

    Cette expérience met en évidence de nombreuses choses… quantiques. En particulier, l’existence d’une énergie du vide. Ou la présence, dans ce «vide», d’une infinité de particules invisibles du fait de leur trop courte période d’existence.
    Mais que se passerait-il si l’on faisait varier la distance entre les deux miroirs? Juste pour voir. C’est la question que se sont posés deux chercheurs finlandais de l’université d’Aalto, Sorin Paraoanu et Pasi Lähteenmäki.

    «Si nous agissons très vite, nous pouvons empêcher les particules de se recombiner, explique le premier. Elles sont alors transformées en particules réelles qui peuvent être détectées.»

    Pour réaliser l’exploit d’empêcher les particules évanescentes de disparaître, les physiciens sont allés jusqu’à modifier la vitesse de la lumière. Pour cela, ils ont utilisé un réseau d’aimants supraconducteurs, les SQUIDs, similaires à ceux desi machines d’IRM utilisées pour l’imagerie du cerveau. C’est en modifiant le champ magnétique émis par ces aimants qu’ils ont fait varier rapidement la vitesse de la lumière.

    «Nous avons ainsi pu extraire des photons du bruit du vide quantique», précise Pasi Lähteenmäki. Autrement dit, des photons, et donc de la lumière, sont devenus visibles dans le vide. De véritables particules sont ainsi sorties du néant apparent.

    Variation de la vitesse de la lumière


    L’étude, publiée le 11 février 2013 par les PNAS, fait l’objet d’un article sur le site de la revue Nature provenant de Scientific American. Pasi Lähteenmäki y explique que l’expérience revient à modifier l’indice de réfraction du vide.
    On sait en effet que la vitesse de la lumière varie en fonction de cette propriété de la matière qu’elle traverse.

    «Imaginez que vous êtes assis dans une pièce très sombre, explique le chercheur. Si, soudain, l’indice de réfraction de la lumière [ de la pièce ] change, la pièce va devenir lumineuse.»

    Ce qui peut être assimilé au remplacement, d'un coup, de murs peints en noir par des murs peints en blanc.

    Le plus extraordinaire réside dans ce surgissement de particules réelles à partir du vide. L’expérience de Casimir avait permis de découvrir que le vide n’est pas vide. Celle des Finlandais met en lumière, au sens strict, l’un de ses composants. Mais les photons ne sont pas les seules particules qui habitent le vide.

    De la lumière à la matière

    En effet, la formule d’Einstein E=MC 2 peut être écrite: M=E/C 2. Ce qui signifie qu’une masse peut exister pourvu que l’on dispose d’énergie. Ainsi, si le vide contient de l’énergie, il doit être possible de la transformer en masse. Dans ce cas, ce ne serait plus uniquement de la lumière qui surgirait du néant mais bien de la matière. Le seul problème réside dans la quantité d’énergie nécessaire pour que la masse ne reste pas nulle. Etant donné qu’il faut la diviser par le carré de la vitesse de la lumière (300.000 km/s), on comprend que l’énergie qu’il faut ajouter à celle du vide doit être gigantesque.

    Faire bouillir le vide


    Cette difficulté ne fait pas peur à un Français, Gérard Mourou, directeur de l’Institut de la lumière extrême (ILE) à l’Ecole polytechnique de Palaiseau. Spécialiste des impulsions laser ultracourtes, le physicien dirige ce projet qui doit aboutir, d’ici 2015, à la création d’une installation assez extraordinaire. Elle alliera en effet un laser de forte puissance à la technologie des impulsions atteignant la femto, voire l’attoseconde. C'est-à-dire 10 -15 à 10 -18 secondes. Et pourquoi pas la zeptoseconde (10 -21 s). Très loin des durées imaginables.

    La puissance du laser ne l’est pas plus: 200 petawatts (PW), soit 10 15 watts (100.000 fois la puissance électrique produite par l’homme sur Terre) concentrée sur un espace d’un micron, un millième de mm. Le résultat visé n’est rien d’autre que de «faire bouillir le vide».

    Juste après le Big Bang

    Cela revient à recréer les conditions dans lesquelles les particules fondamentales sont apparues juste après le Big Bang. Si les physiciens atteignent leur but, notre conception du vide sera définitivement modifiée. Après avoir fait jaillir la lumière qu’il contient grâce à l’expérience finlandaise, ce sera la lumière qui fera surgir de la matière de ce qui constitue, finalement, la matrice de ce qui nous entoure. Avant même d’être poussière, nous avons été… vide.

    http://www.slate.fr/life/68851/et-la-lumiere-surgit-du-néant
     

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